Nofollow. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Syntaxe[modifier | modifier le code] Lien classique vers un autre site en HTML 4 : <a href=" présentant un lien vers le site 1</a> Lien avec attribut nofollow : <a href=" rel="nofollow">Texte présentant un lien vers le site 2</a> Utilisation[modifier | modifier le code] L'utilisation principale de cet attribut est lié au contenu généré par les internautes (commentaires de blogs, liens depuis des wiki...). Lutte contre l'achat de liens[modifier | modifier le code] L'usage de cet attribut s'est ensuite étendu à la lutte contre l'achat de liens pour le référencement naturel.
Le PageRank sculpting[modifier | modifier le code] Le PageRank sculpting est une technique qui consiste à placer l'attribut nofollow sur des liens internes pointant vers des pages considérées comme de faible intérêt pour les moteurs de recherche. Êtes vous un « curator »? Après la e-reputation, le personal branding et le community management, voici le tout dernier né de la famille des mots à la mode: le curator.
Je sais pas si ces mots sont clairement définissables puisque j’entends encore des pros de l’internet et des réseaux sociaux dire par exemple: « le community management? Un truc fourre-tout, personne ne sait vraiment ce que c’est… ». Alors qu’est ce qu’un curator? Un spécialiste du contenu Au début du web, il fallait se charger de référencer le contenu et de rendre toutes les pages accessibles sur demande, Google s’en est chargé. Le degré ultime d’engagement? Selon cette pyramide de l’engagement, la curation est le stade ultime de l’engagement sur le web.
Think about it. Le débat reste ouvert… Ok mais c’est quoi alors? L’idée, à mon avis, c’est que la synthèse générée par un curateur sur un sujet donné soit plus intéressante que la somme des contenus qu’il a sourcé. #CM : Quand la communauté n'existe pas encore... Cet article a été publié il y a 4 ans 3 mois 23 jours, il est donc possible qu’il ne soit plus à jour.
Les informations proposées sont donc peut-être expirées. Quand une communauté n’existe pas encore, il y a bien évidemment tout à créer… Pour une marque déjà très emblématique, la création de la communauté ne sera pas l’étape la plus difficile. Par contre, pour des organisations dont la notoriété est faible et/ou de taille petite-moyenne, les difficultés commencent dès la création. C’est un peu l’objet de cet article et à ces organisations qu’il s’adresse. Voici, selon moi (ceci est un avis très personnel qui est bien évidemment ouvert à débat !)
On ne part jamais de zéro… Première bonne nouvelle ! Ces personnes seront les premières à intégrer votre communauté et peuvent potentiellement être des relais sur lesquels vous appuyer car ils appartiennent déjà à une micro-communautén, ce qui est très important de ne pas négliger, comme expliqué dans le très bon article d’Antoine Dupin. Réseaux sociaux, folksonomie et recherche sur Internet. WEB 2.0 : Le web sémantique Entre 2003 et 2005, le World Wide Web a vécu sa première grande mutation : Alors que les blogs et les wikis tissent une nouvelle toile, les sites Web 2.0 s'équipent d'interfaces pour interagir avec le contenu, les flux Rss simplifient la surveillance des pages web et la diffusion d'information, les réseaux sociaux se développent et offrent de nouveaux outils de communication... Si certains n'y voient alors qu'une opération marketing, le web 1.0 statique devenu dynamique grâce aux langages de scripts est résolument entré dans l'ère de la sémantique.
Les taxonomies populaires et la recherche sur Internet Le mot "folksonomie" est apparu en 2002 sur Internet pour décrire une expérience de classement de ressources effectué librement et spontanément par des utilisateurs du réseau. Ce néologisme de l'anglais est né de la contraction des mots "flok", le peuple, avec "taxonomy" qui est la classification d'éléments. Les bonnes adresses du web 2.0 !