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Hydrogéol

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TRANSMISSIVITE. Etymologie et Histoire: Dérivé savant de transmissif, capable de transmettre (de l’eau) en parlant d’une couche aquifère, du latin transmissus, participe passé de transmittere, envoyer au delà.

TRANSMISSIVITE

Références : Terme introduit en français par E. de Gélis (1956) pour traduire, suivant une forme très correcte, " transmissibility " de Theis (1938). Carlier (1960), Schoeller (1960), Castany (1961). Définitions existantes De Gelis (1956) : " Le pouvoir adducteur d’une formation aquifère est défini par le produit de son épaisseur par sa perméabilité. Définition proposée (celle du Dictionnaire français d’hydrogéologie, G. Paramètre régissant le flux d’eau qui s’écoule par unité de largeur de la zone saturée d’un aquifère continu (mesurée selon une direction orthogonale à celle de l’écoulement), et par unité de gradient hydraulique. Dimension : L2T-1 Symbole : T Commentaires Synonymie : Transmissivité hydraulique Coefficient de transmissivité (déconseillé) A rejeter : " transmissibilité " (contre sens)

LES SYSTEMES AQUIFERES. Le bassin hydrologique est délimité par les lignes de crêtes topographiques isolant le bassin versant d'un cours d'eau et de ses affluents.

LES SYSTEMES AQUIFERES

Il correspond en surface au bassin hydrographique. Le bassin hydrogéologique correspond à la partie souterraine du bassin hydrologique Un aquifère est un corps (couche, massif) de roches perméables comportant une zone saturée suffisamment conductrice d'eau souterraine pour permettre l'écoulement significatif d'une nappe souterraine et le captage de quantité d'eau appréciable.

Un aquifère peut comporter une zone non saturée (définition de Margat et Castany). L'aquifère est homogène quand il a une perméabilité d'interstices (sables, graviers); la vitesse de percolation y est lente. Hydrogéologie. Retour accueil, cours PE1, le sous-sol, l'eau Un article de référence: Ressources en eau, Pierre Chauve, dans Enseigner la géologie, collège-lycée, 1990, Nathan.

hydrogéologie

Un manuel scolaire de référence: SVT 2nde, Nathan, 1993 (dont le programme n'est plus en vigueur)Pour d'autres sources voir la page sur l'eau. Sommaire de cette page:la planète bleue // le cycle de l'eau // les nappes et les aquifères // géochimie des eaux souterraines // biologie des eaux souterraines. Hydrog ologie transmissivit - Recherche Google.

Recharge des aquifères. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Recharge des aquifères

La réalimentation des aquifères ou infiltration résulte naturellement d'un processus hydrologique par lequel les eaux de surface percolent à travers le sol et s'accumulent sur le premier horizon imperméable rencontré (banc d'argile ou de marne) ; elle peut aussi être assurée artificiellement par des puits filtrants. Ce processus s'amorce généralement à partir de la zone vadose, sous la pédosphère où les racines des végétaux captent encore l'essentiel de l'eau interstitielle. RES EAU 01. Taux de renouvellement des aquif�res. LES SYSTEMES AQUIFERES. LEBAUT S. (2001). L'apport de l'analyse et de la modélisation hydrologique de bassins versants dans la connaissance du fonctionnement d’un aquifère : les grès d’Ardenne-Luxembourg. Revue du centre géographique de l’Université de Metz, Mosella XXVI: 1-271.

Les facteurs de l’organisation spatiale des écoulements en étiage. Exemple du bassin versant du Mouzon (Lorraine) 1En étiage, le débit des cours d’eau est déterminé par les conditions du climat, la configuration du substratum géologique, la géomorphologie et les caractéristiques du couvert végétal.

Les facteurs de l’organisation spatiale des écoulements en étiage. Exemple du bassin versant du Mouzon (Lorraine)

Dans un bassin versant, ce débit parfois très variable (Zumstein 1976, Maire 1977), peut être analysé à partir de mesures, effectuées sur le réseau hydrographique pour caractériser le rendement en eau du substratum, lorsque les précipitations n’influencent plus directement les écoulements. Ce rendement est commandé par le volume et la dynamique des aquifères, révélés par les variations spatiales du débit des cours d’eau (Sary, 1993), mais également par la teneur de l’eau en éléments dissous, signature du réservoir qui alimente les écoulements de surface. 2Le bassin du Mouzon, qui montre une grande hétérogénéité lithologique, nous permet d’observer comment s’organisent les écoulements à différents moments de l’étiage selon les apports hydrogéologiques et leur dynamique.

Les limites spatiales en hydrologie - Exemple de discrétisation spatiale en période d'étiage. 1.

Les limites spatiales en hydrologie - Exemple de discrétisation spatiale en période d'étiage

Principes généraux - espaces - échelles - limites 1.1. Espaces - emboîtement d'échelle - fractale Le géographe jongle constamment avec les échelles spatiales. La géographie «fractale » s'intéresse d'ailleurs à la permanence dynamique ou structurelle observée dans la démarche multiscalaire. En géographie physique, et plus particulièrement en karstologie (P. Chaque «thème » de la géographie physique possède ses propres échelles définissant des entités spatio-temporelle.

En climatologie, la définition des climats repose sur une classification hiérarchique du «climat zonal » au micro-climat en passant par le macro-climat, méso-climat, climat régional, climat local et le phyto-climat. GRONEMEIER K.U. (1976a). Qualitativer und quantitativer Nachweis von Umwelteinfl�ssen auf das Grundwasser im Luxemburger Sandstein. Z. dt. geol. Ges. 127: 11-35.