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Films de série B

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Recherche sur les films de seconde zone.

Jean Rollin : Sa biographie. Série B. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le terme série B désigne à l'origine un long métrage produit avec un budget limité et destiné à une distribution sans campagne publicitaire, projeté lors de double programme (deux films projetés au prix d'un seul), pendant l'âge d'or d'Hollywood. Après le déclin puis l'abandon des séries B, à la fin des années 1950, le terme est utilisé dans un sens plus large, désignant tous les films à faible budget, mis à part les essais et les films pornographiques.

Le terme de série B ne désigne pas un genre cinématographique à proprement parler : les westerns sont fréquents à l'âge d'or des séries B, ainsi que les films de science-fiction et d'horreur à petits budgets, qui ont gagné en popularité vers la fin des années 1950. À l'origine, les séries B sont souvent des séries, plus courtes qu'un film, d'une durée moyenne de 70 minutes, pour lesquelles les célébrités jouent à plusieurs reprises le même personnage.

Histoire[modifier | modifier le code] Fiche descriptive, "Plan 9 from outer Space". B comme série. La série B est depuis longtemps un poumon du cinéma traditionnel, qui y trouve matière à inspiration, quand elle ne l'a pas littéralement régénéré. Films audatieux, ambitieux, voire complètement dingues, voici une sélection des fleurons de la série B depuis les années 80.

Autant de tranches de pellicule foutraque et musclée, qui se rappellent à nous et prouvent plus que jamais leur valeur et leur énergie. Bandez vos muscles, enfilez un marcel, et relevez ce vilain cran de sureté, voici un dossier armé et dangereux. Remo, sans armes et dangereux, de Guy Hamilton, 1985 On ne remerciera jamais assez les années 80 pour leur folie assumée. Confier au réalisateur des meilleurs James Bond (Goldfinger en tête) l'adaptation d'une série de roman de gare à succès fut une riche idée. Hamilton empêche cette étrange histoire, d'un flic laissé pour mort, puis formé par un vieux tueur coréen, en vue de protéger secrètement les États-Unis, de verser dans le ridicule. Tiens, voilà du bourrin ! Série B, histoire alternative. Le Cinéma de série B à Hollywood Avant tout, remarquons en postulat que : tout mauvais film n'est pas un film de série B tout film de série B n'est pas un mauvais film. "Autant en emporte le vent" n'est pas un film de série B.

Qu'est-ce que la série B ? A partir des 1930, le nombre de spectateurs diminuant réguliérement dans les salles,la grande dépression économique subie par les USA en 1936 aggravera encore le probléme, les majors companies (Universal,Columbia,Fox,Paramount,MGM...) disposant de leurs propres circuits de salles et de distribution décidérent d'instituer en 1932 le billet double ; c'est à dire que pour un ticket le spectateur pouvait voir deux films,un petit puis un grand film aprés (ou serie A).

Le film série B était né avec pour impératifs :pas cher à produire, rapide à faire, rapporter de l'argent et durer entre 50 et 70 mn. Les Films Les Serials La fin de la série B au cinéma Le renouveau de la série B Bibliographie Accueil / Plan du Site. Psychotronic films. Affiches de films de Série B. La série B est un genre à part, défini par le fait qu’il représente une production cinématographique basée sur des petits budgets. Les films de série B sont le plus souvent des films de science-fiction ou d’horreur, réalisés avec des budgets très modestes.

Voila donc une galerie d’affiches de films de série B assez kitchs, avec des titres improbables comme « Souperman« , « they came from beyond space« , ou encore « tarantula« . Le glossaire de Nanarland - Définition de B (série) Le terme "série B" désignait originellement la partie la moins noble d'un "double programme". Distributeurs et exploitants américains avaient en effet pour habitude de proposer les films par "packs de deux" : un film de prestige, à budget important, avec des acteurs connus et un film à budget plus réduit, relevant généralement du cinéma de genre (westerns, films d'horreur, etc.) Le système permettait de proposer à moindre frais une soirée avec "deux grands films". Certaines compagnies se spécialisèrent ainsi dans la production de films "bouche-trous". Selon certains historiens du cinéma, le terme a une double origine, qui ne tenait pas uniquement à la qualité des films : à Hollywood, la plupart des studios où étaient tournés les films de seconde zone étaient tout simplement situés dans la partie "B" du cadastre de la ville.

Voir également : Bis, Direct-to-video, Z (série), Film d'exploitation, Quickie.