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Quelles différences entre les biens communs et le communisme ? » Article » OWNI, Digital Journalism

Quelles différences entre les biens communs et le communisme ? » Article » OWNI, Digital Journalism
Quelle sont les similitudes divergences entre les traditions socialistes et l'émergence des idées et pratiques liées au P2P et des biens communs ? Michel Bauwens, fondateur de la P2P Foundation, nous explique sa vision. Titre original : How does the idea of p2p and the commons differ from the socialist tradition? Dans cet article du journal Pagina 12, le journaliste Mariano Blejman écrit que je mets sur le même plan le matériel ouvert et socialisme. Et c’est également le message qui semble être relayé aujourd’hui sur twitter. Ceci n’est pas exactement ma position, et j’aimerais donc en profiter pour publier de nouveau un précédent article qui explique notre positionnement vis à vis du socialisme. Quelle est la connexion entre la tradition historique du socialisme/communisme et l’émergence contemporaine des idéologies liées au peer to peer et des biens publics ? Notre interprétation du communisme Et le Peer to Peer ? Quelles sont alors les principales différences avec le communisme ?

Category:Commons = What we share. Creations of both nature and society that belong to all of us equally, and should be maintained for future generations. The Commons has the potential to replace the commodity as the determining form of re-/producing societal living conditions. This new section exclusively devoted to the emergence of Commons in various fields. Most commons fall into three general categories – gifts of nature, material creations, and intangible creations (i.e. the Three Commons. [2]. "Our global economic system is now in grave crisis, threatening the entire planet, its institutions and species. A new kind of common wealth is needed to protect the assets of Earth, resolve our private and public debts, and create a global society of justice, sharing and sustainability for everyone. Our commons are the collective heritage of humanity — the shared resources of nature and society that we inherit, create and use. Twelve Key Assets of Ogallala Commons Charlotte Hess: Mapping the New Commons 0. 1.

Les biens communs ou le nouvel espoir politique du XXIe siècle ? Il y a plus de dix ans, Philippe Quéau (qu’on ne lit pas assez) s’exprimait ainsi lors d’une conférence organisée par le Club de Rome (qui a eu raison avant l’heure ?) ayant pour titre Du Bien Commun Mondial à l’âge de l’Information : « L’intérêt public est beaucoup plus difficile à définir que l’intérêt privé. C’est un concept plus abstrait. Le bien commun ou plutôt les biens communs (attention danger sémantique) seront à n’en pas douter non seulement l’un des mots clés de ce nouveau siècle, mais aussi, si nous le voulons bien, l’un des éléments moteurs et fédérateurs des politiques progressistes de demain[1] C’est pourquoi le Framablog les interroge de temps en temps, comme ici avec cette ébauche de traduction française d’une première version d’un texte en anglais rédigé par une allemande ! On ne s’étonnera pas de voir la culture du logiciel libre une nouvelle fois citée en exemple à suivre et éventuellement à reproduire dans d’autres champs de l’activité humaine. 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7.

HackerspaceWiki Cause commune Cause commune : l’information entre bien commun et propriété vient d’être réédité en livre numérique chez publie.net avec une préface originale. L’édition papier a paru aux Editions Fayard dans la collection Transversales (février 2005). Pour des informations sur les traductions choisissez la langue correspondante dans les menus de bas de page. Achetez le livre numérique : chez publie.net Achetez le livre papier : Achetez le chez votre libraire préféré, ou si ce n’est pas possible en ligne (Alapage, Amazon, Decitre, FNAC) … et / ou téléchargez le La version PDF du livre Cause commune : l’information entre bien commun et propriété est mise à disposition sous un contrat Creative Commons Télécharger (format PDF) Quatrième de couverture L’information et ses technologies refaçonnent notre univers technique, social et éthique, mais ces bouleversements se font dans deux directions opposées selon que l’on choisit d’en encourager l’appropriation privée ou d’en faire des biens communs. Revue de presse

Journal Permanent de l'Humanisme Méthodologique Rebooter les villages Zone rurale autonome + hackers = hackerland. Une équation somme toute logique, comme nous l'ont expliqué les habitants d'un de ses "néo-villages" installé dans le Centre. Ils organisaient ce week-end leur deuxième festival, au joli titre en forme de synthèse : electronic pastorale. La sainte trinité du hackerland. Ces deux univers étaient faits pour se rencontrer, s’aimer, s’aider : les hackers et ce qu’on pourrait appeler les zones rurales autonomes. Car le lieu a d’abord rassemblé une poignée de personnes qui voulaient vivre en autosuffisance, constituer un collectif au maximum “résilient” : trois gars du coin et pas des Parisiens en mal de retour à la Nature comme le Larzac en a vu tant passer. Alors, ils ont acheté deux hectares et, partant de ce rien de terre, ont construit pas à pas “un village”. Éloge de la do-ocracy Depuis leurs débuts, ils ont entendu tous les noms d’oiseaux planants : “hippies”, “tarte aux fleurs”, “allumés énergétiques”, etc. Il est libre, le pixel

La redécouverte des biens communs Traduction de l'anglais de «The Rediscovery of the Commons» David Bollier David Bollier est un spécialiste en stratégie, journaliste et consultant indépendant avec des activités d'intérêt général variées. Traduction de l'anglais: Olivier Berger Copyright © 2003 David Bollier Résumé Le discours qui prévaut pour parler de l'Internet est celui du marché. The prevailing discourse for talking about the Internet is that of the market. Les catégories intellectuelles de la doctrine du libre marché sont ancrées si profondément dans notre conscience qu'il est souvent difficile de voir le monde tel qu'il existe. Dans ce no-mans-land, nous ne disposons pas vraiment des outils conceptuels nécessaires à la compréhension de nombreux types de comportements en-ligne. Un problème, je crois, est que nous n'arrivons pas à reconnaître la dynamique des biens communs — un modèle pour la gestion des ressources basé sur la communauté. Le discours qui prévaut pour parler de l'Internet est celui du marché.

Interrogé par le FBI sur Julian Assange, Jérémie Zimmermann est bien rentré en France La nouvelle s'est répandue comme une traînée de poudre sur Twitter, à la faveur d'un message publié par Wikileaks. Lors d'un déplacement aux États-Unis pour participer à une émission de télévision, The World Tomorrow, Jérémie Zimmermann a été interpellé et interrogé par le FBI dans le cadre de l'enquête portant sur Julian Assange, le fondateur et porte-parole de Wikileaks. Depuis la publication de plusieurs dizaines de milliers de documents confidentiels, dont des télégrammes diplomatiques et des archives sur les guerres d'Irak et d'Afghanistan, Julian Assange est en effet la cible de nombreux politiques aux États-Unis. Beaucoup aimeraient obtenir son extradition afin de pouvoir le juger et le condamner avec la plus grande sévérité. Toujours selon Wikileaks, l'interpellation de Jérémie Zimmermann s'est produite au moment où ce dernier allait embarquer pour rentrer en France. Reste que l'information rapportée par Wikileaks est quelque peu obsolète.

Tragedy of the commons The tragedy of the commons concept is often cited in connection with sustainable development, meshing economic growth and environmental protection, as well as in the debate over global warming. It has also been used in analyzing behavior in the fields of economics, evolutionary psychology, anthropology, game theory, politics, taxation, and sociology. However the concept, as originally developed, has also received criticism for not taking into account the many other factors operating to enforce or agree on regulation in this scenario. Lloyd's pamphlet[edit] In 1833, the English economist William Forster Lloyd published a pamphlet which included an example of herders sharing a common parcel of land on which they are each entitled to let their cows graze. Garrett Hardin's article[edit] The Universal Declaration of Human Rights describes the family as the natural and fundamental unit of society. [edit] As a metaphor, the tragedy of the commons should not be taken too literally. See also[edit]

Elinor Ostrom Debunks Tragedy of the Commons Nobel Prize-winning economist Elinor Ostrom proved that people can—and do—work together to manage commonly-held resources without degrading them. posted Oct 27, 2009 The biggest roadblock standing in the way of many people’s recognition of the importance of the commons came tumbling down when Indiana University professor Elinor Ostrom won the Nobel Prize for Economics. Garrett Hardin described the Tragedy of the Commons with a hypothetical example of shared herding land: If all herders make the individually rational economic decision of increasing the number of cows they graze on the land, the collective effect will deplete or destroy the common. Over many decades, Ostrom has documented how various communities manage common resources—grazing lands, forests, irrigation waters, fisheries—equitably and sustainably over the long term. Garrett Hardin himself later revised his own view, noting that what he described was actually the Tragedy of the Unmanaged Commons. -Elinor Ostrom YES!

Le bien commun : l'assaut final - Un documentaire de Carole Poliquin Nombreux sont ceux qui pensent qu’en France le projet de loi « Création et Internet » (ou Hadopi) n’est pas qu’une simple question technique et juridique pour endiguer le « piratage », mais se situe bien au delà, sur le front politique et sociétal de la défense des biens communs contre une « marchandisation » croissante des activités humaines, ici la culture[1]. C’est pourquoi il nous a semblé intéressant de proposer aux lecteurs de passage un « vieux » documentaire que vous n’avez peut-être pas eu l’occasion de voir à sa sortie en 2002 (durée : 1 heure). Il a pour titre Le bien commun : l’assaut final et a été réalisé par la québécoise Carole Poliquin (dont nous avons obtenu accord pour diffusion). Voici ce qu’en disait Bernard Langlois dans le journal Politis : Sur le fond, c’est une charge très argumentée, très démonstrative contre la mondialisation libérale, nourrie de reportages et de témoignages recueillis au Canada, au Mexique, aux États-Unis, en Inde, en France. Loaded: 0%

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