Rencontre avec le gourou de la robotique. Aux États-Unis, il est considéré comme le gourou de la robotique.
Non sans raison : malgré ses airs d'adolescent sur le tard, cela fait vingt ans que Colin Angle est à la tête d'une des rares entreprises capables de gagner de l'argent avec des robots. Rencontre avec un homme à la vision claire et au parler franc. Vous avez développé un robot-aspirateur, puis un robot-serpillière... Le robot à tout faire serait-il le robot ultime ? Pas exactement. Pourquoi délaisser les robots humanoïdes ? Construire un robot humain avec des jambes et un cerveau, je n'y crois pas. Le grand public a découvert les téléphones mobiles il y a quinze ans et le Web il y a dix ans... Non, il y a beaucoup de choses faciles à comprendre que peuvent faire les robots, à la maison en particulier. Google a montré une voiture-robot qui se conduit toute seule. Oui, nous avons développé quelques technologies qui ont servi à mener cette expérience.
Quel secteur vous semble porteur ? Vous travaillez aussi pour l'armée... Bestiaire vidéo de robots bioinspirés - Recherche. Bestiaire-video-de-robots-bioinspires.12006 Par pertinence Par date S'inspirer de la nature pour créer des robots plus efficaces par Charles Foucault LE 06/10/2011 | Vidéo | Robots | IT, L'enquête continue Vidéo Voici le Stickybot de l'Université de Stanford, inspiré du gecko : Une brève traversée du robot Lampetra de la Scuola Superiore Sant’Anna, en[…] Robot © Stanford University par J.
Vidéo C'est le rite de passage du printemps pour les étudiants en mécanique de l'université de Stanford. Z-Machines, robots musiciens par Julien Bergounhoux LE 17/03/2014 | Conception & Design | Electronique | Mécanique. Robotics Research - IFR International Federation of Robotics. Une collerette donne aux robots le sens du toucher - Automatismes. Une jeune société essaimée de l’Université de Linz a créé un capteur-actionneur pneumatique qui régule la pression appliquée par un robot sur la surface qu’il travaille. « Avec un robot rigide qui travaille une surface rigide, il y a forcément des catastrophes, affirme Ronald Naderer, l’un des fondateurs de FerRobotics.
Il faut lui donner de la sensibilité ». C’est en partant de ce constat qu’en 2006, ce chercheur en mécatronique de l’Université de Linz (Autriche) crée une start-up pour répondre à ce besoin. Quatre années et quatorze personnes embauchées plus tard, la société commercialise une collerette pneumatique qui se fixe entre le robot et l’outil. Capteur et actionneur, cette collerette se comprime ou se détend pour que la pression appliquée par l’outil soit constante. De 40 à 100 millimètres de diamètre pour une force appliquée pouvant atteindre 500 newtons, le système s’installe sur n’importe quel type de robot et y est asservi. Charles Foucault Pour en savoir plus : Quand les robots coopèrent pour leur propre sécurité. Les machines qui évoluent dans un même environnement pour une tâche commune ont besoin de règles sociales, permettant de détecter les comportements anormaux d'un pair infecté par un programme malveillant.
Dans la mesure où plusieurs robots utilisés dans un espace clos peuvent être amenés à coopérer pour résoudre diverses tâches ou partager de l’information, il faut les doter d’une capacité à identifier collectivement les comportements déviants d’un des leurs, souligne dans une étude une équipe de chercheurs de l’Institute of Electrical and Electronics Engineers (IEEE). Comment ? Grâce à un protocole, baptisé "Intrusion Detection System", qui permet non seulement aux machines de repérer des irrégularités, mais aussi de prendre des mesures pour sécuriser l’ensemble du groupe. Un protocole de détection Le protocole est basé sur deux éléments principaux. Les Japonais planchent sur un robot-ouvrier infatigable. Un groupe de chercheurs japonais a réussi à élaborer un robot-ouvrier capable de travailler par tous les temps et sur terrain difficile avec une relative autonomie.
Le Japon aurait-il conçu le travailleur de demain... Un groupe de chercheurs japonais a réussi à élaborer un robot-ouvrier capable de travailler par tous les temps et sur terrain difficile avec une relative autonomie. Le Japon aurait-il conçu le travailleur de demain? Des chercheurs japonais ont récemment présenté un robot-ouvrier d'un nouveau genre: très endurant, ce robot humanoïde, baptisé HRP-3 Promet MK-II, est capable de travailler par tous les temps, donc sous une pluie diluvienne, et sur toutes les terrains, qu'ils soient sablonneux ou en pente.
Objectif de ce robot-travailleur très résistant: aider les hommes à accomplir des tâches difficiles, dangereuses et parfois ingrates.