background preloader

But, Conforama, Ikea :comment la bande des trois réagit à la crise du marché du meuble

But, Conforama, Ikea :comment la bande des trois réagit à la crise du marché du meuble
Les clients se font un peu prier pour venir dans les magasins de meubles ? Les trois leaders du secteur, But, Conforama, Ikea, se rapprochent d'eux avec des formats plus petits et en développant les services Web. Encore une exception culturelle : en France, plus qu'ailleurs, la crise de l'immobilier a un impact direct sur la vente de meubles. Dans ces conditions, comment les as de la commode, Ikea, Conforama et But, se débrouillent-ils pour attirer le chaland ? La première initiative des enseignes pour résister à la crise ? But a accéléré le déploiement de son concept urbain But City et de But Cosy à proximité des petites villes. Pour conserver les grâces de la clientèle, la deuxième initiative de nos rivaux a été de revoir l'offre. Mais qu'on le veuille ou non, en période de vaches maigres, le meilleur argument reste le prix. Enfin, les enseignes s'efforcent de rendre l'expérience d'achat plus agréable. Jean Botella Related:  distribution

Le terminal mobile, l'allié du commercial en rayon Mallette de travail ouverte sur le sol, PC portable posé sur une palette, catalogue papier coincé sous le bras... Pas facile pour un commercial de travailler dans ces conditions! C'est pourtant souvent le cas, car le chef de rayon a de moins en moins de temps pour le recevoir dans ses bureaux. Du coup, le chef de secteur doit se contenter d'un quart d'heure d'entretien, dans le rayon, en se débrouillant comme il peut pour sa présentation. Pour pallier ce désagrément, les industriels de la grande conso ont alors ­décidé, lors du renouvellement de leur parc informatique, d'équiper leur force de vente d'outils nomades: smartphone, tablette, PC hybride. Les avantages sont nombreux: plus petits, plus légers, plus performants et rapides, plus autonomes (les batteries peuvent tenir jusqu'à 18 heures pour certains appareils, quand le maximum pour un PC portable est d'environ trois heures...), plus connectés, ludiques et modernes...

Guerre des supérettes en centre-ville Alors que les ventes des hypermarchés de périphérie stagnent, les distributeurs alimentaires s'affrontent au coeur des zones urbaines. La bataille y est plus féroce et plus complexe. Débarqués en mars dans le XVe arrondissement de Paris, les Mousquetaires veulent devenir la référence du quartier Balard. Leur arme: Intermarché Express, une nouvelle enseigne calibrée pour le centre-ville. Ils ont inauguré une supérette de 875 m2, installée à la place d'un ancien garage. La zone est pourtant déjà richement pourvue en petits commerces alimentaires. Un foyer typique de l'intensification de la guérilla que se livrent la quasi-totalité des distributeurs en centre-ville. 200 Intermarché Express d'ici à 2018 «Compte tenu des évolutions démographiques (vieillissement de la population, manque de temps, fragmentation des courses, baisse de la taille des ménages), ce format retrouve l'intérêt des grands distributeurs, analyse Jacques Dupré à l'IRI. Marks & Spencer Food à l'offensive à Paris

La répartition géographique de la grande distribution en France et à Paris L’implantation des enseignes la grande distribution n’est jamais anodine. C’est ce que révèle cette analyse de la carte de la grande distribution en France, constituée à partir des listes de magasins disponibles sur les sites des enseignes de grande distribution. Une situation d’autant plus particulière à Paris, où le groupe Casino est en situation de quasi monopole dans certains quartiers. Distribution : ces cartes qui prouvent qu’il y a des monopoles La répartition territoriale des enseignes est fortement liée au revenu : l’exemple parisien. Toutes les enseignes n’ont pas la même clientèle cible, bien entendu. La division Franprix/Monoprix, toutes deux du groupe Casino, à Paris est représentative de cette répartition des enseignes. Nombre de magasins Monoprix pour 10.000 habitants par arrondissement à Paris (cliquez sur les codes postaux dans la légende pour faire apparaître ou disparaître les données de l’histogramme) Nombre de magasins Franprix pour 10.000 habitants par arrondissement

High-Tech : Boulanger, Darty, Fnac... lequel est le mieux armé face à la concurrence du Web Face à Amazon & Co, c'est l'enseigne nordiste Boulanger qui donne le plus envie d'aller en magasin. Mais Fnac et Darty sont plus numérisés. Une information du «Wall Street Journal» a récemment surpris tous les professionnels du commerce : à New York, Amazon envisagerait d'ouvrir une échoppe. Le cador de la vente sur Internet n'a pas démenti. Si c'est vrai, quelle revanche pour la boutique de papa ! «Souvenez-vous, quand les pure players sont arrivés, beaucoup annonçaient la mort rapide des magasins classiques, rappelle Frédérique Giavarini, directrice de la stratégie à la Fnac. Derrière ce mot barbare se cachent une kyrielle de services désormais bien connus des consommateurs : commander en ligne et venir chercher son produit en magasin ; acheter un objet sur le site Internet de la chaîne, depuis la tablette d'un vendeur ; sélectionner un article sur la Toile et finaliser son achat après l'avoir testé en rayon... A condition d'abord d'assurer une bonne complémentarité Web-boutique.

Qui se cache derrière les marques de distributeurs ? Les marques de distributeurs (MDD) représentent 35,5% des achats en valeur en grande surface, selon Nielsen. Mais qui fabrique exactement les raviolis Carrefour, la crème fraîche "marque repère" de Leclerc ou la confiture de Casino ? Derrière ces MDD se cachent des PME inconnues du grand public, des fournisseurs européens, mais aussi... de grandes marques comme Yoplait, Nestlé ou Bonduelle. Mais chut ! Le secret est bien gardé et ce n'est qu'en décryptant les mystérieux codes sur les emballages que le JDN a déniché ces produits MDD vendus jusqu'à 50% moins chers que ceux de marque et pourtant fabriqués... exactement au même endroit.

Huit nouvelles règles pour attirer les clients en magasin Les boutiques physiques ont encore de nombreux atouts à faire valoir face à la concurrence du e-commerce. Phénomène grandissant, le showrooming, qui consiste à regarder un produit dans un magasin pour l'acheter ensuite sur Internet, inquiète les commerçants. Pour autant, le magasin n'est pas mort. Sur 100 visiteurs d'un site d'enseigne, 72 vont en magasin, rappelle l'Observatoire du ROPO2, de FullSix Group. Et 77% des Français affirment ne pas pouvoir se passer de l'achat traditionnel en magasin, d'après un sondage Ifop. Recruter des vendeurs experts "On note une augmentation très sensible aux Etats-Unis du nombre de magasins et d'enseignes où l'on met en avant le personnel et leurs compétences individuelles", assure Mike Hadjadj, directeur marketing et communication de Generix Group. Théâtraliser le magasin Faire d'Internet un allié Rendre l'achat plus facile et plus rapide Rien de plus énervant que de devoir attendre 20 minutes devant une caisse bondée pour payer un bête T-shirt.

Sept innovations « waouh » qui arrivent en magasin - Tendances du marketing relationnel, consommation : le hub 1 – Chez Audi, des casques de réalité virtuelle pour essayer les voitures Le mois dernier, lors du salon automobile de Détroit, Audi a annoncé qu’il allait déployer d’ici la fin de l’année un casque de réalité virtuelle dans certaines de ses concessions. L’objectif ? Permettre au client de visualiser, de la façon la plus immersive et la plus détaillée possible, la voiture qu’il s’apprête à commander. Grâce à ce système dénommé « Audi Virtual Reality experience », le conducteur peut se mettre virtuellement au volant de sa future Audi et observer toutes les options (couleur, équipements, intérieur cuir…) qu’il a choisies. Cette expérience de réalité virtuelle est destinée « aux marchés à forte croissance », précise la marque (Asie, Amérique du Nord). Plus d’infos : Les numériques 1 bis – Thomas Cook propose de tester les voyages avant de les acheter Thomas Cook est aussi en train d’installer des casques de réalité virtuelle dans ses points de vente. Thomas Cook Que propose ce miroir ?

Le Drive : Un modèle en questions 1. Jusqu'où ira la part de marché ? 2,9 % de marché en décembre 100 % de croissance annuelle 5 millions de ménages utilisateurs (soit 15 %) à fin 2012 2 000 drives (points de retrait compris) à fin 2012 Sources : LSA, Kantar Une seule certitude : foncer. La course à l'armement Qu'on en juge. « En novembre, le drive a conquis 900 000 ménages de plus, indique Frédéric Valette, directeur chez Kantar Worldpanel. Une véritable course à l'armement... 2. 200 000€ d'investissement moyen pour un drive accolé un peu ambitieux 2 M € pour bâtir un drive solo 10 % de drives solo dans le parc global de drives Source : LSA Drive solo, planté à proximité de la concurrence, destiné à grappiller de la part de marché, ou accolé, installé à côté de son propre magasin, pour faire en sorte de ne pas en perdre... Domination des accolés Conséquence somme toute logique : le premier modèle domine largement. Et les autres ? 3. Elles sont au nombre de trois, ni plus ni moins. Nécessité de l'omnicanal Son intérêt, alors ?

Le premier magasin new-yorkais d'Amazon n'était qu'un immeuble de bureaux Ce qui aurait pu être l'un des plus beaux contes marketing de ce Noël 2014, n'est plus qu'un simple soufflé médiatique aujourd'hui, discrètement, retombé. Le 9 octobre dernier, citant des sources "proches du dossier" le Wall Street Journal (WSJ) affirmait, que 20 ans après sa naissance, Amazon s'apprêtait à ouvrir un magasin physique pour les fêtes de fin d'année (la sacro-sainte "shopping season" aux Etats-Unis) à New York. Un magasin situé sur la 34ème rue, en plein coeur de Manhattan, de manière tout à la fois symbolique et stratégique, tout près de l'Empire State Building et à quelques encablures de Macy's LE grand magasin new-yorkais par excellence. Le 20 novembre le Seattle Times confirme qu'Amazon a bien loué pour une durée de 17 ans un immeuble (de 44 000 m2) à deux pas de l'Empire State Building, mais précise en se basant sur des propos d'une porte-parole d'Amazon, Kelly Cheeseman, que le groupe Internet n'a aucune intention d'ouvrir un magasin à cette adresse.

Related: