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Best 2011 Movies

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TOP12 Cinémaniac des films de l'année 2011. CinéManiaC CinémaniacVintage (archives 2006/2007) CINEMANIAC sur Google+ Tumblr. "L'Ange du mal" ("Vallanzasca - Gli angeli del male" ) : le film mafieux parfait existe encore! Pitch. Portrait du gangster Renato Vallanzasca, surnommé l'ange du mal, qui défraya la chronique en Italie dans les années 70.

En empathie avec le public malgré les violences perpétrées par son gang, l'homme, condamné à une quadruple perpétuité, est devenu une légende. Il avait frappé fort avec "Romanzo criminale", il récidive avec "L'Ange du mal", surnom et portrait du gangster Renato Vallanzasca, arrêté, évadé à maintes reprises, condamné quatre fois à perpétuité, encore en prison aujourd'hui. Renato Vallanzasca est originaire de Milan, c'est enfant qu'il rencontre ceux qui vont constituer le noyau dur de sa bande, comme Enzo, le frère spirituel ou Antonella, la "frangine" de Naples. Le film démarre en 1981, Renato est en prison, il agresse un maton, va être tabassé en retour, scène qu'on reprendra ensuite. photo Fox international/Wild Bunch distribution Un crochet par l'enfance, Renato ne supporte pas la contrainte, il libère les animaux emprisonnés. Black swan" : danse avec les démons. "Drive" : portrait d'un lonesome cow-boy urbain.

Pitch. Cascadeur le jour, chauffeur pour la mafia la nuit, le driver fait la connaissance d'une jeune femme et de son fils, ses voisins de palier. Pour les protéger, il accepte de conduire un braquage aux côtés de son mari qui sort endetté de prison. Le film aurait dû s'appeler "The Driver" mais c'était déjà pris (un film américain de 1978 avec Ryan O'Neal et Isabelle Adjani).

Débarqué un jour dans un garage, son gérant, Shannon, bluffé par ses talents au volant, devient le manager du driver. Solitaire, mutique, le driver est cascadeur sur des tournages de LA durant le jour, chauffeur pour des truands la nuit. Avec un code de conduite strict : ne pas participer aux casses, s'en tenir à conduire. photo Le Pacte Un jour, Shannon propose à Bernie Rose, un mafioso notoire, d'investir dans un nouveau véhicule afin que le driver puisse participer à des courses de stock-car où il ne doute pas qu'il sera le meilleur.

Photo Le Pacte. "Habemus papam" : destinées. Compétition officielle/CANNES2011 Pitch.Après la mort du Pape, le Conclave se réunit afin d’élire son successeur. Plusieurs votes sont nécessaires avant que ne s’élève la fumée blanche. Un cardinal est élu mais mais les fidèles sur la place Saint-Pierre attendent en vain l’apparition au balcon du nouveau souverain pontife. Tragicomédie parfaite dont seuls les italiens ont le secret, "Habemus papam" pourrait bien figurer au palmarès. Drôle, original, subtil, c'est du grand Moretti qui interprète ici un psychanalyste appelé en renfort pour assister le nouveau pape démissionnaire. Photo Le Pacte Le cardinal Melville (Michel Piccoli), élu contre toute attente, s'effondre avant de parvenir à saluer au balcon la foule de fidèles amassée sur la place Saint Pierre... Avec une apparente simplicité, Nanni Moretti livre ici un film superbe, aussi drôle que tragique, sur la destinée, les regrets, l'impuissance, les rêves enfouis des plus grands de ce monde.

Photo Le Pacte. "L'Homme d'à côté " et "Medianeras" : voisins à Buenos Aires. Buenos Aires, ville à l'architecture anarchique, tours et buildings de toutes les hauteurs, trois millions d'habitants, cloîtrés dans les murs gris de cette architecture moderne, deshumanisée, entassant des solitudes voisines et étanches dans des cubes en bétons. Le film part du principe que dans chaque immeuble, il y a une façade inutilisée en béton, sans fenêtres. ni ouvertures. Ces murs mitoyens ou presque qui séparent deux immeubles quasiment contigus, couverts de publicités, pourraient s'ouvrir, se "tendre la main"...

Dans une tour, Martin, dans une autre tour, Mariana, le premier habite au 4ième étage, la seconde au 8ième étage. Cet enfermement chacun dans 40 m2, un palier sinistre, des voisins invisibles, pour seules visites, parfois, un postier et un paquet, engendre toutes sortes de névroses : Martin, agoraphobique, a passé deux ans chez lui sans oser sortir. Kim Jee-woon/"I saw the devil"("J'ai rencontré le diable"): la vengeance au superlatif + films compétition. Samedi, je tente un film de la section Action, Asia, j'ai choisi "Wind blast" de Gao Qunshu, croyant voir un polar, en fait, il s'agit d'un western à la sauce Hong-Kong où ça flingue à tout va dans une dynamique action à 300%, musique à fond, et, très vite, on ne sait plus très bien pourquoi tout ça, n'ayant pour indication de départ que deux images avant le générique, une photo prise d'une voiture, un meurtre commandité. Après avoir effectué son contrat à Hong-Kong, le tueur à gages Zhang Ning, de retour en Chine, est poursuivi à la fois par la police dont son chef surnommé le Léopard, et par deux chasseurs de primes sophistiqués.

"Wind blast" Retour au CID vers 17h30 pour un film chinois en compétition, "Buddha mountain" de Li Yu qui a une particularité, il a été réalisé par une réalisatrice, rare en Chine. "Michael" : choc blanc. Pédophile de 35 ans, et Wolgang, un petit garçon de 10 ans, que l'adulte séquestre dans la cave de sa maison. Ce film, bien qu'autrichien, m'a immédiatement fait penser au nouveau cinéma allemand, dit de l'Ecole de Berlin, cinéma comportementaliste glacé, clinique, prenant appui sur les détails matériels du quotidien, sur les rituels ordinaires de la vie domestique où aucun plan n'est gratuit dans son apparente banalité : il ouvre la porte, il ferme la porte, la première porte capitonnée, celle qu'on montre à l'écran, en premier lieu, qui interpelle le spectateur, pourquoi ce type de porte dans un modeste pavillon de banlieue?

L'escalier conduisant à une cave et cette seconde porte dont le propriétaire, Michael, va bidouiller une combinaison codée dans un placard, puis dévérouiller une porte blindée bleu pâle comme la couleur de la layette pour les garçons. "Les Neiges du Kilimandjaro" : retourner le film de la fin des utopies. La première scène montre Michel (JP Darroussin), responsable syndical, assisté de Raoul (Gérard Meylan), son collègue et beau-frère, qui tire au sort 20 noms dans un chapeau : la liste des ouvriers qui vont être licensiés afin d'empêcher la fermeture de l'usine. Michel tire son nom, Raoul l'engueule, il n'était pas obligé de faire partie du tirage au sort pour cause de syndicat mais Michel y tenait, il ne semble pas très affecté par cette pré-retraite forcée, parti de l'usine en héros au sens qu'il a terminé sa vie professionnelle en accord avec son engagement politique, ses idées d'égalité.

Pourtant, Christophe (Grégoire Leprince-Ringuet), le dernier licencié tiré au sort, un des derniers embauchés aussi, le vit différemment, à un point de rage et désespoir que ni Michel ni Raoul ne peuvent l'imaginer. "L'Ordre et la morale" : l'Apocalypse selon Kassovitz. Le capitaine Legorjus va tenter d'approcher le groupe du nord, mené par Alphonse Dianou, réfugié dans la grotte d'Ouvéa. Bien qu'on ait voulu rattacher le groupe de rebelles au FLNKS, classé organisation terroriste par le gouvernement français, ce n'est pas le cas, la plupart des hommes de Dianou sont des villageois, pères de famille, dépassés par les évènements.

Le FLNKS, au contraire, tend à se faire prier pour revendiquer la prise d'otages. Le capitaine Legorjus, bien que soutenu mollement par le commandant Prouteau, super-gendarme conseiller à l'Elysée, se voit mettre les bâtons dans les roues par le ministre Pons, aboyant des ordres depuis sa confortable résidence à Nouméa, qui veut que l'armée passe à l'assaut pour faire un coup électoral.

Démarrant sur la cauchemar éveillé du capitaine Legorjus qui tente de se souvenir pourquoi les choses ont dégénéré, des images floutées de l'enfer dans un décor paradisiaque défilant sous ses yeux, flash-back. "Sibérie, Monamour" : des hommes et des loups. On voit que le réalisateur, né en Sibérie, aime son pays autant qu'il ne fait pas impasse sur les conditions de vie impitoyables des habitants et leur férocité entre eux. La manière dont il montre les enfants qui jouent "quand même" avec un vieux pneu sous la neige, sous des pluies glacées tombant en rideau, tandis que les adultes triment, réfugiés dans l'alcool, béquille indispensable, s'enfoncent dans une animalité prédatrice, est très forte.

L'épouse de l'oncle, non seulement empêche son mari d'aider ses proches en lui confisquant son sac de nourriture mais trompe son mari avec un ancien fiancé. Le capitaine ramasse une prostituée maltraitée, couverte d'hématomes, chez une mère maquerelle de la ville, jeune femme paumée dont il abuse ensuite dans la forêt. "True grit" : la vengeance d'une jeune fille qui a du cran. "Women without men" : été 53. Deux sociétés cohabitent, celle religieuse intégriste et celle occidentalisée comme les amis de Fakhri qui prisent les arts, la poésie, le chant, le cinéma. La femme voilée et la femme libérée telle Fakhri, élégante, en robe Jackie Kennedy, bijoux, mises en pli, fume-cigarettes. Mais qu'il s'agisse de Fakhri ou de Faezeh, chacune représentant un monde, l'ancien (Fakhri) plus moderne que le nouveau (Faezeh) régressif, anti-chambre de la future République islamique, toutes vont souffrir par les hommes, quand il ne s'agit pas de mariage forcé (Munis), de prostitution (Zarin), ce sont les déceptions amoureuses qui prenent le relais.

Paradoxalement, c'est Faezeh, la plus sage, qui va ouvrir les yeux sur sa condition de femme en Iran. Ce film réalisé par une femme, Shririn Neshat, photographe et vidéaste iranienne, dont c'est le premier long-métrage, a obtenu le Lion d'argent du meilleur réalisateur à la Mostra de Venise en 2009. Année cinéma 2011 : Top 10 et Worst 9 de Marge S. Année cinéma 2011 : le top 10 de Marcel Martial. En salles : L’année 2011 restera pour moi comme un bon cru. Voici mon Top 10 : 1. Intouchables2. Détective Dee3. X-Men le commencement4. La Planète des singes5. Rango 6. Que 2012 me bluffe ! 1. Et aussi Casa de mi padre, The Kill List, Kaira Shopping, Blanche-Neige, Le Dictateur, The Darkest Hour, La Vérité si je mens 3, War Horse, The Descendant, Target, We Bought a zoo, La Taupe, Cloclo, Les Infidéles…. Marcel Martial (I WANT MORE) Année cinéma 2011 : le Top 10 de Marsellus Wallace.

Ciné : La fin d'année est forcément la période des bilans, alors regardons ensemble dans le rétroviseur pour en extraire un traditionnel Top 10. Les films de 2011 qui nous ont le plus touché, fait rire, choqué et qui font que nous continuerons en 2012 à nous précipiter dans les salles obscures pour encore plus d'émotions cinématographiques. J'ouvre le bal (en incitant au passage mes camarades de Cineblogywood à faire de même) en vous dévoilant mes 10 films préférés de l'année, ainsi que les 10 films que j'attends le plus en 2012. Top 10 - 2011 1. The Tree of Life 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9. 10. Et comme 10 films c'est trop peu dans une année, je tiens à citer également : La guerre est déclarée, Les Lyonnais, La planète des singes - Les origines, X-Men : le commencement, Les aventures de Tintin... Mes 10 films les plus attendus en 2012 (dans leur ordre d'apparition sur les écrans) : Excellentes fêtes de fin d'année à tous !

Année cinéma 2011 : le top 15 de Travis Bickle. Shame : Manhattan, yuppie, chambre d’hôtel, addiction au sexe... pour un Français, les éléments qui composent la trame de Shame interpellent, forcément. Laissons de côté la rubrique faits-divers pour nous consacrer au cinéma. Et là, pas d’hésitations : il faut se précipiter sur le 2e film du cinéaste britannique Steve McQueen, après Hunger, déjà bien perturbant. Déclaration d’amour à New-York et à son acteur fascinant Michael Fassbender, Shame est l’œuvre la plus crue, la plus forte et la plus dérangeante de l’année. Hugo Cabret : pour la déclaration d’amour immodérée qu’adresse Scorsese à tous les publics – en 3D, s’il vous plaît ! La Guerre est déclarée : pour son énergie, sa folie, sa vitalité, son exubérance, son audace, sa mélancolie, sa tristesse aussi, sa mise en scène, son regard, son inventivité, son écriture, sa BO, sa lumière, son acteur, son actrice, ses seconds rôles, – bref, incroyable, vital, essentiel.

Melancholia : le film qu’on aurait eu envie de détester. Les films de 2011. Critique cinéma : La guerre est déclarée. La guerre est déclarée est le deuxième film de Valérie Donzelli (La reine des pommes), on le retrouvera au cinéma le 31 aout 2011. Le film était en compétition officielle au festival du film de Cabourg et il a remporté le Grand Prix du Long Métrage. Synopsis : Un couple, Roméo et Juliette. Un enfant, Adam. Un combat, la maladie. Casting : Valérie Donzelli, Jérémie Elkaïm, Gabriel Elkaïm, Brigitte Sy, Elina Löwensohn, Michèle Moretti, Philippe Laudenbach Film en partie autobiographique, La guerre est déclarée parle de couple, de maladie sous la direction de l’excellente Valérie Donzelli. C’est l’histoire de Roméo et Juliette, ils s’aiment et font un enfant.

Un scénario très bien écrit qui sonne parfaitement juste. La première partie (avant maladie) est super jolie et joyeuse. Ensuite viens le choc de la maladie, la petite larme, la douleur du couple, les sacrifices, les problèmes d’argent. On vit chaque instant avec eux, de la découvertes, aux premiers traitement. Ma note : 10/10 magnifique. Sucker Punch. Le Discours d’un Roi. Black Swan. Critique Cinéma : Le Complexe Du Castor. Critique cinéma : La fée. Critique cinéma : L’Apollonide – souvenirs de la maison close. Critique cinéma : La Délicatesse. Rabbit Hole. Critique cinéma : Intouchables. Critiques films : Critiques des films à l'affiche au cinéma - Premiere.fr. Black Swan de Darren Aronofsky. Le discours d'un roi de Tom Hooper.

Winter's bone de Drebra Granik. Never Let Me Go de Mark Romanek. Rango de Gore Verbinski. True Grit de Joel et Ethan Coen. We want sex equality de Nigel Cole. 127 Heures de Danny Boyle. Fighter de David O. Russell. L'Agence de George Nolfi. Mon top 10 des films de 2011 - Cinéma. La Piel que habito (2011) - Thriller - L'essentiel. Le cheval de Turin (2011) - Drame - L'essentiel. Les Neiges du Kilimandjaro (2011) - Drame - L'essentiel.

Le Havre (2011) - Drame - L'essentiel. Winter's Bone (2010) - Drame - L'essentiel. Un amour de jeunesse (2011) - Comédie dramatique - L'essentiel. Balada triste (2011) - Drame - L'essentiel. Habemus Papam (2011) - Comédie dramatique - L'essentiel. La Guerre est déclarée (2011) - Comédie dramatique - L'essentiel. Les 15 meilleurs films de 2011 by Fred. Drive. Les Révoltés de l’Île du Diable. Polisse. Mission : Impossible – Protocole Fantôme. La Planète des Singes : les Origines. Happy Feet 2. La Piel que Habito. Hugo Cabret. J’ai rencontré le Diable. Balada Triste. Super 8. 127 Heures. Black Swan. The Artist. Les Aventures de Tintin : Le Secret de la Licorne. Et en 2011, au cinéma.... Top 10 2011 de MovieSlayer. The Artist. Attack The Block. Paul: la critique. True Grit: La Critique. La Planète des Singes, Les Origines. Hanna : La critique. Black Swan: la critique.

La Piel Que Habito. Drive. Super : La Critique.