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Vice, le paradoxe

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Vice | Le guide ultime de la connaissance. Turquie - Les manifestants de la place Taksim. Le journaliste Tim Pool a rejoint l'équipe de VICE pour couvrir tous les sujets d'actualité. Sa première mission a été de tracer à Istanbul pour comprendre comment le fait de déraciner des arbres avait débouché sur les plus grosses manifestations de l'histoire de la Turquie.

Suivez Tim sur Twitter : @Timcast Plus d'articles sur la situation à Istanbul : L'Été turc La manifestation fantôme des Kurdes d'Europe à Paris Un week-end de guerre dans les rues de Turquie. Éplucher Oignonville. Dick avec ses petit-enfants, isolant son abri à cochon avec l'approche de l'hiver. Dick Smith, connu comme le "Grand-père" d'Oignonville, élève des cochons pour ensuite les vendre aux abattoirs. Il est certains endroits qui, de par leur nature propre, semblent abandonnés de tous. L’Afghanistan en est un. Il en est un autre qui se situe à une heure et demie au nord de New York City, en dehors du hameau bucolique de Dover Plains, dans la vallée de Hudson.

Cet endroit s’appelle Oniontown. En dépit de son nom, « Oignonville » n’est pas vraiment une ville : c’est plus une enclave montagneuse qui accueille une collection désorganisée de caravanes en piteux état alignées le long d’un chemin de terre qui n’aboutit nulle part. La colonie a une réputation qui convoque des adjectifs comme péquenaud, consanguin et drogué. Personne, pas même les résidents de la colonie, ne peut dire d’où vient le nom d’Oniontown. Au XIXe siècle, des métayers pauvres se sont installés dans l’enclave montagneuse. Les rois du cannabis | Weediquette. Wave of immolation. Photos : Jackson Fager. Donka et Georgi Kostov, dans le bloc des grands brûlés de l'hôpital Saint-Georges à Plovdiv, deux semaines après la tentative de suicide de Georgi.

Ce n’est pas tous les jours que vous rencontrez quelqu’un qui a choisi de s’immoler par le feu. Souvent, c’est parce que c’est l’un des trucs les plus fous et dangereux qu’un homme puisse faire. L’autre raison, c’est que la plupart de ceux qui s’y risquent finissent par y laisser leur peau. Étrangement, ce ne sont pas toujours les brûlures qui tuent ces gens. . « Résoudre ses problèmes avec de l’essence est devenu une vraie mode », m’a confié Georgi Kostov dans le service des grands brûlés de l’hôpital Saint-Georges à Plovdiv, la deuxième plus grande ville bulgare. Elle m’a expliqué que le couple était au chômage, couvert de dettes, luttant chaque jour pour nourrir leurs enfants quand, deux semaines avant ma visite, Georgi s’était enfermé dans la chambre de leur appartement, à Dimitrovgrad.

Georgi n’est pas seul. Shane Smith: 'I want to build the next CNN with Vice – it's within my grasp' | Media | The Observer. One evening in October of last year, after a reported couple of drinks in a Brooklyn bar, Rupert Murdoch was giving a good impression of a man who thought he had seen the future. From his car on the way home he tweeted: "Who's heard of VICE media? Wild, interesting effort to interest millennials who don't read or watch established media. Global success. " The months since have served to emphasise the Digger's clairvoyance. If you hadn't heard of Vice media back then, it is likely that now you have. In America, in particular, two archly millennial Vice stories have made the "established media", Murdoch included, look distinctly 20th-century by comparison.

The first involved the on-the-run internet millionaire, John McAfee, whose paranoid tale of drugs, murder and subterfuge in the jungly paradise of Belize dominated the daily news channels and blog sites for a few weeks before Christmas. The second Vice scoop was perhaps even more incendiary. "The easy answer is no. Substance over style: Hipster's bible Vice magazine is making documentaries about war zones - Press - Media. He visited the West African state last year, nervously pointing a hand-held camera at former warlords with nicknames such as General Bin Laden and General Butt Naked. "Because I was naked, I fought naked," the latter matter-of-factly explained in the ensuing film. The company, through its film-making arm VBS, has become a prolific source of current affairs content from the world's conflict zones. The work has been endorsed by CNN "as a very transparent approach to journalism" and is permanently showcased on the news network's website under the banner CNN Presents VBS.TV.

Films on CNN.com include a Capper documentary on British political extremists, as well as pieces made inside North Korea and Iran. This month, Vice's British operation moved into large new offices on the site of a former Shoreditch dairy, opening 25 film-editing suites in the process. Vice is a worldwide operation. Not all of Vice magazine's commercial backers appear to understand that. Rupert Murdoch firm dips into hipsters' bible with $70m stake in Vice | Media. Vice Media, the multi-platform purveyor of music, fashion and quixotic journalism from international trouble spots, has sold a 5% stake to Rupert Murdoch's 21st Century Fox.

Fox, which was spun off from News Corp earlier this year, confirmed the $70m (£45m) deal, which marks the latest stage in the evolution of Vice from an off-beat Canadian magazine into a global brand frequently dubbed the hipsters' bible. Murdoch has hinted at being an admirer of the Vice brand in the past, tweeting after a visit last year to Brooklyn, where Vice is based: "Who's heard of VICE media? Wild, interesting effort to interest millennials who don't read or watch established media.

Global success. " The link-up allows Vice to expand into Europe and India with the help of 21st Century Fox's assets, which include stakes in Sky television channels and chimes with the declared aims of Vice's co-founder, Shane Smith, for his company to become "MTV, ESPN and CNN rolled into one". Rupertmurdoch : Who's heard of VICE media? «Vice», ou les vertus du décalé. «Que la reine créa l’époque ou que l’époque créa la reine, peu importe. Elle correspondit parfaitement à son temps», écrivait en 1962 l’Américaine Florence Becker Lennon au sujet de la souveraine Victoria.

Ne leur en déplaise, les patrons de presse ne sont pas des monarques. Mais, comme eux, ils symbolisent le climax d’une époque. A Hugh Hefner et ses pyjamas la fabrication de la virilité des années 50. A Rupert Murdoch, le capitalisme cinglant des eighties, à Jefferson Hack et son magazine Dazed & Confused la cool culture des années 90. Que représente donc Shane Smith, le Canadien à la tête de Vice, ex-feuille de chou débraillée qui ambitionne de devenir le CNN de la génération Y ? Ainsi, en 2011, le chiffre d’affaires du groupe a atteint 115 millions de dollars et la somme est censée avoir dépassé les 200 millions de dollars pour l’année 2012, selon le Financial Times.

L’entrée des bureaux de Vice, à New York. Ancrage dans la branchitude L’idée est maline. Le virage numérique. Coups de «Vice» Des rues bordées de hangars reconvertis en lofts, des boutiques remplies de babioles vintage, des jeunes tatoués se déplaçant en vélo... Pas de doute, on est à Brooklyn, New York, et plus précisément dans le quartier de Williamsburg. Si vous cherchez le cool, c’est là qu’il se trouve. Et c’est logiquement ici que sont installés les quartiers généraux de Vice , magazine cool par excellence. Sauf qu’avec un nom aussi suggestif, on ne s’attendait pas au décor froid et aseptisé de l’immeuble Vice, aux baies vitrées et aux écrans plats accrochés çà et là.

Les lieux sont modernes et silencieux. Difficile d’associer cette rédaction au fanzine trash créé à Montréal, en 1994, par trois jeunes Canadiens sans grande expérience de la presse, Suroosh Alvi, Shane Smith et Gavin McInnes. C’est simple, ces trois-là ont fait du chemin. Le magazine papier n’a pas disparu pour autant. «En 2006, Vice a entrepris sa révolution numérique et s’est mis à la vidéo. Vice (magazine) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Vice est un magazine mensuel gratuit et international créé en 1994[1], axé sur la culture urbaine, la photographie, l'art et la musique.

Vice traite également de sujets de société beaucoup plus profonds, qu'il s'agisse de guerres, d'écologie, de spiritualité ou de sciences humaines. [2],[3]. Toutes éditions confondues, Vice Magazine est distribué à 965 000 exemplaires (Australie, Autriche, France, Grande-Bretagne, Espagne, États-Unis, Japon, Scandinavie, Canada, Allemagne, Nouvelle-Zélande, Belgique, Italie, aux Pays-Bas et au Mexique), ce qui en ferait le plus grand tirage dans son genre[réf. nécessaire]. Vice Magazine a été créé en octobre 1994 sous le nom de Voice of Montreal[4] par Suroosh Alvi (en), Gavin McInnes (en) et Shane Smith[5]. À l'époque, il n'était alors qu'un simple fanzine distribué dans les rues de la métropole québécoise, et était financé par l'État en tant que programme de réinsertion pour jeunes drogués.

Hipster. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Hipster (branchouille) est un terme des années 1940 qui désignait à l'origine les amateurs de jazz et en particulier du bebop qui devint populaire dans ces années-là. Le hipster adoptait le mode de vie du musicien de jazz, notamment la manière de se vêtir, l'argot, l'usage de drogues, l'attitude détendue (« cool »), l'humour sarcastique, la pauvreté de rigueur et des codes de conduite sexuelle libre. Les premiers hipsters étaient généralement de jeunes blancs qui adoptaient le style des noirs urbains de l'époque. Ceux qui vinrent ensuite ne connaissaient pas forcément l'origine culturelle de ce mode de vie. Le mot semble avoir aujourd'hui une connotation légèrement négative, mais les hipsters eux mêmes tendent toujours à se nommer fièrement ainsi. Origine du terme[modifier | modifier le code] Style de vie du hipster des années 1940-1950[modifier | modifier le code] L'auteur Frank Tirro, dans son livre Jazz, définit le hipster ainsi :