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Afrique

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Libye

Côte d'Ivoire. Somalie. Soudan du Sud : lourd bilan dans une attaque lancée par les rebelles. Au Soudan du Sud, de violents combats se sont produits samedi matin 29 octobre à Mayom, dans l'Etat d'Unité.

Soudan du Sud : lourd bilan dans une attaque lancée par les rebelles

Les affrontements ont opposé les ex-rebelles du SPLA (Armée populaire de libération du Soudan), maintenant au pouvoir à Juba, à la rébellion de la SSLA, l'Armée de libération du Soudan du Sud. En l'absence de toute source indépendante sur place, il faut pour l'heure s'en tenir aux versions des deux belligérants.

Samedi soir 29 octobre, chaque camp s'accordait pour revendiquer le contrôle de la ville de Mayom et faisait état d'un bilan humain particulièrement lourd. Le ministre de l'Information de l'Etat d'Unité a déclaré à l'AFP que 15 civils et une soixantaine de rebelles ont été tués dans cette attaque. De l'autre côté, le numéro 2 de l'Armée de libération du Soudan du Sud, contacté par RFI, affirmait qu'une cinquantaine de civils et près de 300 soldats ennemis avaient trouvé la mort dans l'offensive lancée samedi à l'aube par son mouvement.

Maghreb

A un mois des élections, «les Congolais considèrent que les jeux sont faits» La campagne pour l'élection présidentielle qui se doit se dérouler le 28 novembre (en même temps que les législatives) a été officiellement lancée ce vendredi en République démocratique du Congo – élection à laquelle se représente le président sortant Joseh Kabila.

A un mois des élections, «les Congolais considèrent que les jeux sont faits»

Et déjà quatre personnes d'un parti d'opposition, le Parti travailliste, ont été tuées le même jour par la police, selon la mission de l'ONU, la Monusco. Pour Thierry Vircoulon, directeur du programme Afrique centrale d'International crisis group – qui a appelé aujourd'hui avec 40 autres ONG à des élections «transparentes» – ce n'est «pas très surprenant». Selon lui, il faut s'attendre à des violences tout le long du processus électoral. A quel type de campagne électorale peut-on s'attendre? On s'attend à une campagne qui risque d'être un peu agitée à Kinshasa, car il y a déjà eu des violences pré-électorales dans la capitale début septembre. Le pays peut-il être déstabilisé? L'aveuglement à l'intégration des Maghrébins et des Africains.

Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Jean-Louis Pan Ké Shon, chercheur Encore une fois, la religion musulmane et les banlieues servent à se faire peur avec la gourmandise et les délices des spectateurs de films d'horreur à l'imagerie pourtant improbables.

L'aveuglement à l'intégration des Maghrébins et des Africains

On peut s'étonner que les résultats de l'enquête Banlieue de la République portant sur 100 personnes soient repris sans aucune prudence et déclenche de telles réactions que révèlent les titres de ces tribunes : La fable de la mixité urbaine et L'Islam reste une menace [points de vue issus du dossier Islamisation des cités : mythe ou réalité ?]. Les auteurs de l'étude brouillent les cartes en reconnaissant eux-mêmes à la fois qu'elle n'est pas représentative de la population des deux communes de Seine-Saint-Denis mais posent "en postulat de départ que Clichy-Montfermeil, c'est la France même". Les zones d'ombres des exportations d'armes françaises vers l'Afrique. Le gouvernement français a présenté son rapport annuel sur les exportations d’armes.© Philippe Desmazes/AFP Le gouvernement français a présenté le 26 octobre son rapport annuel sur les exportations d’armes au Parlement.

Les zones d'ombres des exportations d'armes françaises vers l'Afrique

Mais celui-ci ne fait pas toute la lumière sur ses clients africains. C’est avec des armes françaises neuves que les fidèles de Mouammar Kaddafi ont combattu l’insurrection : 88,4 millions d’euros de matériel militaire ont été livré l’année dernière à la Libye (un record avec ce pays depuis 5 ans), d’après un rapport au Parlement pour l’année 2010 publié le 26 octobre. Si Paris assure conditionner ses exportations d’armes au « respect des droits de l’homme » des acheteurs, la Jamahiriya n’était pas concernée par ce critère… « Dès le début des révolutions arabes, toutes les autorisations ont été gelées », affirme toutefois le général Philippe Pontiès, porte-parole du ministère de la Défense.

Dix contrats refusés.

Egypte