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Histoire

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Mémoires de la Société des antiquaires de Normandie (Revue) Comprendre la crise et la dette. Le Moyen Âge dans les revues scientifiques. Les Grecs, les barbares et les autres dans l'Antiquité... et au-delà - Parole de chercheurs. Histoire du libéralisme. Et pour aller plus loin, mon livre aux éditions Tulys"Pulp Libéralisme, la tradition libérale pour les débutants" Retour à la page d'accueil "Libéralisme pour les débutants" Tous les textes présents sur la page "Le libéralisme pour les débutants" sont couverts par le droit d'auteur.

Visage de l’Autre : les barbares de l’empire romain. Aristote et l'esclavage.htm. FEC - Folia Electronica Classica (Louvain-la-Neuve) - Numéro 13 - janvier-juin 2007 Aristote et l'esclavage par Marie-Paule Loicq-Berger Chef de travaux honoraire de l’Université de Liège Adresse : avenue Nandrin, 24 — B 4130 Esneux<loicq-berger@skynet.be> L’exposé célèbre qu'Aristote consacre au problème de l’esclavage, au début du premier livre de la Politique, constitue la seule réflexion systématique que nous ait laissée l’Antiquité à propos d’une institution fondamentale pour le fonctionnement de ses sociétés.

La République, où s'exprime l'idéalisme platonicien de l'âge mûr, organise une « cité parfaite », peuplée d'une société laborieuse, libre et égalitaire, donc sans esclaves. Un bref rappel de la situation « éditoriale » assez particulière de la Politique paraît s'imposer d'entrée de jeu. Dès la fin du Moyen Age, des lecteurs de la Politique s'étaient avisés d'incohérences dans sa composition et avaient entrepris d'en proposer un plan plus « logique ». A. B. Notes N. Leçon 4: Cultures, civilisations et diversités culturelles. Comment nourrir tout le monde - une vidéo Actu et Politique.

Chapitre 4. Les mutations économiques et sociales. Partie II – Chapitre 4 : Les mutationséconomiques et sociales au XIX e siècle Introduction : Les mots pour le dire (une mise au point préalable sur lesconcepts)On a longtemps parlé de « révolution industrielle » pour désigner leprocessus à l’œuvre en Europe occidentale, et d’abord au Royaume Uni, àpartir des années 1760-1770. Aujourd’hui ce concept fait problème. Révolution est transposé du vocabulaire politique. Siècle. Croissanceindustrielle », pour marquer le caractère durable (et surtout pas soudainet fugace) du phénomène. Siècle, même s’il n’est, biensûr, pas homogène (certains secteurs, certaines branches, progressentplus vite que d’autres, et des inégalités apparaissent donc).Aujourd’hui, on préfère utiliser une expression encore plus nuancée etl’on parle donc de « mutations économiques et sociales ». Charles Quint maître du monde : entre mythe et réalité. Juan Carlos D’Amico.

Une « Vision Mumbai » pour transformer la ville ou la difficulté à (re)penser la gouvernance métropolitaine. 1Aujourd’hui, les villes sont des nœuds stratégiques dans le fonctionnement de l’économie mondiale (Sassen, 1994). Elles sont au cœur des restructurations des échelles de gouvernance (Brenner, 2004). Les acteurs de la sphère privée prennent une place croissante dans la production de la ville (Le Galès, 2005) et la poussée de la société civile s’accompagne d’une forte demande de démocratisation (Jouve, 2005). Dans ce contexte de multiplication des jeux d’acteurs, la question de la gouvernabilité et de la constitution de la ville comme acteur collectif s’impose dans les discussions sur l’avenir des villes.

En France, le débat sur le Grand Paris illustre parfaitement ces enjeux. Deux positions s’opposent. La première considère que ces transformations sont une opportunité pour les villes de s’affirmer en tant qu’acteur politique (Bagnasco et Le Galès, 1997; Le Galès, 2003). D’autres auteurs sont plus circonspects. D’une ville insulaire … … évoluant dans un cadre fragmenté et compétitif.