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Are All Terrorists Muslims? It’s Not Even Close

Are All Terrorists Muslims? It’s Not Even Close
Motorcycles and minibuses, fake IDs and frantic calls. This is how a former spy and battlefield commander leaves the Islamic State. For all the attention paid to ISIS, relatively little is known about its inner workings. Part Four: Escaping the Islamic State ISTANBUL — Abu Khaled looked at me across the outdoor hookah café table in the touristy Laleli district of Istanbul. Even though ISIS terror had struck inside Turkey the week before, the organization calling itself the Islamic State, al-Dawla al-Islamiya, felt very far away. “People started feeling bad about all the lying,” he said. The pervasive mendacity in the caliphate competes with a climate of ceaseless recrimination and denunciation: Two Minutes of Hate directed every day, at everyone. They see themselves as superior—holier than thou in the proper definition. “Foreigners are telling Syrians how to dress, how to live, how to eat, how to work, how to cut their hair. Abu Khaled was commanding three ISIS units.

x Siyakha Traoré #ZyedEtBouna C’est à Clichy-Montfermeil que nous avons rencontré Siyakha Traoré, le grand frère de Bouna. Bouna Traoré et son ami Zyed Benna sont morts le 27 octobre 2005, électrocutés alors qu’ils tentaient d’échapper à un contrôle de police. S’en sont suivies trois semaines d’émeutes. « J’étais choqué, surpris, abasourdi même » (…) Ce n’était pas facile, ça nous a fait tout drôle. « On avait une petite lueur d’espoir. Il poursuit : « On fait avec malgré ça, le combat continue ». « De quel combat tu parles ? « Cette injustice je la perçois comme une menace. Mouloud : « Une menace, contre qui ? « Contre nous… Les Noirs et les Arabes, les quartiers populaires »… et plus généralement, « une menace contre les justiciables. Mouloud : « Est-ce que vous vous y étiez préparés ? « Personnellement je m’y étais préparé ». (…) « Après, lorsque ça fait 10 ans que tu attends ce procès et qu’on t’annonce une relaxe… » Pour Siyakha, la justice a manqué de considération envers les familles des victimes : Il ajoute :

«Flâner», la série qui dévoile la vie des noirs en France Le port du voile n’est pas « une menace contre l’institution universitaire » Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Matteo Maillard Le Conseil national de l’enseignement supérieur et de la recherche (Cneser) l’affirme : le port du voile à l’université n’est pas « une menace contre l’institution universitaire ». A 37 voix pour, 3 abstentions et un refus de prendre part au vote, ce comité consultatif auprès du ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche a adopté, lundi 18 mai, cette motion soumise par la conférence des présidents d’université. Rappelant la jurisprudence du Conseil d’Etat et de la Cour européenne des droits de l’homme, le texte voté précise que « l’interdiction du port du voile ou tout autre signe religieux visible par des étudiants à l’université n’a pas de base légale (à l’exception de cas concernant la sécurité ou l’hygiène) ». Si menace il y a, le comité estime que celle-ci résiderait « dans le risque d’intrusion des religions et d’idéologies diverses dans la science, le contenu des enseignements ou des champs de recherche ».

"Après coup" : la lettre de Mourad Benchellali, ex-détenu de Guantanamo Une semaine après les attentats de Paris, l’ex-détenu de Guantanamo, le Vénissian Mourad Benchellali, a écrit une lettre ouverte que nous publions sous forme de tribune. Mourad Benchellali photographié en août 2014 à Vénissieux. ©LB/Rue89Lyon Making ofMourad Benchellali a décidé de prendre la plume dans un double contexte. Dans la soirée du 13 novembre et la matinée du 14 novembre, j’ai fait ce que beaucoup de provinciaux ont fait : par sms ou en téléphonant, j’ai cherché à prendre des nouvelles de tous mes amis habitant Paris ou sa banlieue pour savoir si eux et leurs familles allaient bien. Une fois rassuré, j’ai partagé le sentiment de tristesse et d’horreur face à ces crimes et j’ai simplement serré mon fils contre moi, tachant de répondre à ses questions d’enfant et de le protéger de la répétition des images en boucle à la télé. « Qu’est-ce qui se passe, qu’est-ce qu’on peut faire ? L’« expert » que je suis pour les médias Qu’est-ce qu’on entend ? Déchéance de nationalité ?

Toulouse : une femme voilée et enceinte agressée à cause de sa religion - 26/03/2015 - LaDepeche.fr Une femme de religion musulmane a été agressée par un individu mardi matin à Toulouse. Enceinte, elle a été hospitalisée. et a déposé plainte. Son mari dénonce cet acte islamophobe. «Ma femme venait de poser nos deux filles à l'école, l'une à la maternelle, l'autre en primaire. Au moment de repartir, elle a croisé deux jeunes hommes. L'un d'eux lui a agrippé les cheveux, a tiré sur son voile tout en l'insultant : pas de ça chez nous ! Mounir, 33 ans, a grandi à Castres et vit à Toulouse avec son épouse, Kedidja. «D'après le récit de mon épouse, c'est ce qui n'a pas plu à ce monsieur. Prise en charge par les pompiers, Kedidja a été hospitalisée à la clinique Ambroise-Paré. Un enquêteur de la sûreté départementale l'a entendue hier pendant 2 heures. «Ce genre de comportement est inadmissible, s'indigne Mourad.

Le bureau d'Aspasie: Comprendre Daesh et l'islamisme J'avais prévu de ne pas parler d'histoire contemporaine sur ce blog, mais j'ai assisté il y a deux jours (vendredi 20 mars 2015) à une conférence sur la manipulation politique des fondements de l'islam aujourd'hui, et il m'a paru intéressant de relayer ce que j'y ai appris : ces quelques informations sont d'une grande utilité pour comprendre le contexte géopolitique d'aujourd'hui au Moyen Orient, et la place de l'islam en France aujourd'hui. Autre nouveauté, en plus de l'histoire contemporaine : cet article a été écrit en collaboration avec mon amie Milena, qui a aussi assisté à la conférence (et qui a aussi le bon goût d'être médiéviste). La conférence à laquelle nous avons assisté est la première d'un cycle sur la laïcité et les fondamentalismes religieux en France. Ce cycle est organisé par des étudiants en histoire, qui ont décidé d'inviter des professeurs d'histoire. Sa problématique se résumait à quatre questions : qu'est-ce que l'islamisme ? Qu'est-ce que l'islamisme ?

Stop! Mon corps ne vous appartient pas C'est le mois de mars, un mois pendant lequel, en tant que femme, noire, musulmane, je dois célébrer certaines journées : d'abord le 8, qui est la journée internationale du droit des femmes, puis le 15, c'est le triste anniversaire du vote de la loi du 15 mars 2004 excluant de l'école publique les filles qui portent le foulard et enfin le 21 qui est la journée internationale contre le racisme. Nous sommes le 14 mars 2015, une semaine après le 8 mars, journée internationale du droit des femmes et la veille du onzième anniversaire du vote de la loi du 15 mars 2004. Je décide d'aller, avec une amie, au festival du film de femmes de Créteil voir Je ne suis pas féministe, mais..., un film de Florence et Sylvie Tissot sur le parcours de la féministe Christine Delphy. J'y vais, toute contente, pensant que ce serait un espace safe (de sécurité) pour moi. J'arrive un peu en retard et rate le début du film. Mais le cauchemar n'est pas fini.

Ces intellectuels qui tissent un islam progressiste « J’ai une maison fissurée, que j’ai cru être une belle demeure, mais elle commence à prendre l’eau, le vent de partout et menace de s’écrouler. Les pierres de taille de départ me plaisent, donc je la déconstruis au sens où je prends pierre par pierre et je la rebâtis pour en faire un beau palais. » C’est par le recours à une métaphore que Ghaleb Bencheickh, physicien et islamologue érudit, empoigne son sujet. La figure de style n’est pas neutre. « Il est aisé de profiter du choc pour réactiver des antagonismes en assimilant l’islam et l’islamisme » Cette entreprise oblige au préalable, selon Tareq Oubrou, imam de Bordeaux, « à ne pas tomber dans l’erreur de la généralisation ou le piège de l’essentialisation d’un sujet, l’islam, qui est très complexe ». Aux tentatives de figer l’islam dans une culture monochrome, à la peur, à la surenchère sécuritaire, à la nuit de l’ignorance dans laquelle les haines se retranchent… des intellectuels opposent les armes du débat.

Les yeux noirs - Féministes mais anti-voile : un argumentaire à... Rokhaya Diallo : “La France est une mère-patrie qui ne reconnaît pas une partie de ses enfants” Seule une vraie politique de lutte contre les inégalités est à même d'éviter la reproduction de tels drames estime la journaliste et essayiste Rokhaya Diallo. Après avoir fondé Les Indivisibles, association de lutte contre les préjugés ethno-raciaux, Rokhaya Diallo est devenue journaliste (RTL, Canal+…) et réalisatrice (Les marches de la liberté, Les réseaux de la haine). Elle a créé et présenté le magazine Egaux mais pas trop. Quels sont vos espoirs et vos craintes après la vague d'attentats qui a frappé la France ? Quelles mesures devrait on-prendre pour lutter contre ces extrémismes ? En 2011, lorsqu'un cocktail molotov avait été lancé sur les bureaux de Charlie Hebdo, vous aviez signé l'appel « Pour la défense de la liberté d’expression, contre le soutien à charlie hebdo !

Charlie Hebdo: «Les enfants de Seine Saint-Denis ne sont pas des idiots» «Pourquoi le 93? Aucun de ces terroristes ne venait de Seine Saint-Denis. Aucun. Pourquoi le 93? Lorsque j’ai appris l’attaque de Charlie Hebdo, je rentrais de l’école. J’ai lu, j’ai corrigé, sans être jamais loin de mon écran d’ordinateur. L'actualité à la place de Farenheit 451 Dans la salle des professeurs, l’une de mes collègues musulmanes réprime un sanglot en nous disant que sa religion est encore salie. Oui, ils ont voulu en parler. Je ne savais pas, donc, ce que mes élèves allaient me dire. Silence respectueux, attentif, plein Cette classe est d’ordinaire frémissante. Quoi qu’il en soit, ce jeudi, j’ai un silence complet lorsque je m’exprime devant eux. Je veux vous parler de ce qui s’est passé hier. Premièrement, je suis triste parce que des innocents sont morts assassinés, et je ressens un sentiment de compassion qui est lié au fait que je suis humaine et que je ne comprends pas qu’on puisse tuer. Deuxièmement, je suis triste parce que j’ai eu peur. Je leur ai expliqué. Marie

Le Figaro à Saint-Denis : Désinformation-sur-Seine « Molenbeek-sur-Seine » Samedi 21 mai 2016, Le Figaro Magazine publiait l’enquête de Nadjet Cherigui sur la ville de Saint-Denis renommée pour l’occasion « Molenbeek-sur-Seine ». À la demande de plusieurs dionysiens et internautes effarés par l’angle choisi et les « insinuations abjectes », nous avons donc remis nos trenchs d’enquêtrices pour aller démêler le vrai du faux. Après deux semaines de rencontres, de présence sur place et d’entretiens, notamment avec les personnes citées, nos doutes quant à l’utilisation de procédés journalistiques équivoques et de simplifications outrancières ont été confirmés. Manipulation, déformation, falsification de plusieurs citations, informations non vérifiées devenues assertions, occultation délibérée de propos pouvant nuancer l’enquête : le résultat est pour le moins accablant. C’est par la « Une » de l’édition – c’est souvent le cas – que la polémique est arrivée. Les premières lignes de l’article confirment la tendance : « Mosquée Tawhid.

Siam, verbalisée sur une plage de Cannes pour port d'un simple voile - 26 août 2016 Siam est toujours sous le choc, une semaine après. Mardi 16 août, cette mère au foyer de 34 ans, ancienne hôtesse de l’air, est installée sur la plage de la Bocca, à Cannes (Alpes-Maritimes), avec ses proches. Originaire de Toulouse, la famille est en vacances sur la Côte-d’Azur pour quelques jours. Elle aperçoit soudain trois policiers municipaux qui se dirigent droit sur elle. Une policière se baisse à la hauteur de Siam. "Elle m’a lu la moitié de l’arrêté, l’air un peu gêné, me disant que les personnes présentes sur la plage devaient porter une 'tenue correcte'." Siam, sa sœur, sa mère et une amie de cette dernière sont stupéfaites, même si elles commencent à entrevoir que c’est le voile qui est visé : "Qu’est-ce qu’une tenue correcte pour vous ?" "Si vous mettez votre foulard sous forme de bandeau autour de la tête, vous pouvez rester sur la plage." Siam refuse toutefois de se dévêtir ou de quitter la plage. "Ici, on est catholiques !" "La parole raciste s’est totalement libérée.

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