background preloader

Soixante-dix des dessins de Charb pour les Cahiers pédagogiques

Soixante-dix des dessins de Charb pour les Cahiers pédagogiques
Accueil > L’actualité vue par le CRAP > Soixante-dix des dessins de Charb pour les Cahiers pédagogiques De 1998 à 2015, Charb a offert aux Cahiers pédagogiques un dessin sur l’actualité éducative à chaque numéro où il n’était pas débordé par Charlie et ses remous. "Ce fut sa prof de français de 3e, Sylvie Presmisler, une crapiste, qui nous le recommanda en 1998. Jean-Michel Zakhartchouk et moi étions alors tous deux rédacteurs en chef des Cahiers pédagogiques." se souvient Raoul Pantanella. Charb fait alors sa première couverture pour le n°367-68 des Cahiers. Puis à partir de 1999, il nous livre chaque mois “l’école de Charb”. Marc Pantanella, notre graphiste, a réuni ce matin dans un diaporama soixante-dix dessins parus entre 2000 et 2009. Related:  zigue

Paroles et dessins de lecteurs en hommage à “Charlie” Par email, sur Facebook, ou en commentaire sur nos articles, les lecteurs de “Télérama” ont évidemment été nombreux à réagir et faire part de leur émotion après l'attentat contre “Charlie Hebdo”. Voici une sélection de leurs textes et de leurs dessins. En hommage aux humoristes assassinés, pensons, réfléchissons sans nous prendre au sérieux, soyons impertinents, cultivés, curieux, nageons à contre-courant, soyons fraternels et libres. Emmanuelle, Montpellier Les taches de sang de la barbarie et l'obscurantisme ne pourront jamais remplacer les taches d'encre de la liberté d'expression. Michel, Mignères Je viens de vivre un moment de fierté, en ce triste lendemain du massacre de la rédaction de Charlie Hebdo, en entendant Notre-Dame de Paris sonner le glas et des militaires jouer la sonnerie aux morts en l'honneur de journalistes qui n'avaient pas pour habitude d'épargner ni l'Eglise ni l'armée... Pascal Cliquez à droite du dessin pour faire défiler les images du portfolio Danièle Evelyne, Paris

Ça crayonne dur pour Charlie Charlie Hebdo était, est, un journal de dessinateurs. C’est en dessins que de très nombreux dessinateurs, connus ou moins connus, français et étrangers, rendent hommage aux membres de la rédaction assassinés mercredi. Comme le dit Xavier Gorce, l’illustrateur des Indégivrables du Monde, «Amis dessinateurs, après les mouchoirs, il va falloir sortir le stylo-bazooka !» Olivier Tallec Philippe Mouche Bidu L'Egyptien Makhlouf, «Je suis solidaire avec Charlie Hebdo» : L'Américain Nick Anderson L'Egyptien Mazen Kerbaj Luna Joulia L'iranien Mana Neyestani L'américain Rick McKee L'américain Gary Varvel Le Grec Alecos Papadatos Na! La Tunisienne Willis : Julien Neel s'adresse aux enfants : Virginie Broquet Tine Simon Bailly Maïlys Glaize Wingz Guy Delisle Franck Poidevin Gilles Rochier Martin Vidberg Marie-Céline REY Hervé Baudry Le dessinateur politique malaisien Zunar publie ce dessin accompagné d’un communiqué de soutien : Florence Cestac L’Espagnole Ana Juan, en une du New Yorker «Encre indélébile» pour Sandrine Martin

L'hommage des dessinateurs à «Charlie» Charlie Hebdo était, est, un journal de dessinateurs. C’est en dessins que de très nombreux dessinateurs, connus ou moins connus, français et étrangers, rendent hommage aux membres de la rédaction assassinés mercredi. Comme le dit Xavier Gorce, l'illustrateur des Indégivrables du Monde, «amis dessinateurs, après les mouchoirs, il va falloir sortir le stylo-bazooka !» Le Français Gwen Keraval Le Cubain Arès Dessin d'Arès (Cuba) pour Cartooning for Peace #JeSuisCharlie pic.twitter.com/Cnq4uYZgsN — ツBG (@j_bg) 8 Janvier 2015 Le Français Fred Sochard Le néerlandais Hajo de Reijger Le Québécois Garnotte Chaunu Ce dessin terrible de Chaunu, qui rappelle toutes les luttes contre tous les systèmes totalitaires #19h30 pic.twitter.com/6QRUbdFEQo — Darius Rochebin (@DariusRochebin) 8 Janvier 2015 La Française Sylvie Serprix La Française Catel Muller Xavier Gorce Bravo @XavierGorce @lemondefr pic.twitter.com/6kmN6FJs0F — LozeRER (@LozeRER) 8 Janvier 2015 Le Français Frédéric Deligne Le Français Etienne Gendrin .

400.000 oeuvres d'art du MET à télécharger gratuitement... et légalement Temps de lecture: 2 min Vous rêvez de retrouver les Picasso ou Monet que vous avez admiré au MET? Ou n'y étant jamais allé, vous voulez les contempler depuis chez vous en bonne résolution? Ou vous êtes prof et vous voulez en faire profiter vos élèves? Depuis quelques jours, le Metropolitan Museum of Art de New York propose près de 400.000 œuvres d’art en libre accès et téléchargement. Le célèbre musée, qui abrite des tableaux de Van Gogh à Degas en passant par de l’art aztèque, grec ou chinois, a mis en place une licence OASC. Bien entendu, toutes les œuvres ne sont pas disponibles. En ouvrant ainsi ses données, le MET rejoint d’autres musées qui ont déjà adopté cette démarche: le National Gallery of Art, à Washington, le Getty, à Los Angeles, ou encore le Walters Art Museum, à Baltimore, signale le site Open Culture. «Je suis ravi que la technologie numérique puisse ouvrir les portes de ce trésor d’images qu’est notre collection encyclopédique.»

Le modèle des jolies mitaines que tout le monde aime Ces mitaines au tricot se tricotent en rond, ont un joli motif dentelle... Taille petite (moyenne, large) Echantillon : 23 mailles/10 cm aiguilles 3,5 (circulaire ou double-pointes) (Etant donné que le modèle se tricote en rond, hormis la partie ourlet en dents de chat et le motif en dentelle, il est tricoté en jersey endroit, donc en rond on ne tricote que des mailles à l'endroit)Fil : Pure Alpaca Motif dentelle tricotée en rond rang 6 : (1 jeté, 2 m ens) tout le rang Monter 42 (48, 54) mailles avec des aiguilles double-pointes (ou circulaires). Tricoter 4 rangs à l'endroit. Le rang suivant sera le rang qui permettra de plier pour faire l'ourlet... Rang suivant de diminution : (4 m end, 2 m ens) tout le rang. Il reste 35 (40, 45) mailles. Faire les 11 rangs du motif dentelle, puis continuer en jersey endroit jusqu'à obtenir 14 cm à partir des dents de chat (ou plus selon la longueur désirée) Rang 2 et 3 : tricoter à l'endroit Rang 4 : tricoter jusqu'au 1er anneau, glisser l'anneau, Tags:

Mes Idées récup' Pour le reportage, on m'a demandé de faire un petit bricolage facile et rapide à faire, que je vous présente ici. Voici, la patère Parisienne, réalisée avec de vieilles poignées de fenêtres et un morceau de palette. J'ai montré qu'on pouvait enlever la peinture des poignées en les faisant bouillir simplement avec de l'eau, dans une vieille casserole. Attention, le résultat n'est pas toujours satisfaisant ! Cela dépend de la composition de la peinture et également du nombre de couches. La poignée du bas est un succès, celle de droite est correcte et celle du haut n'a rien voulu savoir. Cette technique évite (parfois) de faire usage de décapant chimique, cependant le décapage thermique est recommandé. Une autre astuce pour peindre les têtes de vis. Je recommande d'utiliser une peinture en bombe. C'est rapide, la peinture s'applique partout, il n'y a pas de sur-couche qui pourrait masquer certains détails de moulures. J'adore le bois brut. @Bientôt

Les gratuivores bouleversent les codes France / / Europe Après le boom des vides greniers et l’explosion des sites de vente d’objets d’occasion, une nouvelle tendance est en train de se profiler : le gratuivore ! Comme pour l’occasion, cette tendance n’est pas vraiment innovante et le terme existerait depuis 2006 ! Mais une poignée d’initiés commence à lancer une véritable mode. ©Siren-Com La consommation collaborative fait de plus en plus d’adeptes et elle est loin d’être promue uniquement par des écologistes en plein mouvement de décroissance ou par des bobos en mal d’activités. En cette période de rentrée beaucoup de personnes de mon entourage sont en quête de nouveaux mobiliers et produits d’électroménager, certains me faisaient des retours très surpris des tarifs proposés sur les sites d’occasions : quasiment équivalent au prix du neuf ! Pas étonnant donc de voir l’engouement pour la gratuité et le profit laisser place à la générosité. Toute une éducation ! Céline Laporte

13 utilisations du concombre qui vont vous surprendre Mais savez-vous qu’ils peuvent éviter la gueule de bois, ou nettoyer l’évier de la cuisine? Voici une liste de trucs et astuces que vous pouvez faire avec des concombres que vous ne pouvez pas manquer! 1. un seul concombre contient de la vitamine B1, vitamine B2, vitamine B3, vitamine B5,vitamine B6, acide folique, vitamine C, calcium, fer, magnésium, phosphore, potassium et zinc. 2 Le concombre donne de l’énergie Sensation de fatigue l’après-midi? 3 Le concombre coupe la sensation de faim Vous serez rassasié en mangeant le concombre, utilisé depuis des siècles comme coupe-faim. 4 Le concombre rafraîchit votre haleine Appuyez une fine rondelle de concombre entre la langue et le palais, ça va tuer les bactéries dans votre bouche qui sont la cause de la mauvaise haleine. 5 Le concombre élimine le stress 6 Le concombre aide à éviter la gueule de bois Vous voulez éviter une gueule de bois ou un mal de tête terrible? 7 Le concombre est un super nettoyant « ECOLOGIQUE »

Le Walipini? Oui, c’est une serre souterraine pour cultiver toute l’année! Terre – Social : Pour quelques 250 euros, il est possible de construire une serre souterraine qui vous permettra de jardiner toute l’année durant, malgré et au-delà du froid. Cette serre s’appelle un Walipini ou Walipinas. Le Walipini est une alternative abordable et efficace aux serres en verre. Tout d’abord développée il y a 20 ans pour les régions montagneuses froides d’Amérique du Sud, cette méthode permet aux agriculteurs du monde entier de maintenir un potager productif toute l’année, même lorsque le climat est froid. © Benson Institute Si vous voulez en construire un, je vous propose un guide gratuit (PDF)>>> Clic Clic Clic En outre, j’ai trouvé un site très très très complet qui devraient répondre à beaucoup de questions. Il est en anglais mais vous pouvez traduire le texte en passant par Google Chrome ou par Firefox… Clic droit et traduction de la page. Voici une réalisation formidable en Bolivie. 6 novembre 2013

Creuser une serre souterraine Consommer Durable Le 20/03/13 par Vincent.F Le potager est-il condamné à la torpeur en hiver si l’on veut fonctionner de manière écologique ? Pas si l’on prépare une serre souterraine, construction pouvant être rudimentaire mais efficace. Voici une initiation à ce procédé tout autant intéressant qu’amusant ! Trou rectangulaire de 1,80 à 2,50m de profondeur, recouvert de bâches en plastique par exemple. La détermination de la position de la serre est primordiale pour bénéficier des rayons du soleil à un angle optimal de 90° au solstice d’hiver. La serre souterraine de type "walipini", directement creusée à deux mètres sous terre. Stocker un maximum de chaleur en hiver A ces profondeurs, l’inertie thermique permet de conserver une température relativement constante, entre 10 et 15°, évitant de soumettre les plants à des écarts de températures trop importants. Le sol sera constitué d’une couche « primaire » de graviers, recouverte de la couche de terre servant à la plantation. L’imperméabilité de la serre

Enseigner avec la bd [janvier 2013] L’histoire des liens entre bande dessinée et éducation s’est exprimée successivement dans les termes d’une hostilité farouche, d’une intégration résignée, puis d’une récupération intéressée et d’une légitimation affichée. Petit historique de l’intégration scolaire de la bande dessinée Le rejet des éducateurs catholiques et laïcs s’exprime dès 1907, lorsque la bande dessinée devient presque exclusivement un matériau des publications de presse destinées à la jeunesse. Leur argumentaire, où se mêlent considérations esthétiques, psychologiques et morales, ne variera guère jusqu’aux années 1960 : le médium est stigmatisé pour la pauvreté du texte, pour la teneur grotesque et caricaturale des illustrations, pour son contenu pulsionnel et violent, sans oublier le pouvoir séducteur de l’image (qui encouragerait l’affabulation) et même l’inintelligibilité même de la narration verbo-iconique. Une intégration en trompe-l’œil Enseigner l’Histoire avec la bande dessinée Nicolas Rouvière

Proust en BD (3) Depuis 2002, la bande dessinée est officiellement reconnue par le Ministère de l’Éducation nationale, puisqu’elle constitue l’une des six catégories qui structurent la « liste de référence des œuvres de littérature de jeunesse pour le cycle 3 » et que des albums assez nombreux figurent parmi les ouvrages dont la lecture est recommandée. Malheureusement, et sauf exception, l’école ne considère pas la bande dessinée pour elle-même, dans son historicité, dans le déploiement de ses thèmes, dans sa singularité esthétique et langagière. Elle l’appréhende comme un auxiliaire pédagogique. Astérix ou Papyrus, Bourgeon (Les Compagnons du crépuscule) ou Pesch (Bec-en-fer), Spiegelman (Maus) ou Croci (Auschwitz), c’est tout un. Il faut avouer que, pour un critique spécialisé s’acharnant depuis tant d’années à distinguer entre les bandes dessinées qui méritent le nom d’œuvres et les autres, cette indifférence à l’art a quelque chose de profondément déprimant.

Proust en BD (1) Stéphane Heuet s’est longtemps couché sans songer à la bande dessinée. Sur le tard, il s’est rêvé dessinateur. Pour se lancer, il fallait un sujet. Le hasard faisant bien les choses, il découvre alors A la recherche du temps perdu et décide, illico, que, du temps, il en a assez perdu, pour son compte. Ni une ni deux, à trente-cinq ans, voilà notre homme qui, sans aucune expérience du média (il n’a jamais publié une seule page de bande dessinée où que ce soit), décide qu’il va mettre Proust en cases. Il n’est nullement intimidé à l’idée de s’attaquer à l’écrivain le plus prestigieux, le plus révéré de la littérature française. De Rabelais à Hugo et Flaubert, plus d’un géant de nos Lettres avait déjà été adapté en bandes dessinées. Pour sa première course, il est rare qu’un alpiniste débutant choisisse d’escalader l’Everest. Le premier volume a paru en 1998. © éditions Delcourt (à suivre)

Proust en BD (2) « Proust en B.D. » ? Que dirait Baudelaire ? Tel est le titre d’une étude sémiotique de Marie-Hélène Gobin, parue en 2006 chez Connaissances et Savoirs. C’est l’un des textes les plus confus et les plus verbeux qu’il m’ait été donné de lire, comprenant nombre de phrases qui ne veulent strictement rien dire. Ouvrons les albums. © éd. Il y a aussi que la grande image du dîner ne sert absolument à rien. Le défaut le plus désastreux de l’adaptation d’Heuet est l’inconsistance de ses personnages, dont les silhouettes réussissent à être à la fois raides (par l’attitude) et molles (par le trait), dont les physionomies sont rendues d’un trait enfantin, gauche, hésitant, et dont le jeu est faux. Je pourrais ici multiplier les analyses de planches et montrer méthodiquement combien cette « œuvre » est désolante. « Proust est tellement réputé compliqué que j’ai choisi la forme la plus simple possible », explique Heuet. C’est en cela qu’il y a, selon moi, une « affaire Heuet ». (à suivre)

Related: