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Diplomatie

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SAS – Gérard de Villiers, l’homme qui en savait trop, consacré par le « New York Times » Il est l'un des auteurs les plus prolifiques, les plus populaires et les plus méprisés par l'élite littéraire française. C'est donc tout naturellement outre-Atlantique que Gérard de Villiers, l'inventeur de la série des SAS, a été couronné roi du roman d'espionnage d'anticipation.

Près de cinquante ans après la parution de SAS à Istanbul en 1965, et alors qu'il travaille à son 197e épisode, le pape du "roman de gare" est à l'honneur dans le New York Times Magazine, qui lui consacre un long article dithyrambique intitulé "The Spy Novelist Who Knows Too Much" ("L'auteur de romans d’espionnage qui en savait trop") accompagné par un intriguant portrait.

Intriguant, Gérard de Villiers, 83 ans, l'est à n'en pas douter aux yeux de l'auteur de l'article. Le New York Times voit tout simplement en lui l'auteur de romans d'espionnage le mieux informé, surclassant des maîtres du genre comme John le Carré. En juin est sorti à Paris un des derniers SAS, Le Chemin de Damas. France diplomatie base doc. Economie : Fabius, le diplomate, part en guerre. Mali : 3 limogeages au Quai d'Orsay ? La diplomatie française se cherche une nouvelle ligne. Syrie: La diplomatie française en panne sèche. Fabius «surpris» par les propos de Sarkozy sur la Syrie.

Lellouche: ''Pas la place pour 2 diplomatie'' L'ex-secrétaire d'Etat UMP Pierre Lellouche a vu aujourd'hui de "grandes différences" entre les crises libyenne et syrienne, ajoutant espérer quel'initiative de Nicolas Sarkozy sur le dossier syrien était "coordonnée" avec le nouveau pouvoir socialiste. Alors que mardi, l'ex-président s'est entretenu avec le chef de l'opposition au régime de Bachar el-Assad, les deux hommes rapprochant le dossier syrien de la crise lybienne, Pierre Lellouche a relevé sur France Inter une "similitude" entre les deux situations parce que les deux pays sont soumis à "des révolutions". Mais "il y a surtout pour moi de grandes différences", a déclaré le député de Paris.

"En Libye - comme en Tunisie, comme en Egypte - on a affaire à des nations qui sont des nations arabes sunnites. En Syrie, on est un peu dans un scénario à l'irakienne où il y a une minorité, en l'occurrence alaouite, alliée aux chiites, qui dirige une majorité sunnite, en accord d'ailleurs avec d'autres minorités chrétienne, druze, kurde. Pour Védrine, intervenir en Syrie serait faire du Bush en Irak. La droite presse Hollande d'aller à Moscou pour agir sur la Syrie. PARIS (Reuters) - Plusieurs ténors de l'opposition de droite appellent François Hollande à interrompre ses vacances pour se rendre à Moscou et engager un dialogue avec la Russie pour tenter de débloquer la diplomatie internationale sur le dossier syrien. La Russie, tout comme la Chine, a jusqu'ici opposé son veto au Conseil de sécurité de l'Onu contre toute proposition de résolution condamnant le régime de Bachar al Assad.

L'UMP et l'ancien président Nicolas Sarkozy ont fortement critiqué ces derniers jours l'attentisme présumé de François Hollande sur le dossier syrien. La France recherche "obstinément" les moyens d'une transition politique en Syrie, a répliqué samedi le président français. "Plutôt que de s'invectiver lamentablement quand des hommes et des femmes meurent sous les bombes et les tortures, il vaudrait mieux chercher à débloquer le véritable verrou de ce conflit: la position de Moscou!

", estime François Fillon dans une tribune dans l'édition de lundi du Figaro. Le gouvernement réplique à Nicolas Sarkozy sur la Syrie. PARIS (Reuters) - La France n'est pas inactive dans le dossier syrien, répond jeudi à Nicolas Sarkozy le chef de la diplomatie Laurent Fabius, qui estime "qu'on attendrait autre chose de la part d'un ancien président" qu'une polémique "sur un sujet aussi grave". L'ancien chef de l'Etat est sorti mardi du silence auquel il s'astreignait depuis sa défaite à l'élection présidentielle, le 6 mai dernier, pour demander une action rapide de la communauté internationale en Syrie.

Une manière pour le prédécesseur de François Hollande de dénoncer son attentisme supposé. Dans un entretien publié jeudi dans Le Parisien, Laurent Fabius se dit "étonné" de sa prise de position. Le ministre des Affaires étrangères souligne que la situation de la Syrie est "très différente de celle de la Libye", alors que Nicolas Sarkozy, fer de lance de l'intervention contre le régime de Mouammar Kadhafi en mars 2011, y voit de "grandes similitudes".

Sophie Louet, édité par Yves Clarisse.