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GESTION DES TALENTS

Maurice thevenet. Yves Clot. WELLHOFF THIERRY - AUTEUR. IFAS : Specialistes du changement comportemental. Comportement humain et organisation + MonLab. Cabinet Alorem, Valorisons l'Humain. Ce qui fait notre force : nous regroupons les premiers experts à introduire les neurosciences dans l'étude du comportement, l'évaluation managériale, la détection des Potentiels, la Gestion des Talents, la compréhension des leviers d'épanouissement et de prévention santé.

Cabinet Alorem, Valorisons l'Humain

Notre programme de Recherche et Innovation, nous permet de mettre régulièrement sur le marché de nombreuses innovations. Une autre force ? Notre indépendance financière ! Nous disons la vérité, nous communiquons avec sincérité, et nous n'avons aucun intérêt financier caché. Notre fil conducteur ? Simplement parce que la plus grande richesse de votre entreprise, c'est l'Homme ! Notre valeur ajoutée : des innovations de rupture Pourquoi les dirigeants nous contactent directement ?

Notre vision - L'entreprise de demain sera celle qui se démarque dès aujourd'hui par un "Management Motivationnel" . - Placer le développement des Collaborateurs et de leurs compétences au coeur de la politique de l'entreprise. Le manager qui négligeait "l'humain" Mettre en oeuvre une politique qui place l’homme au centre de l’entreprise. Cette perspective passe par : – la poursuite par l’entreprise de sa véritable finalité ; – l’unité de tous les acteurs autour de règles et d’un langage communs ; – l’implication des dirigeants et leur capacité à agir ; – le rôle clé du management de proximité responsable des personnes ; – une politique qui oriente décisions et modes de fonctionnement pour donner intérêt à bien faire.

Mettre en oeuvre une politique qui place l’homme au centre de l’entreprise

L’entreprise doit poursuivre sa véritable finalité Une finalité, le client : «De quoi sommes-nous responsables ? Qu’est ce qui fait notre valeur ajoutée ?». Avoir un langage commun et des règles du jeu communes Valeurs et règles du jeu Lorsque l’homme est au cœur du système, cela se traduit concrètement par des relations de confiance, de vérité, le respect, la responsabilité et la solidarité. L’implication indispensable des dirigeants Des «patrons» sur le terrain : appliquer le principe de subsidiarité Mettre en œuvre une politique : la vertu des institutions Un cadre vertueux ou des «structures de péché» ? Corporate social responsibility. The term "corporate social responsibility" became popular in the 1960s and has remained a term used indiscriminately by many to cover legal and moral responsibility more narrowly construed.

Corporate social responsibility

Proponents argue that corporations increase long term profits by operating with a CSR perspective, while critics argue that CSR distracts from business' economic role. A 2000 study compared existing econometric studies of the relationship between social and financial performance, concluding that the contradictory results of previous studies reporting positive, negative, and neutral financial impact, were due to flawed empirical analysis and claimed when the study is properly specified, CSR has a neutral impact on financial outcomes.[5] Critics[6][7] questioned the "lofty" and sometimes "unrealistic expectations" in CSR.[8] or that CSR is merely window-dressing, or an attempt to pre-empt the role of governments as a watchdog over powerful multinational corporations.

Definition[edit] Que faire pour "remettre l'humain au centre" ? Certaines entreprises, pressées par l'actualité, engagent une réflexion visant à "remettre l'humain au centre", selon la formule du n°2 de France Telecom.

Que faire pour "remettre l'humain au centre" ?

Sur quels leviers s'appuyer pour mener à bien cet objectif ? Réponses. La mise en évidence de l'étendue et de la profondeur des troubles psycho-sociaux conduit les entreprises à s'interroger sur leurs pratiques managériales. Certaines d'entre elles, pressées par les événements, ont d'ores et déjà engagé une réflexion visant à "remettre l'humain au centre", selon la formule du n°2 de France Telecom, Stéphane Richard, le 22 octobre dernier à Lens. Toutes les entreprises sont aujourd'hui concernées par cet objectif, à des degrés divers. 1- D'abord, cultiver la culture d'entreprise par tous moyens disponibles (formations, séminaires, conférences...), car ce qu'elle cultive, c'est l'homme. 2- Ensuite, réhabiliter la pensée, en quoi consiste toute l'humanité de l'homme.

Stéphane Haefliger Sociologue. Feuilletage.pdf.