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"La disparition" de Georges Perec

"La disparition" de Georges Perec
."Anton Voyl n'arrivait pas à dormir. Il alluma. Son Jaz marquait minuit vingt. Il poussa un profond soupir, s'assit dans son lit, s'appuyant sur son polochon. Il prit un roman, il l'ouvrit, il lut; mais il n'y saisissait qu'un imbroglio confus, il butait à tout instant sur un mot dont il ignorait la signification.Il abandonna son roman sur son lit.

Les Légendes de chez nous - Les projets - Francolab - TV5.ca Toujours est-il que cette année-là, le carême approchait. Rose demanda à son père si elle pouvait organiser une soirée, la veille du carême, pour danser et danser encore! Les quarante jours suivants, ce ne sera plus permis! Le père Latulipe accepta, mais à une condition : à minuit sonnant, on devait arrêter la danse. Sinon, ce serait un péché. Rose promit tout ce que son père exigeait, et la soirée s’organisa : tout le monde vint veiller chez les Latulipe. Soudain, vers onze heures du soir, on frappa à la porte. Toute la soirée, elle dansa avec l’inconnu, qui n’invita personne d’autre. Lorsque le douzième coup de minuit retentit, l’étranger éclata d’un grand rire. Le lendemain matin, on aperçut Rose Latulipe rôdant autour de la maison en cendres. Depuis, dans différentes régions du Québec, on raconte la triste histoire de Rose Latulipe. Télécharger la transcription en format PDF

Le verlan c'est devenu trop « relou» ! Le Parisien | 01 Oct. 2012, 07h00 Ces derniers temps, le célèbre linguiste Alain Rey, dont la nouvelle édition du « Dictionnaire historique de la langue française » vient d'être publiée, a observé un truc de « ouf » (fou), pour ne pas dire « chelou » (louche). Le verlan, cet argot qui consiste à inverser les syllabes, n'a franchement plus la cote en banlieue. « Cette créativité, ayant fait naître les mots keuf (flic), meuf (femme) ou beur (arabe) qui sont ensuite entrés dans le langage courant, s'est fortement essoufflée », constate ce conseiller éditorial des Editions Le Robert. Il faut effectivement remonter à plusieurs années pour trouver des mots de verlan ayant pu sortir des cages d'escaliers. « Caillera » (racaille), « véner » (énervé), « pécho » (choper), « à donf » (à fond) ou « renoi » (noir) font partie des derniers arrivants. « Céfran » (français) et « reum » (mère) semblent, eux, déjà périmés. > Venez débattre et poser vos questions sur nos forums !

Christopher, je t'en prie, nettoie ta chambre! par Vincent Gauthier Générique réalisation Vincent Gauthier animation Jo Meuris conseiller pour le storyboard Sheldon Cohen supervision de la production de l'animation Marie Renaud spécialiste en imagerie numérique Normand Gauthier adaptation pour le cinéma Sugith Varughese narrateur Maka Kotto montage José Heppell montage sonore Don Ayer André Chaput musique originale Chris Crilly paroles Jamie Mason bruitage Monique Vézina mixage Serge Boivin Jean Paul Vialard producteur exécutif David Verrall Isobel Marks producteur Tamara Lynch

De l'éveil culturel des tout-petits à... « Je ne me souviens plus quand ça a commencéJe me souviens seulement des bruits d’ondéesDe petites gouttes,Et puis de grandes marées… » Elle poursuit l’histoire de cette façon : « … C’était mon nid à moi.Mon nid, tout chaud, tout doux.Mais tout d’un coup,C’est devenu trop petitAlors je suis parti,J’ai poussé fort, très fort pour arriver dehors… » Dans ce livre, tout évoque la naissance, la mise au monde, la découverte, la rencontre… Les actions d’éveil culturel de la petite enfance ont commencé à se développer en France, à l’initiative des personnels de la petite enfance et des artistes au cours des années 1970. Toutes ces actions menées ici et là au gré des énergies de chacun aboutissent en 1989 à la signature d’un protocole d’accord entre le ministre de la Culture, de la Communication, des Grands travaux et du Bicentenaire et le secrétaire d’État auprès du ministre de la Solidarité, de la Santé et de la Protection sociale, chargée de la Famille. Plus loin il est précisé :

Débat : les mots MARDI 1er AVRIL 2008 Témoignages de compagnies participant aux « Premières rencontres », de programmateurs, de personnel de la petite enfance. Avec Christine Attali-Marot de l’Association « Enfance et Musique ». En préambule, comme point de départ d’une réflexion commune, Christine Attali-Marot lit dans la revue « Enfants d’Europe » (février 2004) un extrait d’une entrevue avec Loris Malaguzzi, grand penseur pédagogue italien (1920-1994) premier directeur des centres municipaux de la petite enfance de Reggio A la question quelle image avez-vous de l’enfant, il répond : « L’image est celle d’un enfant plein de richesses, qui possède de nombreuses ressources à la naissance et un potentiel extraordinaire qui n’a jamais cessé de nous étonner…c’est celle d’un enfant doué pour lequel il nous faut un professeur doué. Quels sont les mots qui viennent à l’esprit pour évoquer le rapport de la petite enfance à l’art ? L’art de la représentation L’imaginaire et l’imagination L’émotion La créativité

Une ludothèque à l'école La ludothèque dispose d’un matériel de quarante jeux. Une petite salle de classe moquettée a été aménagée avec des tables et des chaises placées en labyrinthe entre lesquelles les élèves ont le droit de se déplacer selon une logique de progression dans la difficulté des jeux. Le cadre du projet ludothèque a été défini en partenariat avec les vingt-quatre instituteurs. Les enseignants se sont engagés à indiquer quels étaient, selon eux, les points faibles et les points forts de leurs élèves, par exemple : la capacité de concentration, le degré de confiance en soi, l’état de l’élève en termes de stress ou de détente. En réalité, deux enseignants y ont réellement réfléchi et ont fait des fiches sur les difficultés et les moyens de progression de leurs élèves, trois autres ont donné la liste des élèves avec quelques évaluations laconiques, parfois dépréciatives ; les autres m’ont fourni quelques remarques orales. Il a donc été difficile d’évaluer les effets des jeux sur les élèves.

Le bébé, le jeu et la ludothèque En observant un bébé bien habile, qui pourrait faire la différence entre une expérimentation qualifiée de ludique et une autre ? Un bébé qui joue, c’est un bébé qui vit. Cependant, il est possible de repérer des éléments qui « ludifient » les activités du bébé ; les deux principaux étant la découverte ou la trouvaille que fait le joueur lui-même et l’approbation que lui apporte son accompagnateur. La ludothèque se définit comme un lieu dédié au jeu, avec, pour mission première, d’organiser les bonnes conditions du jeu. C’est un lieu à part, entre maison et lieu de garde, où les enfants ne peuvent rester seuls et sont accompagnés d’un adulte responsable. Lors de l’installation des espaces de jeu, il est nécessaire de tenir compte, à part égale, des enfants et des adultes. Contrairement à une idée bien répandue encore, le jeu du bébé n’a pas lieu partout et toujours. Il a pour fonction de rendre le jeu possible, de le soutenir et de favoriser son évolution dans le temps et dans l’espace.

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