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François Hollande

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Les économistes de gauche poussent François Hollande à se démarquer de la politique d'austérité. François Hollande : «Je veux donner du sens à la rigueur» Candidat socialiste à la présidence de la République, François Hollande revient sur ses propositions pour lutter contre la crise et critique les mesures attendues du nouveau plan de rigueur du gouvernement. Le gouvernement doit présenter ce lundi matin un plan d’économies permettant, selon lui, de boucler l’un des budgets «les plus rigoureux depuis 1945».

Un effort excessif ou réaliste?? Méfions-nous, tout d’abord, des proclamations churchiliennes, qui cachent souvent une improvisation. Tel est le cas. Car il ne s’agira pas du budget le plus rigoureux présenté depuis la Seconde Guerre mondiale. Il y en a eu bien d’autres. Cela veut-il dire qu’il faut aller plus loin dans l’effort d’économies ou, au contraire, renoncer à l’austérité? L’alternative n’est pas dans le refus d’un ajustement financier ou dans son amplification, mais dans le choix des catégories sociales qui vont devoir subir cet effort supplémentaire. Vous assumez donc le mot de «rigueur»… A condition de lui donner un sens. Référendum grec : "un défaut de gouvernance" pour Hollande et Aubry - Economie.

La décision du Premier ministre grec Georges Papandréou de soumettre à référendum le plan de sauvetage pour son pays a provoqué de nombreuses réaction en France mardi 1er novembre. A gauche : - François Hollande, candidat socialiste à la présidentielle, et Martine Aubry, première secrétaire du PS, ont estimé dans un communiqué commun que l'annonce d'un référendum grec sur le plan de sauvetage "traduit un défaut de gouvernance de la zone euro". "Au-delà de la décision qui sera prise par le parlement grec, cette situation traduit un défaut de gouvernance de la zone euro", écrivent François Hollande et Martine Aubry. "Bien des difficultés actuelles auraient pu être évitées si l'Europe avait fait preuve de solidarité dès le début des attaques spéculatives contre la Grèce", estiment les deux leaders socialistes. Pour eux, "l'Europe a agit trop tard, trop faiblement sur le plan financier, et trop durement sur le plan économique et social".

Au centre : A droite : Du côté des patrons : Flash Eco : Grèce: le PS critique la zone euro. François Hollande, candidat socialiste à la présidentielle, et Martine Aubry, première secrétaire du PS, ont estimé mardi dans un communiqué commun que l'annonce d'un référendum grec sur le plan de sauvetage "traduit un défaut de gouvernance de la zone euro". L'annonce surprise lundi soir par le Premier ministre grec Georges Papandréou de l'organisation d'un référendum sur l'accord européen d'effacement d'une partie de la dette du pays, critiqué en Grèce pour l'abandon de souveraineté qu'il implique, a fait dévisser mardi l'ensemble des bourses européennes.

"Au-delà de la décision qui sera prise par le parlement grec, cette situation traduit un défaut de gouvernance de la zone euro", écrivent M. Hollande et Mme Aubry. "Bien des difficultés actuelles auraient pu être évitées si l'Europe avait fait preuve de solidarité dès le début des attaques spéculatives contre la Grèce", estiment les deux leaders socialistes. François Hollande refuse la protection du SPHP. Crise de l'euro : la riposte de François Hollande à Nicolas Sarkozy - pierre-alain sur LePost.fr (11:03)

Politique : La crise oblige Hollande à s'éloigner du projet du PS. Le candidat socialiste dévoilera son programme en janvier 2012. Crédits photo : -/AFP À l'image de ces poésies en vieux français dont les rimes délicieusement surannées évoquent un passé à jamais révolu, c'est à une sorte de voyage dans le temps que semble désormais inviter le projet du PS. «La politique économique que nous proposons donne les moyens à la France de retrouver à partir de 2013 une croissance autour de 2,5 %» peut-on y lire dans une partie titrée «Assainir les finances publiques : un impératif pour l'avenir et pour réaliser notre projet». Une croissance de 2,5 % en 2013 ? «Pas remanié mais adapté» «Le projet ne sera pas remanié mais adapté», plaide Pierre Moscovici, qui a coordonné la campagne de la primaire de Hollande. Quant au «contrat de génération», son élaboration sera soumise à une négociation entre les partenaires sociaux.

«Nous avons intérêt à ce que Sarkozy réussisse «D'ici là, il ne faut pas bouger, il ne faut pas se laisser bousculer. Crise de l'euro - François Hollande pas satisfait par l'accord. L'accord de Bruxelles "aurait pu être plus ample", fustige Hollande - Politique. François Hollande, candidat socialiste à la présidentielle, a dénoncé vendredi 28 octobre sur France 2 "la double dépendance à l'Allemagne et à la Chine" que recèle à ses yeux l'accord conclu jeudi à Bruxelles pour sauver la zone euro.

Invité à commenter l'intervention télévisée la veille du président Nicolas Sarkozy sur le plan de sauvetage de la zone euro, François Hollande a estimé que cet accord "aurait pu être plus ample". Le Fonds européen de stabilité financière (FESF) aurait dû "être adossé sur la Banque centrale européenne pour qu'il puisse être alimenté ou qu'il puisse être suffisamment doté", a-t-il ajouté. "Je pense, a-t-il dit, que le président Sarkozy a cédé à la proposition allemande, et s'il faut un vainqueur, c'est Mme Merkel (la chancelière allemande) qui peut faire le communiqué de victoire". Le député de Corrèze a souligné en outre qu'il "n'aurait pas accepté une autre disposition", celle de recourir à la Chine pour doter le FESF. Le Nouvel Observateur - AFP. Hollande parle du «quinquennat raté» de Sarkozy, Actualités.

François Hollande candidat : son budget envisagé. Vainqueur de la primaire et déclaré officiellement, le candidat socialiste à la présidentielle fait l'objet de l'attention des experts et des médias. Quels dépenses veut-il engager pour la France ? La prochaine échéance électorale présidentielle se rapprochant, les programmes des candidats déclarés vont être de plus en plus discutés et auscultés. C'est déjà le cas, pour le deuxième candidat de gauche : François Hollande. Ainsi mardi, l'UMP a estimé la mise en place du programme à 255 milliards sur 5 ans. Soit environ 51 milliards par an. Concomitamment, l'Institut de l'entreprise a publié ses premières estimations sur le coût d'une partie des propositions du candidat Hollande et du Parti socialiste hors mesures concernant la retraite. Dans ce document, le montant est estimé entre 22,7 et 26 milliards d'euros par an.

Les propositions de F. Pour arriver à ce chiffre, l'institut a examiné le coût annuel des mesures évoquées par François Hollande lors des débats des primaires.