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Dette

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Evolution de la dette 1950 a 2010. Nouveau : Histoire de la Dette Publique depuis 1800 Malgré le ralentissement des déficits, la dette en % du PIB continue à augmenter en 2013. Pour 2014, l'inconnue majeure demeure l'évolution à venir du PIB, le contexte économique défavorable combiné à la très forte augmentation des impôts qui risque de retarder la fragile reprise en France. BUDGET DE L'ETAT en 2013 (Etat + Administrations publiques) La France continue à dépenser plus qu'elle ne produit. Les recettes ont augmentées de 3.2% soit +35 Mds d'Euros du fait des augmentations brutales d'impôts.

Les dépenses ont encore augmentées de 1.9%. Le solde primaire, calculé avant la charge de la dette, est important à connaître : s'il est négatif, cela veut dire que nous continuons à alimenter la dette. On montre que la dette se stabilise lorsque le solde primaire (en % du PIB) est égal à l'écart entre le taux d'intérêt réel et le taux de croissance de l'économie multiplié par le ratio de la dette publique dans le PIB. Evolution de la dette de 1979 a 2008. ... Cette page "En savoir plus" est en construction ...donc un peu "en vrac" - Site "Dette et monnaie" - Site "faux monnayeurs" - Site "Chomage et monnaie" - Site du Mouvement Sociétal - Site de l'ADED L'Association pour les Droits Economiques et Démocratiques - Site de Jean Jégu - Vidéo sous - titrée " la monnaie-dette" money as debt, de Paul Grignon - Site "libérons la monnaie" - Livre d'A-J Holbecq et Philippe Derudder La dette publique, une affaire rentable Ci-dessous, l'évolution en euros constants de la dette publique (courbe rouge) et ce qu'elle serait devenue (courbe verte) dans un systeme monétaire où l'état, à partir de 1980 (en partant d'une dette de 229 milliards d'euros fin 1979, déja litigieuse), aurait récupéré son droit de création monétaire.

Traité de Maastricht - Article 104. Evolution de la dette 1978 a 2010 Wiki. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Dette publique de la France, en % du PIB, et en milliards d'euros courants, en fin d'année, 1978-2010. Dette publique et affichage des couleurs politiques des gouvernements (source : INSEE) La dette publique, « au sens de Maastricht » estimée par l'Insee, a été évaluée pour la fin du quatrième trimestre 2013 à 1 925,3 milliards d'euros, soit 93,5 % du PIB[1]. Elle représentait 663,5 milliards d'euros à la fin de 1995, ou 55,5 % du PIB et avait atteint 1 211,6 milliards d'euros (64,2 % du PIB) à la fin de l'année 2007[2].

Ce chiffre, qui sera à rembourser par les administrations publiques, est à comparer à leurs recettes annuelles. un déficit public annuel qui ne devrait pas excéder 3 % du PIB[3].une dette publique[4] qui devrait rester inférieure à 60 % du PIB[5] Depuis 2007, la France ne respecte aucun de ces critères. La question de la gestion et de l'avenir de la dette publique occupe aujourd'hui le débat public. EVOLUTION DE LA DETTE de 1981 a 2011. Dette publique de la France.

Dette publique de la France, en milliards d'euros courants et en % du PIB, fin 1978 à fin septembre 2017. Dette publique et affichage des couleurs politiques des gouvernements (source : INSEE). La dette publique, « au sens de Maastricht » estimée par l'Insee, s'élevait à 2 299,8 milliards d'euros à la fin du deuxième trimestre 2018[1], soit 99 % du PIB, contre 55,8 % à la fin de 1995 et 66,8 % à la veille de la crise de 2008.

Ce montant, à rembourser par les administrations publiques, peut être comparé à leurs recettes annuelles, à leurs actifs financiers et à leur patrimoine net. L’endettement public a connu au cours de l’histoire de fortes variations, ne prenant de l'ampleur qu'au XVIIIe siècle et atteignant lors des guerres puis de la Révolution des niveaux considérables, ensuite épongés par des périodes de forte inflation, de forte croissance, ou de hausse des recettes publiques. De 2007 à 2017, la France ne respectait aucun de ces critères. Définitions[modifier | modifier le code] La dette publique est plombée par des intérêts illégitimes. Comment ne pas être d’accord avec Jean Gadrey (lire sur son blog : Sur les dettes publiques en France et en Europe), comment ne pas vouloir mettre plus de justice fiscale et faire payer des impôts équitables à ceux qui, à ce jour, bénéficient d’avantages fiscaux considérables, impôts dont la perception permettrait effectivement une « relance durable » ?

Car nous avons deux problèmes à résoudre simultanément. Le premier problème est donc de trouver les financements de la relance durable et de la transition énergétique sans simultanément augmenter la dette ni les prélèvements sur les classes moyennes déjà exsangues. Et là je pense qu’une partie de ces plus ou moins 100 milliards d’euros annuels à récupérer, estimation tout à fait cohérente de Jean, trouvent ici leur place. Le second problème c’est celui du remboursement de la dette publique à chaque échéance des titres de dette. Des intérêts illégitimes cliquer sur le graphique pour l'agrandir Quelles solutions ? L’inflation.