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Eco(dé)mystificateur. Paul Krugman. Paul Krugman joined The New York Times in 1999 as a columnist on the Op-Ed Page and continues as professor of Economics and International Affairs at Princeton University. Mr. Krugman received his B.A. from Yale University in 1974 and his Ph.D. from MIT in 1977. He has taught at Yale, MIT and Stanford. At MIT he became the Ford International Professor of Economics. Mr. At the same time, Mr. La mécanique de l'industrie. Apple a publié les meilleurs résultats de son histoire.

Une progression a deux chiffres qui a de quoi faire rêver... et n'incite pas sa direction, Steve Jobs en tête, à la modestie. Hier, Steve Jobs, PDG d’Apple a animé la présentation des résultats de son groupe. Fait rarissime que les analystes qui ont pu lui poser des questions lors d’une conférence téléphonique n’ont pas manqué de saluer. Félicitations et remerciements au maître de cérémonie (maître du monde ?). Pour l’occasion, Steve Jobs n’est pas uniquement sorti de sa réserve, il a aussi sorti l’artillerie lourde pour pilonner consciencieusement ses concurrents.

Dans le désordre : RIM. Le succès d’Apple qui a « inventé un nouvel équipement informatique », l’iPad, c’est vrai, une nouvelle façon d’utiliser un téléphone, d’écouter de la musique… ne se conteste pas. Steve Jobs voulait sans doute rappeler deux choses. Le blog des Marchés de la bourse et des investisseurs.

Les résultats du premier tour des élections présidentielles suscitent de réelles inquiétudes parmi les investisseurs qui redoutent à la fois une dégradation des relations franco allemandes dommageable au fonctionnement de l'euro et un report aux calendes grecs de l'objectif de rétablissement de l'équilibre des finances publiques françaises. Ces craintes, auxquelles s'ajoutent la dégradation de la situation politique aux Pays-Bas et des indices d'activités économiques très décevants en Europe, conduisent à la forte baisse que nous connaissons aujourd'hui.

Mais dans le cas où François Hollande l'emportait au second tour, certains investisseurs envisagent déjà un scénario comparable à celui de 1981. Un tel scénario serait très bienvenu, mais il a hélas très peu de chances de se produire, car l'état des marchés et surtout celui de la France de 2012 n'est hélas plus du tout celui de 1981. Première différence, l'inflation. La compétitivité des entreprises françaises est dégradée.