background preloader

Technologies

Facebook Twitter

Systèmes

Web. Microsoft préparerait un émulateur pour faire tourner les applications PC sur smartphones. Malgré ses efforts, Microsoft n'a pas su s'imposer comme l'acteur de référence dans les systèmes d'exploitation pour smartphones. Le leader des OS pour ordinateurs a raté le tournant des écrans tactiles (sur lesquels il avait pourtant misé très tôt), et s'est fait devancer par Apple (avec iOS), puis Google (avec Android), lors de l'avènement des smartphones modernes et de leurs magasins d'applications. Face à la réticence des développeurs tiers envers sa plateforme et à la difficulté de remonter la pente sur un marché déjà acquis aux concurrents, Satya Nadella, à peine nommé CEO de l'entreprise, a préféré arrêter les frais. Microsoft n'a pas dit son dernier mot pour autant. Sur Twitter, l'utilisateur "WalkingCat", connu pour sa sagacité quant aux projets de l'entreprise de Redmond, a révélé l'existence d'un émulateur (nom de code: Cobalt) capable de faire fonctionner des programmes compilés pour les processeurs x86 sur des processeurs ARM64.

Le vrai potentiel de Continuum. F8 : Facebook fonce sur l'open source pour les développeurs, Workplace plus mûr. Après les réalités augmentée et virtuelle, la connectivité et les contenus à 360°, Facebook avait en réserve de nombreuses annonces pour les développeurs lors de sa conférence F8. La société est un gros fournisseur d’API et de frameworks en tous genres, et elle a cette année encore tiré dans toutes les directions.

Facebook est un acteur important dans le développement logiciel et web. Non seulement parce qu’il est incontournable dans les réseaux sociaux – ce qui entraine une « mise en conformité » presque obligatoire – mais aussi parce qu’il fournit bon nombre de technologies diverses, dont une bonne partie en open source. L’un des projets les plus connus est par exemple React Native. Ce framework mobile hybride permet d’utiliser des ressources et langages web pour développer des applications natives. Il n’est pas le premier dans ce domaine, mais Facebook tente de promouvoir ici la simplicité qu’il a à n’utiliser qu’une base de code pour l’ensemble des plateformes.

TypeScript 2.2 ajoute le type Object et se veut plus en phase avec React Native. Le langage TypeScript de Microsoft est désormais disponible en version 2.2. La nouvelle mouture se concentre tout particulièrement sur un meilleur support du framework React Native de Facebook, ajoute de nouvelles corrections rapides de code et officialise le type object. TypeScript est, comme son nom l’indique, un langage de script.

Il s’agit d’un surensemble de JavaScript, est totalement compatible avec ce dernier, et se destine à la gestion de gros projets. Open source (avec environ 150 contributeurs), il bénéficie d’un succès grandissant, au point d’ailleurs d’avoir été choisi par Google comme voie royale pour son Angular 2. Contrairement à JavaScript, il est transpilé de manière statique, ses erreurs étant vérifiées à la compilation, non à l’exécution. Compatibilité React Native et outils La nouvelle version 2.2 commence par s’accommoder davantage du framework React Native de Facebook. Type object, new.target et mixin TypeScript 2.2 ajoute en outre un nouveau type, baptisé object.

Visual Studio Teams Services s'aguerrit pour mieux gérer les builds. La solution cloud de logiciels de développement Visual Studio Teams Services bénéficie désormais de requêtes d'extraction (Pull Requests - PR) plus simples, d'une meilleure gestion des paquets et d'une intégration GitHub continue. Dans un document présentant les futures améliorations de la suite de logiciels de développement dans le cloud, dont le déploiement est prévu dans les prochaines semaines, Microsoft indique que « ces mises à jour permettront de travailler plus facilement avec les requêtes d’extraction attribuées aux équipes ».

Dans les notes de mise à jour de Visual Studio Teams Services, l’éditeur précise qu’ « au moment de la création ou de la mise à jour d’une requête d’extraction, tous les membres de toutes les équipes assignées à la Pull Request recevront désormais des alertes par courrier électronique ». Team Services fournira aussi des conseils aux équipes soumises aux politiques de branche. La gestion des paquets gagne également en rapidité. Google renforce à nouveau le compilateur de Go avec la version 1.8. Six mois après la mouture 1.7 de son langage Go qui s’attelait à optimiser la compilation, Google remet le couvert, avec les mêmes objectifs.

Go 1.8 modifie un certain nombre d’éléments dans la chaine d’outils notamment, mais garde la compatibilité de la branche 1.X. Go est un langage de Google, conçu pour la vitesse, tant dans le développement que dans la compilation. S’inspirant très largement des langages C++ et Python, il doit fournir des performances proches du C, sans toutefois les atteindre. En contrepartie, il se veut simple à aborder et à assimiler. En outre, la phase de compilation peut être jusqu’à 80 ou 90 % plus rapide que celle du C. Une version 15 % plus rapide selon Google La version 1.8 continue sur la même lancée que la 1.7. Toujours basé sur la forme SSA (Static Single Assignment), où chaque variable n’est affectée qu’une seule fois, il génère un code plus compact. Des ajouts et de la compatibilité Tous les changements sont disponibles dans l’annonce officielle. SNCF Voyageurs mise sur une GED open source. La division Voyageurs de la SNCF a choisi la GED de Nuxeo intégrée par Sollan pour gérer ses documents, notamment ses référentiels projets.

PublicitéEn charge du transport régional et inter-régional de personnes, SNCF Voyageurs génère un chiffre d'affaires de 15,4 milliards d'euros grâce à ses 75 000 collaborateurs. Cette division de la SNCF ne doit pas être confondue avec Voyages-SNCF, agence de voyage du groupe. Son activité quotidienne implique la gestion de très nombreux documents à partager entre équipes, notamment les référentiels projets. L'historisation des versions, la coproduction documentaire collaborative, le partage sécurisé, etc. sont autant d'impératifs. Pour améliorer cette fonction essentielle, la DSI de SNCF Voyageurs a décidé de mettre en oeuvre une nouvelle GED.

Elle a opté pour la solution de Nuxeo intégrée par Sollan. Article rédigé par Laurent Mavallet, Journaliste Partager cet article. Les DSI des banques face aux défis blockchain, cybersécurité et cloud. Une technologie blockchain plus mûre, une cybercrimalité plus puissante et le cloud vont perturber les DSI des banques en 2017. PublicitéLes douze derniers mois ont été une période de changement technologique dans le secteur financier britannique, avec le lancement de concurrents, les banques numériques et le développement de systèmes basés sur des blockchains, l'adoption accrue du cloud et une menace croissante en cybersécurité.

L'intérêt pour le blockchain a continué de croître en 2016, certaines des plus grandes banques du monde dévoilant des projets pilotes comme la Banque Royale d'Écosse, Barclays et Santander. Elles créent actuellement des applications à base de blockchain, par exemple pour les paiements internationaux. Il faudra quand même une bonne décennie avant que les systèmes à base de blockchain soient généralisés et débouchent sur une utilisation dans le grand public. Des attaques dévastatrices La cybercriminalité a été l'autre grand sujet en 2016 pour la finance. BNP Paribas teste la blockchain pour des virements internationaux. BNP Paribas a réalisé un démonstrateur de virements internationaux utilisant la technologie blockchain au profit de deux clients-tests partenaires de l'opération, Panini Group et Amcor.

PublicitéLa technologie blockchain a été testée par BNP Paribas pour réaliser de manière quasi-instantanée des virements internationaux multi-devises entre des entités du groupe situées en Allemagne, aux Pays-Bas et au Royaume-Uni. Les virements ont été opérés au profit de deux clients-tests partenaires de l'opération, Panini Group et Amcor. Le trésorier de Panini Group a vu dans cette technologie l'opportunité de réaliser des transactions de montants élevés quasiment en temps réel.

Ce démonstrateur, issu d'un hackathon, a été baptisé « cash without border » [argent liquide sans frontière].Pour comprendre l'intérêt de cette technologie, commençons par le mode traditionnel de fonctionnement. Une multitude d'intermédiaires dans la méthode traditionnelle Réaliser une opération simple et rapide.