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Fantasy

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Filles de Lune, tome 1 : Naïla de Brume - Élisabeth Tremblay. Élisabeth Tremblay - Livres, citations, photos et vidéos. La littérature féminine et l'image que les lectrices ont de leur corps. L'institut amériain de haute éducation Virginia Tech a publié les résultats d'une récente étude au sujet de l'influence de la littérature féminine sur l'estime de soi et le rapport au corps des lectrices. Et selon les observations relevées, le genre ne serait pas aussi psychologiquement inoffensif qu'il semble à première vue. Il pourrait avoir un effet sur la manière dont les femmes appréhendent leur poids ou encore la perception de leur propre attractivité sexuelle. La « chick lit », une question de santé publique ? Creative Commons (cc by 2.0) Selon l'Oxford English Dictionary, la « chick lit » désigne la littérature qui s'adresse avant tout aux femmes.

En somme, l'observatoire idéal pour la recherche sur les liens entre représentations textuelles de l'esthétique du corps, de son poids ou du sentiment d'attractivité sexuelle. Sources : Huffington Post , Science Direct , Pacific Standard Pour approfondir. Etude le lecteur jeune adulte. Les Chevaliers d'Émeraude. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Synopsis[modifier | modifier le code] Enkidiev, continent peuplé d'hommes, d'elfes, de fées est, depuis cinq cents ans, en paix après une guerre contre l'Empereur Noir Amecareth, souverain d'Irianeth, l’empire des hommes-insectes situé sur le continent éponyme, et de civilisations peu commodes, mais asservies. Celui-ci décide tenter une seconde fois de conquérir Enkidiev sur les conseils de son sorcier, Asbeth.

Le seul espoir de survie d'Enkidiev réside dans la résurrection de l'ordre des Chevaliers d'Émeraude par le roi Émeraude 1er. Ces guerriers magiciens seront chargés de protéger le continent jusqu'à l'accomplissement de la prophétie voulant que le porteur de lumière, sur le point de naître, détruise à jamais la menace que fait peser l'Empereur Noir sur Enkidiev. Histoire complète[modifier | modifier le code] Le roi Jabe d'Émeraude découvrit qu'Amecareth avait conçu un fils hybride en violant une humaine. « Twilight 2 » : pourquoi les vampires font vendre. Le second volet de « Twilight », « Tentation », sort ce mercredi 18 novembre dans les salles de cinéma. Mais qu’est-ce qui attire les adolescents – et surtout les adolescentes – vers ces créatures blafardes à l’eau de rose ? (Voir la bande annonce) (De nos archives) Les chiffres le disent : les vampires sont en vogue.

Amoureux, ils sont même très en vogue. En France, la « Saga du désir interdit » (« Twilight ») de l’Américaine Stephenie Meyer s’est vendue à plus de 2,6 millions d’exemplaires. Succès considérable auprès des ados, cette série romanesque en 4 tomes -« Fascination », « Tentation », « Hésitation » et « Révélation“- raconte une histoire d’amour entre Bella, jeune lycéenne ordinaire et Edward, jeune lycéen vampire.

Comme chacun sait, un vampire, c’est mortel mais emporté par la passion, le couple va braver tous les dangers -y compris celui du désir- sur des milliers de pages très, très sentimentales. ‘Une dissection des sentiments qui intéresse les lectrices’ Et ça marche. Interview de Jean Marigny. Jean Marigny, spécialiste de la mythologie du vampire Propos recueillis en 2001 par Olivier Valentin Photographies : Simon Marsden (extraites de "The Journal of a Ghosthunter" et du site web The Marsden Archive, avec l'aimable autorisation de l'auteur) © Toute reproduction interdite Maison-Hantee.com : Dans votre article intitulé "Les nouveaux visages de Dracula dans la littérature fantastique du XXème siècle" et paru dans Vampire : Portraits d’une ombre aux éditions Oxymore, vous écrivez : « En écrivant Dracula, Bram Stoker avait renoué avec la tradition gothique dans la mesure où son héros était dépeint comme un être profondément pervers qui incarnait le mal absolu, qui était l’ennemi de Dieu et des hommes, et qui devait être détruit. » Jean Marigny : Il est vrai que le Dracula que l'on rencontre dans la littérature contemporaine ne correspond plus guère au modèle que nous avait légué Stoker.

Quelles grandes tendances se sont dégagées de ces rencontres ? Jean Marigny : Bien entendu.