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Expatriation.TV : Expatriation TV la Télé communautaire des expatriés pour les français du monde. Le Sénat taxe la revente de chaînes de télévision de la TNT. Cet amendement, dit "amendement Bolloré", du nom du groupe qui a revendu Direct 8 et Direct Star à Canal+ avec une confortable plus-value, avait déjà été voté dans le projet de budget 2011 mais avait été censuré par le Conseil constitutionnel. Présenté par David Assouline (PS), il propose "d'éviter la tentation que des candidatures" à l'attribution gratuite par le CSA de fréquences "ne soient inspirées que par le souhait de spéculation et de revente au plus offrant".

Sa rédaction a été clarifiée afin d'éviter une nouvelle censure. Le rapporteur général de la commission des Finances, François Marc (PS), a appuyé cet amendement car "il s'agit de réguler la revente spéculative de sociétés détentrices de fréquences". Il a précisé qu'"il prévoit un abattement suffisamment important pour ne pas pénaliser les PME éditrices de radios indépendantes et les entreprises éditrices de télévision locale". Il a également souligné que la taxation touchait uniquement les "transferts de propriété".

Par.

TF1

D8. Les gros bidouillages du « Petit Journal » de Canal Plus. Jean-Luc Mélenchon et Eva Joly ont refusé de se saluer ? Faux : ils l’ont fait, mais pas devant les caméras du « Petit Journal ». Les militants du mouvement Debout la République n’ont rien compris au meeting de Nicolas Dupont-Aignan ? Faux, car ils ont été interrogés avant que leur leader s’exprime. Mélenchon est omniprésent, comme le montre une petite compilation de ses passages dans les médias ? Faux encore, car les porte-paroles de l’UMP et du Parti socialiste occupent toujours plus de 70 % du temps de parole cumulé.

Depuis quelques semaines, nombreux sont ceux qui s’interrogent sur les « méthodes » du « Petit Journal ». Est-il légitime de brandir une carte de presse quand on se livre à des activités qui tournent le dos aux règles les plus élémentaires du journalisme ? Erreur de comptabilité La mise en scène est efficace. Or cette séquence – pas plus qu’une autre, mais pas moins non plus – est révélatrice de la méthode de travail du « Petit Journal ».

Flagrants délits de trucage N. Yann Barthès a peur du grand méchant Twitter. Partager sur Viadeo Impertinences, Internet, Les Potins, Loisirs, Web 2.0 Par : Pascal Bories - Vendredi 27 janvier 2012 à 16:42 Le présentateur du Petit Journal de Canal+ affirme ne pas utiliser les réseaux sociaux, et en particulier Twitter, afin de se protéger de leur violence et des attaques personnelles auxquelles ils donnent lieu. Etonnant parti-pris, selon certains… Yann Barthès confiait dans le dernier numéro de « M Le magazine du Monde » qu’il n’était inscrit ni sur Facebook ni sur Twitter. Et pourquoi donc ? « Je n’aime pas la violence de ces réseaux, ses attaques, notamment physiques. Yann Barthès se protège du rire des autres Pourtant, le succès de son émission diffusée tous les soirs sur Canal+, Le Petit Journal, repose justement sur de petites méchancetés expéditives à l’encontre de personnalités du monde politique ou culturel, mais aussi d’anonymes ayant eu le tort de passer dans le champ de la caméra.

Via GuyBirenbaum.com. Concurrence Canal+ M6 sur la TNT (Fusion Bolloré Media-Canal) L'Autorité de la Concurrence a lancé une enquête approfondie sur la reprise des chaînes de Bolloré Media, Direct 8 et Direct Star, par le groupe Canal+. L'autorité évoque "des doutes sérieux d'entraves à la concurrence" qui la poussent à ouvrir une enquête approfondie. Nous avons contacté Maître Olivier de Chazeaux*, du cabinet Nixon Peabody. Il est spécialiste du droit de la concurrence dans le domaine des médias et a suivi l’ensemble des questions parlementaires relatives notamment au secteur des médias. Il nous apporte un éclairage juridique sur cette procédure. L'Autorité évoque le "délit d'entrave" afin de motiver la phase 2, une enquête détaillée et plus étendue que la première phase. Cela va mettre la pression sur Canal+ pour qu'il y ait plus d'éléments concrets qui soient fournis. Mais, quand l'Autorité de la Concurrence déclare qu'il y a des "doutes sérieux d'entraves à la concurrence", ces doutes ne sont pas nés tout seuls.

Une réponse sur le problème de la circulation des œuvres.