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Décès 2013

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Mandela, ce sourire qui venait du plus profond de l'âme. Par Bryan PEARSON Nelson Mandela en 2006 (AFP / Alexander Joe) NICOSIE, 6 déc. 2013 – Mais qu’est-ce qui rendait Mandela si spécial ? A part, bien sûr, le fait d’avoir croupi vingt-sept ans dans les geôles de l’apartheid et d’en avoir émergé sans la moindre rancune. A part son insistance pour que la « réconciliation » soit au centre d’une commission de vérité constituée pour soigner les plaies infligées à l’Afrique du Sud par des décennies de haine raciale.

A part son apparition sur le terrain de la finale de la coupe du monde de rugby en 1995, un maillot des Springboks sur les épaules, courageux appel au pays pour qu’il s’unisse derrière une équipe sud-africaine composée en grande majorité de Blancs. Et à part son départ de la présidence d’Afrique du Sud au terme de son premier mandat, contrairement à tant de dirigeants dans le monde qui, une fois qu’ils ont reniflé le pouvoir, s’accrochent à lui jusqu’à ce qu’il les détruise ou jusqu’à ce qu’ils détruisent les pays qu’ils gouvernent. Nelson Mandela : l'histoire d'une photo — La Nuit. De toutes les photos de Nelson Mandela, c'est celle-ci que nous avions choisie, instinctivement, pour vous annoncer sa mort, à la minute même où nous l'avons apprise.

Elle est belle, singulière, tant le jeune Nelson Mandela était réputé pour la coupe de ses costumes et son élégance, dès l'époque où il apprenait le droit à l'Université du Witwaterstrand, à Johannesburg ("il était déjà l'homme le mieux habillé du campus", témoigne George Bizos, l'avocat de l'ANC). Que fait-il ici torse nu, parures tribales en évidence ? À se faire une toge d'une simple couverture de lit, si on regarde bien ? Revendiquant une élégance africaine, cette fois-ci, qui va retentir comme une claque pour tous ceux qui voulaient bien lui concéder, à la limite, de parler et de s'habiller comme il faut.

La biographie d'Eli Weinberg. Lucien Neuwirth, un immense personnage. Je n'affectionne pas les rubriques nécrologiques. Mais l’homme qui vient de disparaître aujourd’hui fut à ce point exceptionnel qu’il me fallait lui faire une exception. Songez : le 18 juin 1940, il entend « par hasard » à la radio l’appel du général de Gaulle (par hasard ? Il fallait néanmoins que quelque chose le porte, déjà, à écouter la BBC…).

Chez lui, à Saint-Étienne, il organise (à seize ans, seize ans !) Un groupe de jeunes convaincus comme lui qu’il faut résister. Puis il structure avec Jean Nocher, grand journaliste, le groupe de résistance et le journal clandestin Espoir (Espoir !). Après la guerre, adhérent au RPF de De Gaulle, il devient conseiller municipal puis adjoint au maire de Saint-Étienne. En 1981, il est battu aux législatives. Il était donc devenu à maints égards un homme public au passé glorieux, mais tourné vers l’avenir et ayant une sorte de prémonition des questions qui allaient devenir de grands problèmes de société.

Mort de Tadeusz Mazowiecki | L'Europe et nous. Tadeusz Mazowiecki. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Tadeusz Mazowiecki herb Dołęga (né le à Płock et mort le à Varsovie[3]) est un écrivain, un journaliste et un homme d'État polonais. Il fut, de 1989 à 1991, le premier chef de gouvernement non communiste d'un pays signataire du Pacte de Varsovie. Biographie[modifier | modifier le code] Opposant au régime communiste polonais[modifier | modifier le code] Intellectuel chrétien, il est l'un des principaux opposants au régime communiste de la République populaire de Pologne (PRL) et figure de l'opposition intellectuelle. Juriste (diplômé en droit de l'université de Varsovie) et militant catholique, il s'oppose dès 1955 à l'association catholique « Pax », tombée sous l'influence marxiste.

En 1961, il est élu député dans le groupe des indépendants mais le quitte en 1971 car n'ayant plus d'activité. Président du Conseil[modifier | modifier le code] Figure du Parlement[modifier | modifier le code] Tadeusz Mazowiecki, en 2007. Disparition de « l’historien de la bière » Stenay. Il est parti rejoindre Saint Arnould, le patron des brasseurs. Philippe Voluer n’est plus. Il s’en est allé trop tôt, à l’âge de 63 ans après une courte retraite.

Connu de tous, à Stenay, sa ville et dans toute la Meuse. Philippe Voluer était une référence en matière brassicole. Mais c’était aussi un grand communiquant au répertoire bien noirci, et un homme à la carrière bien remplie. Il a été le premier responsable du musée du pays de Stenay, a été président de l’office de tourisme local, fondateur et conservateur du musée européen de la bière de 1985 à 2000. Archiviste municipal de 2000 à 2010, il a organisé tant d’expositions d’envergure… Conférencier, historien local, il était aussi devenu président de la fédération nationale des associations brassicole. La liste est loin d’être exhaustive. Au début du mois d’octobre, il avait participé activement aux journées d’études meusiennes en discourant brillamment sur l’économie stenaisienne à la Renaissance.

Showbiz

Scientifiques. Graphisme / archi. Écrivains. L'homme d'affaires russe Boris Berezovsky retrouvé mort. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Marie Jégo Boris Berezovski, oligarque russe et féroce critique de Vladimir Poutine, a été retrouvé inanimé samedi 23 mars dans sa propriété d'Ascot (Berkshire), au Royaume-Uni. C'est son gendre, Egor Schuppe qui a fait part de sa mort sur sa page Facebook, sans toutefois en préciser la cause. Installé à Londres depuis treize ans, Boris Abramovitch Berezovski, "BAB" pour les intimes, était le contempteur le plus virulent du président russe Vladimir Poutine, qu'il avait pourtant contribué à porter au pouvoir en 2000.

Sa vie, digne d'un roman d'aventures, avait inspiré le cinéaste Pavel Lounguine pour son film Un Nouveau Russe, sorti en 2001. La dernière apparition publique de l'oligarque, réputé maître de l'intrigue, remonte au 31 août 2012. C'était dans l'enceinte d'un tribunal londonien, Boris Berezovski réclamait alors 3 milliards de dollars à son ex-protégé, au autre oligarque russe, Roman Abramovitch, très en cour au Kremlin.

François Hollande confirme la mort "certaine" du chef islamiste Abou Zeïd au Mali.

Justice

L'auteur d'"Indignez-vous !" victime d'une fabrication. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Claude Moisy, journaliste, ancien PDG de l'AFP Nous n'avons pas de raison d'être fiers de la façon dont notre profession vient de célébrer la mémoire de Stéphane Hessel. Sa mort a malheureusement été l'occasion d'un nouvel accès de frénésie moutonnière des médias pour graver dans le marbre de l'Histoire une légende sans fondement trop facilement acceptée. Quasiment tous les médias ont aveuglément évoqué le rôle de coauteur de la Déclaration des droits de l'homme attaché à son nom. Le seul ennui est que ce rôle n'a pas existé. Il ne s'agit pas ici de ratiociner ou de jouer sur les mots. Peut-être pas auteur, concède-t-on parfois, mais au moins contributeur ou collaborateur des auteurs. La réalité est que pendant son séjour aux Nations unies, de 1946 à 1948, Stéphane Hessel n'a pris aucune part à la rédaction de la Déclaration qui eut lieu à ce moment-là.

Tout le monde a pu les lire, mais pratiquement personne n'en a tenu compte. Olivier Voisin (par Vitkine) Le suicide d'A.Swartz fait polémique. Le suicide du cofondateur du réseau social Reddit, Aaron Swartz, alimente des critiques aux Etats-Unis contre une législation sur les crimes informatiques "draconiens" et les procureurs jugés trop zélés qui l'utilisent. "Aaron Swartz risquait une peine de prison plus sévère que des tueurs, des trafiquants d'esclaves et des braqueurs de banque", dénonce Ian Millhiser du Center for American Progress Action Fund.

Aaron Swartz, un génie informatique qui avait participé à l'élaboration du format RSS à l'âge de 14 ans, s'est pendu dimanche à 26 ans. Il devait répondre en avril devant la justice du vol en 2011 de millions d'articles scientifiques et littéraires à un service d'archivage en ligne accessible uniquement sur abonnement (JSTOR), téléchargés avec un ordinateur caché dans un placard du prestigieux Massachusetts Institute of Technology (MIT).

Il risquait jusqu'à 35 ans de prison et 1 million de dollars d'amende. Wikileaks claims Aaron Swartz was an ally and possible source, breaking anonymity. Aaron Swartz died a week ago. A public memorial service in New York City will be held later today. You may have read much about Swartz's life in the interim, including his work at a young age on Reddit and the RSS specification, his political activism, and the overzealous prosecution that may have contributed to his suicide. But you probably haven't heard the story WikiLeaks just outlined on its Twitter account. According to these tweets, Aaron Swartz had at one time aided Wikileaks in some indefinite way, had been in communication with WikiLeaks founder Julian Assange, and may have acted as a source for the anonymous information-gathering organization. The @Wikileaks Twitter account is one of two online outlets designated for official communication from WikiLeaks; the other is its home page.

Due to the investigation into the Secret Service involvement with #AaronSwartz we have decided to disclose the following facts (1-3) — WikiLeaks (@wikileaks) January 19, 2013 1. 2. 3.

Journalistes