background preloader

Contrôle Etat

Facebook Twitter

Quatre détenus de Guantanamo renvoyés en Afghanistan. Quatre détenus afghans de la prison américaine de Guantanamo ont été rapatriés dans leur pays d'origine, a annoncé le ministère de la défense des Etats-Unis samedi 20 décembre.

Quatre détenus de Guantanamo renvoyés en Afghanistan

Shawali Khan, Khi Ali Gul, Abdul Ghani et Mohammed Zahir ont été libérés de la prison située à Cuba après un « examen minutieux » de leurs dossiers, explique le Pentagone dans un communiqué. Il reste désormais 132 hommes dans le centre de détention. Ces libérations, et celles de six autres détenus envoyés en Uruguay au début du mois, permettent à l'administration américaine de se rapprocher de l'objectif énoncé par le président Barack Obama dès 2009 : fermer la prison de Guantanamo, symbole de la très controversée « guerre contre le terrorisme » lancée par George W. Bush juste après les attentats du 11-Septembre. Le Monde.fr - Actualité à la Une pour mobiles.

Coincés dans la surveillance électronique. Une fois « que l’on a fait de la lutte contre le terrorisme la priorité des gouvernements», et posé que le terroriste « se cache dans la population », on voit mal, constate la philosophe Marie Goupy, comment les Etats « pourraient se passer d’un outil aussi puissant et discret que celui des technologies de surveillance de masse. » A la suite de révélations en cascades sur l’espionnage des communications téléphoniques et électroniques par les services de renseignement américains, et alors que se joue une incroyable chasse à l’homme contre la principale source de ces fuites, dont on peine à savoir s’il est un héros ou un traître, le lecteur demeure un peu confus.

Coincés dans la surveillance électronique

S’il y a scandale, c’est bien plutôt parce que l’espionnage concerne désormais non plus des individus ciblés, mais la masse de la population. L'ampleur de l'espionnage mondial par la NSA. Pas de programme Prism à la française. Glenn Greenwald, le croisé des libertés publiques. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Yves-Michel Riols (Rio de Janeiro (Brésil), Envoyé spécial) Et si à l'origine de l'une des plus grandes affaires mondiales d'espionnage il n'y avait qu'un gros chagrin d'amour ?

Glenn Greenwald, le croisé des libertés publiques

Il y a de fortes chances que personne n'aurait jamais entendu parler de Glenn Greenwald, ni du vaste programme de surveillance électronique mené par les Etats-Unis dont il a révélé l'existence, s'il n'était venu panser une peine de cœur au Brésil. Les Etats-Unis ne poursuivront pas Glenn Greenwald. L'Armée électronique syrienne, combien de divisions ? Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Damien Leloup Il y a eu des comptes Twitter appartenant à la BBC ou à Al-Jazeera.

L'Armée électronique syrienne, combien de divisions ?

Des liens vers des sites pro-Assad sur le site du Washington Post et d'autres grands médias. Et surtout, cette semaine, le blocage du site du New York Times, dont les lecteurs se sont vus redirigés sur un site vantant le régime syrien. Depuis plusieurs mois, la Syrian Electronic Army (SEA, armée électronique syrienne) fait régulièrement la "une". Parfois littéralement : après avoir piraté un compte Twitter de l'agence Associated Press – et publié un message affirmant qu'une bombe avait explosé à la Maison Blanche – le groupe avait instantanément provoqué une panique boursière.

Pour autant, la SEA est-elle un groupe d'élite, doté d'importantes capacités techniques ? Pourtant, malgré cette action spectaculaire, la SEA n'a pas entièrement tiré parti de son piratage réussi. De ces actions se dégage le portrait d'un groupe vraisemblablement resserré, plutôt jeune. L'Armée électronique syrienne revendique le piratage de sites liés à Barack Obama. Plusieurs liens mis en ligne par les comptes Facebook et Twitter officiels du président américain Barack Obama ont temporairement mené, dans le début de soirée du lundi 28 octobre, à une vidéo Youtube du compte "syrian truth" dénonçant le terrorisme mené en Syrie par les rebelles s'opposant au régime de Bachar Al Assad.

L'Armée électronique syrienne revendique le piratage de sites liés à Barack Obama

Ce détournement des réseaux sociaux utilisés par la Maison Blanche a été revendiqué par l'Armée électronique syrienne (SEA), dont un porte-parole a déclaré au site d'information Mashable avoir voulu "montré la vérité" sur la situation en Syrie. Ces activistes qui soutiennent le régime de Bachar Al-Assad ont déja été les auteurs de plusieurs attaques contre des médias américains en 2013. Dans le détail, il semble toutefois que les hackers n'aient pu détourner, lundi, que le service de racccourcissement d'URL utilisé par les comptes sur les réseaux sociaux. Lire : L'Armée électronique syrienne, combien de divisions ? Un tour du monde des stations d'écoute. Dans « Le Monde diplomatique » de septembre, le journaliste néo-zélandais Nicky Hager dévoile l’existence, à Ourim, dans le sud d’Israël, d’une des plus grandes stations d’écoute de la planète.

Un tour du monde des stations d'écoute

Interceptant les communications téléphoniques et les échanges de données qui transitent par satellite au-dessus de la région, ainsi que sur certains câbles sous-marins en Méditerranée, cette station est pilotée par l’Unité 8200, une structure de renseignement peu connue, bien que dotée de moyens très importants. La base d’Ourim Voici une photographie de la base d’Ourim, telle qu’elle apparaît sur les images satellites [1]. L’œil averti y distingue les éléments caractéristiques d’une station d’écoute, que l’on retrouvera plus bas sur les images des autres sites connus. La station d’Ourim Image Google Earth. Un affichage en fausse perspective met en relief les antennes et leurs ombres. Fausse perspective sur Ourim Echelon Morwenstow Sur la côte de Cornouailles, une base gérée par les services britanniques. En France.