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Le savoir

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Quand la musique est bonne, 3^12 = 2^19. Dans ce billet nous allons voir en quoi l’existence de la musique occidentale repose sur le fait que 3 puissance 12 est (presque) égal à 2 puissance 19 ! Et pour cela, construisons un piano ! Le principe est simple : on va partir d’une première corde, dont la vibration produit une certaine note, et on va chercher successivement à construire les autres cordes du piano. Notre critère étant d’introduire de nouvelles cordes dont les sons "vont bien" avec ceux des cordes que l’on possède déjà. Et voyons où cela nous mène ! Notre première série de notes Imaginons que nous disposions pour commencer d’une corde tendue. Pour chercher des notes qui "vont bien" avec notre note de départ, on va se référer à la physique des vibrations. On comprend cela assez bien en observant une vraie corde et ses modes de vibration : Nous avons une nouvelle note qui va bien avec notre note initiale : on décide donc d’ajouter une seconde corde (plus courte, plus tendue ou plus légère) qui vibrera à 262Hz.

Like this: Climat : le graphique qui vaut 10000 mots. En pondant ce commentaire sur le blog les-crises.fr que j'ai honte de ne découvrir qu'aujourd'hui, une petite recherche sur l'effet de serre m'a conduit à cet excellent graphique, qui remplace au moins 10000 mots : Ce graphique, oeuvre de Robert A.

Climat : le graphique qui vaut 10000 mots

Rohde de globalwarmingart.com montre des tas de choses fondamentales, et quelques unes de mes interrogations: le rayonnement "entrant" dans l'atmosphère est la somme de deux "rayonnements du corps noir" : celui du soleil à 5525 K par le haut, et celui de la Terre à 288 K environ actuellement, par le bas.L'ozone nous protège des ultraviolets solaires, mais aussi la diffusion Rayleigh, qui nous donne ce joli ciel bleu.

O3 mérite-t-il d'être considéré comme un méchant gaz à effet de serre à cause de quelques petits pics dans l’infrarouge ? Le fameux CO2 a deux petites bandes d’absorption des infrarouges solaires, mais il absorbe surtout du rayonnement thermique émis par le sol ! Allez-y, défoulez-vous dans les commentaires. Dernières nouvelles des neutrinos "transluminiques" De gauche à droite Pauli, Heisenberg et Fermi, les découvreurs de la théorie quantique des champs relativistes et de la théorie des neutrinos.

Dernières nouvelles des neutrinos "transluminiques"

Si les neutrinos d'Opera vont bel et bien plus vite que la lumière, il faudra modifier leurs équations. © Cern Dernières nouvelles des neutrinos "transluminiques" - 2 Photos Le 23 septembre 2011, les physiciens de la collaboration Opera annonçaient qu’après de multiples vérifications d’erreurs possibles dans leurs instruments ou dans l’interprétation des mesures, il apparaissait que des neutrinos avaient voyagé plus vite que la lumière sur une distance d’environ 730 km entre les accélérateurs du Cern à Genève et un détecteur enfoui sous le Gran Sasso en Italie. En fait, parmi les 160 membres de la collaboration Opera, certains étaient en désaccord avec cette annonce ainsi qu'avec la publication sur arxiv, la veille, d’un article faisant état de tout le processus de mesure.

Un nouveau type d'effet Cerenkov On aura peut-être une réponse bien avant… Entre sciences et médias, c’est « je t’aime, moi non plus » Pour lancer l’atelier consacré à « la place des sciences dans les médias – dans le cadre de la soirée « Culture scientifique, culture numérique : le grand mix » – cette question : pourquoi les « médias traditionnels » semblent avoir plus de difficultés que les « nouveaux médias » (sur le web) pour aborder la science ?

Entre sciences et médias, c’est « je t’aime, moi non plus »

Pour premier élément de réponse, Pierre Barthélémy, ancien journaliste au Monde, indépendant et auteur du blog Globule et Téléscope aujourd’hui, fait un état des lieux de la presse quotidienne nationale. Selon lui, il y a une diminution du nombre de pages sciences suite à la crise du papier. Il rappele que : La mise en culture des sciences, une affaire d’universitaires ? L’Université Lille-1, Sciences et Technologies a ouvert ses portes en octobre 1967, sur un terrain de 116 ha au sud de Villeneuve d’Ascq (1).

La mise en culture des sciences, une affaire d’universitaires ?

Elle compte aujourd’hui 18 000 étudiants, 1500 enseignants-chercheurs et 160 chercheurs. A l’origine, vue du ciel, elle symbolisait une cellule délimitée par les voies (en rose sur le plan), comprenant les bâtiments de mathématiques, physique, chimie, SVT, etc., traversée par la voie aérienne de métro et dont la bibliothèque universitaire tenait lieu de « noyau ». Mais cette structure s’est vite étendue au fur et à mesure des ajouts de départements (sciences économiques et de gestion, science sociales), les IUT et les centres de formation. À la fin du mois de novembre dernier, nous nous sommes rendus dans l’Espace culture (EC sur la carte) pour rencontrer Nabil El-Haggar, vice-président de l’Université Lille-1, chargé de la culture, de la communication et du patrimoine scientifique.

La CST fait partie de la culture Le projet de Lille 1.