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Follow-up = $$ | Creation d'entreprise ! | Guilhem Bertholet. Par Guilhem Bertholet Un mail d’un jeune entrepreneur croisé il y a peu m’a fait très plaisir ces derniers jours : il me reprenait en détail notre conversation, répondait à une question qui l’avait laissée un peu sec sur notre échange, et me donnait quelques news, liens, et infos sur son business. Le tout avec un petit coup de brosse à reluire, et une demande d’aide sur un point ou deux. Ce mail tombe pour moi typiquement dans la catégorie de « bon follow-up », que tout entrepreneur devrait pratiquer… Voilà donc 5 conseils pour pratiquer un bon suivi… parce que c’est vraiment facile de marquer des points et booster son projet ! Envoyez systématiquement un mail après un RDV Ça doit devenir une pratique routinière, organisez-vous comme vous voulez, par exemple en le faisant en tout premier lieu chaque matin en vous levant.

Et vous, comment effectuez-vous le suivi de toutes vos rencontres ? Vous avez des astuces de « follow-up » ? Comment (bien) se répartir le capital de départ (partie 2) | Creation d'entreprise ! | Guilhem Bertholet. [Ce post a l’air un peu technique, comme ça, mais vous verrez qu’il n’en est rien, c’est assez simple et ce n’est que du bon sens et quelques multiplications :)] La semaine dernière, nous avions vu comment les entrepreneurs arrivaient parfois à partir sur de mauvaises bases lors de la répartition du capital initial entre eux. Nous continuons la série aujourd’hui, avec quelques idées sur comment BIEN se le répartir. En effet, pas facile – surtout lorsque l’on ne se connaît pas bien – de savoir à l’avance comment l’autre (ou les autres) vont se comporter et se qu’ils vont apporter au projet. D’où la tentation parfois de couper le capital à la machette, en parts égales, ou au contraire de le donner en priorité à celui qui parle le plus (ou le plus fort) et qui endosse ainsi le rôle de patron.

Se partager le gâteau des parts sociales ! On a donc : Assurez-vous d’être vraiment bien alignés sur le choix de ces critères (et de leur pondération) avant de passer à l’étape 2/. Startup : quand allez-vous mourir ? Je viens de lire avec surprise un article sur le toujours très bon blog de Jason Cohen. Cet article décrit un outil très efficace que j’utilise avec tous mes clients porteurs de projet, créateurs de startups, ou même responsable de business unit dans un grand groupe.

Honnêtement j’avais un peu de gène à le partager avec vous. Il s’agit de calculer la date de la mort de votre projet. Attention, ce n’est pas un indicateur particulièrement complexe à calculer. Je demande d’ailleurs en général aux financiers présents dans la salle de bien vouloir sortir cinq minutes pour pouvoir montrer cela. Ils sont sortis ? Bon voici ce dont il s’agit : Avec cela, la réalité du risque entrepreneurial est clairement visible pour tous.

J’ai commencé à utiliser ce stratagème pour booster le travail d’entrepreneurs web, avec deux prémices : la majorité d’entre eux sont des gamers et se prennent vite au jeu, et leur cycle de développement est rapide. Et peut-être à la partager avec vos équipes ? Trouver nom entreprise. Il y a eu la phase « Trouver une idée de business » et logiquement, peu après, nous avons dû nous confronter à la phase « Trouver un nom ». Au premier abord, on pourrait croire que trouver une idée de business est de loin plus difficile que trouver un nom pour une société. Et bien en ce qui nous concerne, trouver un nom fût au moins aussi laborieux… Le nom est une chose essentielle pour une société. Si celui-ci n’est pas bien choisi dès le départ, il peut avoir une très mauvaise influence sur le business de la société. De plus, changer le nom de l’entreprise est un acte complexe et plein de conséquences.

Donc autant prendre le temps de bien le choisir dès le début ! Conscients de cet enjeux, nous avons voulu trouver le meilleur nom possible. Premier point qui nous a paru important : séparer la société de notre idée de business. Nous voulions donc un nom original mais assez générique sur notre activité (web, innovation) et qui respecte les contraintes énumérés précédemment. C'est impossible, vous êtes trop jeunes (et autres histoires) Le 23 janvier 2011 par Loic dans Entrepreneuriat. J’ai commencé la création d’entreprise il y a environ 2 ans, dans ce beau pays qu’on appelle la France, avec la création de mon auto-entreprise, fournissant des services de développement web aux entreprises. Quelques bons contrats honorés, quelques problèmes surmontés et de très bonnes rencontres m’ont mené à fonder l’agence web Wype un an plus tard, entouré de très bons partenaires. Ces deux années très chargées m’ont permis de retenir quelques histoires qui sèmeront votre chemin d’embûches.

Arrête de rêver « Parce que tu crois au père-noël toi ? C’est impossible vous êtes trop jeunes Pas assez d’expérience, vous manquez une partie de ce que le monde a à vous offrir. . - J’ai créé plusieurs entreprises, j’ai créé 150 emplois. - Mais vous avez quel âge ? Se fermer aux autres c’est mal Un peu dans la continuité du « vous êtes trop jeune ». Tu travailles ? Et oui, parfois les obstacles viennent de ceux qu’on apprécie le plus, nos amis.