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Littérature et écologie

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Le règne du vivant. AKENATON - DOC(K)S. Kenneth White - La Géopétique. Habiter la terre en poète - Gilles Clément. Le dernier homme - Margaret Atwood. Paru en 2003 aux USA et traduit en français en 2005, "Le dernier homme" est le 11ème roman de la romancière canadienne Margaret Atwood, notamment auteure du génialissime "La Servante écarlate", de "La Femme comestible" ou plus récemment de "Le Temps du déluge".Suite à la propagation d'un virus foudroyant à l'échelle planétaire, il semblerait bien que Snowman soit le dernier specimen d'une espèce en voie d'extinction.

Le dernier homme - Margaret Atwood

Mais alors qui sont donc les Crakers, ces êtres vierges de toute histoire et dénués de vices ? D'où proviennent les porcons, les louchiens, les rasconses et autres créatures hostiles arpentant comme lui cette Terre dévastée à la recherche de nourriture ? Snowman sait qu'il est nécessaire à sa survie de retourner vers les plèbezones et traverser les Compounds si il veut atteindre Sentégénic, cette forteresse qui a vu naître la folie d'un homme et causé la perte de millions d'autres. Alors qu'il prépare son expédition, Snowman ressasse ses souvenirs. Le Baron perché - Italo Calvino. Ce livre se trouvait sur ma table de nuit depuis un petit moment.

Le Baron perché - Italo Calvino

Exemplaire offert par l'éditeur et le cercle de l'enseignement. J'appréhendais un peu m'imaginant une lecture scolaire "obligatoire".Ayant repris le chemin du boulot et donc le train train quotidien j'ai embarquée à bord de mon TER ce poche à la couverture artistique. Je ne savais pas trop à quoi m'attendre mais finalement j'ai bien apprécié cette lecture. L'histoire est celle d'un jeune homme de noble famille qui à la suite d'une dispute familiale décide de s'exiler sur les arbres. Il s'affranchit ainsi des règles instaurées par sa famille. Un ami de la terre - T.C. Boyle. En 2025, tout ce qu'avait prédit les scientifiques, soit-disant alarmistes, sur les conséquences du réchauffement climatique, se révèle tout à fait exacte, en pire : tempêtes à répétitions, périodes de pluies intenses suivies de périodes de sécheresse, tout cela est devenu une triste réalité.

Un ami de la terre - T.C. Boyle

Ty Tierwater, 76 ans, ancien eco-warrior "à la retraite", s'occupe d'animaux dont il ne reste qu'un ou deux spécimens sur toute la planète : 3 lions, une hyène, une renarde de Patagonie, des vautours, et quelques autres derniers survivants. C'est Mac, une ancienne star du rock, qui possède une immense propriété en Californie, qui joue les sauveurs. La tortue et l'orang-outan : une fable écologique d'Eric Chevillard.

Un roman qui mêle fiction de réécriture et fable écologique signé par l'un de nos plus grands écrivains.

La tortue et l'orang-outan : une fable écologique d'Eric Chevillard

Le dernier roman d’Éric Chevillard, L’explosion de la tortue (le vingt deuxième qu’il publie aux éditions de Minuit depuis la fin des années 1980), est une œuvre éblouissante, dans laquelle l’auteur donne une fois de plus toute la mesure de son extraordinaire maîtrise formelle et de la singulière richesse de ses thématiques. La structure du roman est déroutante et exige pour être pleinement saisie plusieurs lectures, lesquelles permettent de comprendre petit à petit que le roman dans sa totalité est une fiction de la réécriture qui s’emploie à en déployer systématiquement tous les types, sur un mode fondamentalement ironique. Réécriture et littérature La structure du roman La septième et dernière partie est peut-être la plus étrange d’entre toutes puisqu’elle assume deux fonctions simultanément.

Les œuvres posthumes de Louis-Constantin Novat. Défaite des maîtres et possesseurs - Vincent Message. Put… la claque de fin d'année !!!

Défaite des maîtres et possesseurs - Vincent Message

Avec Défaite Des Maîtres Et Possesseurs, son deuxième roman, Vincent Message aborde, par le biais d'une fable cauchemardesque, un thème qui devrait nous préoccuper toutes et tous mais que nous préférons souvent ignorer, trop occupés que nous sommes à foncer droit dans le mur : celui de l'empreinte écologique toujours plus lourde de l'homme et de l'épuisement toujours plus rapide des ressources que la Terre offre à ceux qui l'habitent.Le jour symbolique du « dépassement de la Terre », à partir duquel nous vivons à crédit, en consommant plus de ressources que notre planète ne peut en produire en un an, survient de plus en plus tôt. Dès ce dépassement, notre consommation, la manière dont nous exploitons la planète, bouleversent l'équilibre des systèmes et compromettent la biodiversité. En 2017, nous avons commencé à vivre à crédit… le 2 août.

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