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Lisa Rienermann (LisaRienermann) sur Twitter.  Galeries virtuelles des photographies de Doisneau. ACCUEIL: Cyrus Cornut Photographie. Metz Photo : rencontre avec Cyrus Cornut. Deuxième partie de nos articles/interviews consacrés aux trois photographes présents à l'occasion de l'exposition "Nos Vi[ll]es" à l'Arsenal de Metz. Cette fois LOR'Actu a rencontré Cyrus Cornut qui expose "Voyage en Périphérie"... Qu’est ce qui vous a amené à faire de la photo ? Heu…c’est une grande question ! Je suis un peu arrivé à la photographie par le voyage. Je suis architecte de formation mais j’ai toujours eu une obsession du voyage et c’était un métier qui me permettait en fait de pas mal voyager, donc ça fait partie des raisons pour lesquelles je me suis mise à la photo.

Vous avez commencé à quel âge ? J’ai commencé il y a 5 ans, en 2005 lors d’un voyage en Chine à la fin de mes études d’architecture. Quelles sont vos techniques photographiques ? Là, c’est un travail qui a été fait au numérique (ndlr : en parlant de l’exposition « Voyage en Périphérie »), après je n’ai pas de techniques particulières. A travers cette exposition que souhaitez-vous exprimer ? Avez-vous des projets ? La artnet d'Henri Cartier-Bresson. Le sens des images » Analyse d’une photographie : “Downtown New York” de Henri Cartier-Bresson (1947) Un homme est assis à même le sol dans une ruelle sombre, seul face à un chat. Henri Cartier-Bresson a intitulé cette photographie « Downtown New York » (centre de New York). Il aurait pu la titrer « une ruelle sombre de New York » ou « une âme perdue dans New-York ». Or, il a choisi une autre légende qui nous oblige à voir dans cette scène une évocation de la ville et un symbole.

Et c’est ainsi qu’il faut lire ce portrait. Le photographe propose ici sa vision de New York et, de la sorte, délivre un point de vue subjectif, un commentaire personnel, loin des images touristiques habituelles sur la « grosse pomme ». Nous allons ainsi voir comment, à travers l’évocation du gigantisme de la ville et la solitude d’un homme, Cartier-Bresson brosse un portrait critique de la société moderne. Le sujet évoqué est donc New-York. Cela dit, l’image n’est pas triomphante. Et ce ne sont pas là les seuls signes négatifs véhiculés par l’image.

Alors quelle conclusion en tirer ? Eugène Atget.