background preloader

Réflexions

Facebook Twitter

Le monde de la culture doit « saisir l’opportunité de l’explosion des données de la big data » Les grandes institutions culturelles n’ont pas encore redéfini leurs missions et leurs responsabilités vis-à-vis de la nouvelle culture des données de masse, s’étonne Philippe Torres, directeur général adjoint de L’Atelier BNP Paribas. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Philippe Torres (Directeur général adjoint de L’Atelier BNP Paribas) Par Philippe Torres, directeur général adjoint de L’Atelier BNP Paribas En cette période de festival, le monde a les yeux braqués sur la Croisette. Depuis soixante-neuf ans, le rituel cannois est resté intact. A l’Atelier BNP Paribas, depuis bientôt dix ans, nous étudions l’impact des technologies numériques sur le monde de la culture. Intenses innovations Avec l’émergence de l’Internet des objets, notre société est de plus en plus pilotée par la donnée : data que les humains échangent entre eux ou avec les machines et surtout que les machines échangent entre elles.

Enjeu business Contrôle par les acteurs culturels. Audience Internet : les fêtes de fin d'année portent les e-commerçants. L'audience du géant des petites annonces décolle sur le Web fixe à la faveur des fêtes de fin d'année selon le nouveau classement de Médiamétrie//Netratings. Période de Noël oblige, l'audience des principaux e-commerçants a été fortement boostée en décembre dernier selon le classement de l'Internet fixe français de Médiamétrie//Netratings. Le groupe Schibsted, éditeur du site Leboncoin, gagne près de 5,5 millions de visiteurs uniques (VU) par rapport au mois précédent sur Web fixe. De quoi lui permettre de s'installer à la 4e place du classement. Forte hausse également pour deux autres géants de l'e-commerce, Amazon et le groupe Casino. Le premier gagne 5,4 millions de VU, le second 4 millions. Ce sont au total 24,9 millions d'internautes qui ont consulté au moins un site de la sous-catégorie "Petites annonces/Enchères" sur ordinateur, soit 2 Français sur 5.

A lire aussi : 6% des jeunes Français consultent leur smartphone plus de 200 fois par jour. 70% des Français possèdent un smartphone et la majorité en sont littéralement accros, au point que 59% d'entre eux consultent leurs smartphones dans l'heure qui suit leur réveil, selon le dernier Observatoire des usages mobiles des Français de Deloitte. Sans surprise, ce sont les jeunes de 18 à 24 ans qui passent le plus de temps sur leurs smartphones. Ils sont ainsi 25% à consulter leur téléphone plus de 50 fois quotidiennement, la plupart du temps sans notification particulière, 6% avouant même faire ce geste plus de 200 fois dans la journée (2% pour l'ensemble de la population).

Les Français utilisent leur smartphone n'importe où, que ce soit au restaurant (65%) ou au travail (34%) par exemple. Plus d'un sur cinq l'utilise aussi régulièrement devant la télévision. À noter que 5% de l'ensemble des sondés consultent leurs smartphones dès leur réveil et que 7% s'en servent encore au moment de se coucher. La photo est particulièrement prisée des possesseurs de smartphone. CP- Le Conseil national du numérique appelle le gouvernement à aller plus loin sur la diffusion des connaissances, des oeuvres et des données | Conseil national du numérique. A Paris, le 13 novembre 2015 Le Conseil national du numérique appelle le gouvernement à aller plus loin sur la diffusion des connaissances, des œuvres et des données Lien vers le communiqué de presse (PDF) A l’heure où le projet de loi sur la République numérique est officiellement présenté pour avis au Conseil d’Etat, le Conseil national du numérique s’interroge sur le retrait de l’article 8 sur le domaine commun informationnel et l’articulation des articles sur l’open data avec le projet de loi Valter.

Deux projets de loi importants pour le numérique sont actuellement l’objet d’un débat public : d’une part le projet de loi relatif à la gratuité et aux modalités de réutilisation des informations du secteur public (dit “projet de loi Valter”) qui va bientôt être étudié par une commission mixte paritaire et d’autre part le projet de loi sur la République numérique (dit “projet de loi Lemaire”) qui vient de faire l’objet d’une consultation publique en ligne. Frugale et connectée, construire la ville du futur. De la ville structurée par un centre et une périphérie jusqu’aux espaces urbains multipolaires connectés par les réseaux de transports et d’information, on assiste à une véritable accélération du rythme de l’urbanisation.

Aujourd’hui, de nombreuses villes possèdent leur double numérique. Ces modèles virtuels permettent de suivre l’évolution des objets urbains (bâtiments, infrastructures...) au cours du temps et d’offrir différents modes de représentation selon ce que l’on souhaite observer : l’impact d’une nouvelle route ou ligne de tramway, la propagation du bruit ou encore la modélisation thermique des bâtiments. Grâce à l’intégration d’informations multi-sources, ces outils d’aide à la décision sont des instruments précieux dans la conception de projets d’aménagements urbains durables et pérennes. Progressivement, la ville se recompose morphologiquement mais aussi socialement, avec des jeux complexes de mouvements de populations. Quel numérique au service de l'art? - Les Mardis des Bernardins / COLLÈGE DES BERNARDINS. E-commerce : le W3C veut réduire le taux d'abandon des paniers. Le consortium entend standardiser l’accès aux modes de paiement sur le web. La promesse : laisser le choix à l’internaute, et ainsi réduire le taux d’abandon des paniers.

Faciliter les paiements en ligne, et ainsi contribuer à réduire le taux d'abandon des paniers sur les sites d'e-commerce : c'est le défi que se lance le W3C. Dans cette optique, le consortium annonce ce 21 octobre un nouveau groupe de travail. Son objectif est de proposer un standard de paiement en "check-out" (qui évite de communiquer ses coordonnées bancaires) avec à la clé la possibilité de choisir le mode de son choix. Ce groupe va s'attacher à la conception d'interfaces de programmation (API) permettant d'automatiser l'accès aux moyens de paiement : carte de crédit, paiement mobile, tiers de confiance (PayPal, dépôt fiduciaire, etc.), bitcoins... "L’industrie voit dans le portefeuille électronique un moyen de faciliter l’utilisation et la sécurité du paiement en ligne, et de soutenir des initiatives marketing.

Connexions pour un numérique éthique, aux Journées du logiciel libre à Lyon. Entre geeks barbus, gosses passionnés et têtes blanches, retour sur l’un des plus importants rendez-vous des libristes -les usagers des logiciels libres- en France. Ce week-end se déroulaient à Lyon les fameuses Journées du logiciel libre (JDLL), un événement qui fait clignoter les neurones. « S’il n’y avait qu’un seul mot à retenir, ce serait celui-ci : indépendance. » Ainsi s’achève l’intervention de Stéphane Dumond, chef de projet informatique de la Gendarmerie Nationale. Les applaudissements fusent.

De haut en bas, de gauche à droite : Pierre-Yves Gosset de Framasoft « Dégooglisons internet : des alternatives libres sont possibles », Tristan Nitot « Vie privée et service internet », Benjamin Sonntag « La quadrature du net, dernières actualités. », Louis Pouzin « Internet est-il toujours un réseau de réseau ? La gendarmerie en migration « Nos choix stratégiques se déclinaient en trois axes : centralisation, modularité, et utilisation de formats ouverts. . « C’est possible. Cocorico. L'UE présentera sa stratégie numérique aujourd'hui.

La Commission européenne a dévoilé, ce mercredi, son plan d'action pour mettre en place un marché numérique unique européen. La Commission vient de définir seize objectifs destinés à bâtir un marché unique numérique dans l'Union européenne. La feuille de route avait déjà été dévoilée en novembre dernier par Jean-Claude Juncker. C'est Andrus Ansip, ex-premier ministre estonien nommé vice-président chargé du marché numérique unique, qui a développé un plan d'action destiné à la mettre en œuvre. La stratégie de la Commission repose sur trois piliers, qui comprennent chacun une série d'actions qui devront être menées avant fin 2016. 1er pilier : améliorer l'accès aux biens et services numériques dans toute l'Europe pour les consommateurs et les entreprises 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 2ème pilier : créer un environnement propice au développement des réseaux et services numériques innovants et des conditions de concurrence équitables 9. 10. 11. 12. 13. 14. 15. 16.