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Mali

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Les manuscrits de Tombouctou en souffrance à Bamako. « Les manuscrits sont nos diplômes, nos cartes d’identité, nos témoins à travers le monde entier », déclare Bassam Daghastani dans une grande envolée lyrique.

Les manuscrits de Tombouctou en souffrance à Bamako

Ce chercheur syrien, spécialiste de la conservation des manuscrits, animait du 28 au 30 janvier 2015 à Bamako, en compagnie d’autres experts internationaux, un forum sur les défis que pose la conservation de manuscrits anciens au Mali, notamment ceux de Tombouctou. Les manuscrits de Tombouctou sont des textes islamiques rédigés au XIIIe siècle – pour les plus anciens – dans la région de Tombouctou, au nord du Mali. Il s’agit aussi bien de correspondances particulières que de réflexions portant sur l’astronomie, le droit, la médecine, la science ou la langue. Une bonne conservation non garantie Seulement, si ces textes sacrés de Tombouctou dont l’Unesco estime le nombre à 100 000 sont hors de danger, leur bonne conservation n’est pas pour autant garantie. . « Les défis auxquels sont confrontés les manuscrits sont nombreux. Mali : huit mausolées de Tombouctou détruits par les djihadistes ont été reconstruits.

Des maçons de Tombouctou ont reconstruit huit mausolées détruits par des insurgés islamistes qui s’étaient emparés de cette ville du nord du Mali en 2012, ont annoncé, dimanche 19 juillet, les Nations unies et des responsables politiques maliens.

Mali : huit mausolées de Tombouctou détruits par les djihadistes ont été reconstruits

A l’époque, les combattants djihadistes avaient justifié leur entreprise de destruction en expliquant que ces mausolées relevaient à leurs yeux de l’idolâtrie. Ils avaient également brûlé des milliers de manuscrits anciens. Lire aussi : Les manuscrits de Tombouctou en souffrance à Bamako « Cette reconstruction va au-delà de simples murs » Mali : l’armée annonce l’arrestation de 15 djihadistes à la frontière ivoirienne. Quinze djihadistes auraient été arrêtés et deux sanctuaires islamistes détruits selon l’armée malienne, qui mène des opérations dans le sud du pays, près de la frontière ivoirienne. « Nous avons au cours de nouvelles opérations militaires sur le terrain, arrêté quinze nouveaux djihadistes, et détruit un nouveau sanctuaire qu’ils occupaient dans la région de Sikasso, à la frontière avec la Côte d’Ivoire », a déclaré à l’AFP, un officier de l’armée contacté par téléphone.

Mali : l’armée annonce l’arrestation de 15 djihadistes à la frontière ivoirienne

Lire aussi : Six casques bleus burkinabés tués dans le nord du Mali Parmi les djihadistes arrêtés figure un prédicateur radical ivoirien, « venu de Côte d’Ivoire pour construire une mosquée dans un village malien où il faisait régner sa loi », a précisé la même source sous le couvert de l’anonymat. Selon une source militaire malienne distincte, « un autre sanctuaire des djihadistes situé dans la périphérie de la localité malienne de Fakola a été détruit », et des armes, des explosifs, ainsi que des motos saisis.

Le Monde.fr - Actualité à la Une. L'ex-otage Francis Collomp, désormais libre, est arrivé lundi 18 novembre au petit matin à Paris, après son évasion rocambolesque au Nigeria, où il était détenu depuis onze mois par un un groupe islamiste.

Le Monde.fr - Actualité à la Une

L'avion médicalisé qui le ramenait d'Abuja, capitale du pays le plus peuplé d'Afrique, en compagnie du ministre des affaires étrangères Laurent Fabius, a atterri vers 6 h 15 à l'aéroport militaire de Villacoublay, près de Paris. Le premier ministre, Jean-Marc Ayrault, était sur place, mais les autorités avaient prévu un accueil discret, sans déclarations.

Francis Collomp, un ingénieur de 63 ans enlevé le 19 décembre 2012 par une trentaine d'hommes armés d'un groupe islamiste dans le nord du Nigeria, où il travaillait sur un projet de ferme éolienne, est apparu dimanche, après son retour à la liberté, les traits tirés et très fatigué. M. Lire : Nigeria : l'otage français Francis Collomp "s'est libéré" Les circonstances de l'évasion restent encore confuses. Selon M. Un groupe djihadiste revendique la mort d'un soldat français au Mali. Le groupe djihadiste Al-Mourabitoune, mené par l'Algérien Mokhtar Belmokhtar, a revendiqué jeudi 17 juillet l'attentat-suicide qui a tué un soldat français lundi dans le nord du Mali.

Un groupe djihadiste revendique la mort d'un soldat français au Mali

Selon RTL, le ministère de la défense considère cette information comme « probable, compte tenu du mode opératoire ». L'enregistrement de la revendication a été transmis à l'agence de presse privée mauritanienne Alakhbar : « Un djihadiste de notre groupe a réussi à faire exploser son véhicule piégé contre une unité des forces d'invasion dans la région d'Al-Moustarat. (…) L'attentat est une réponse adressée aux Français qui prétendent avoir anéanti les forces djihadistes et réussi l'opération “Serval”. » L'attaque terroriste, menée par un seul véhicule contre des blindés, avait causé la mort de l'adjudant-chef Dejvid Nikolic, 45 ans, né en Serbie et naturalisé français. Lire aussi le portrait : Le retour du « gangster djihadiste » Mokhtar Belmokhtar*