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Un Français sur deux a basculé dans l'économie collaborative

Un Français sur deux a basculé dans l'économie collaborative
source : montrealgazette.com L’engouement des Français pour les échanges de services entre particuliers ne se dément pas : la moitié d'entre nous a participé au moins une fois à un service d’entraide entre particuliers, selon un sondage Harris Interactive réalisé du 15 au 22 octobre 2014 auprès d’un échantillon de 1 000 Français de plus 15 ans. L'étude précise que 36 % des sondés a déjà fait appel aux services d’autres particuliers, à titre onéreux ou non, et que 29 % ont déjà proposé les leurs. Cet engouement s’explique notamment par « une pénurie d’offre » dans l'économie traditionnelle et par « des prix compétitifs pour les réseaux d’entraide ». L’économie collaborative serait-elle en passe de supplanter les circuits marchands classiques ? Les outils d’intermédiation, que ce soit des associations à l’image du réseau des AMAPs, ou des sites internet comme Leboncoin ou Blablacar participent aujourd'hui à combler ces lacunes.

Infographie : les français sont-ils entrés dans la société collaborative ? TNS Sofres a présenté le 31 mai les résultats d'un sondage sur l'économie collaborative et les Français. Résultat : une popularité croissante mais des pratiques inégalement répandues. Quels sont les usages concrets de la société collaborative, et qu’en attendent les Français ? C’est l’objet d’un récent sondage TNS Sofres organisé en partenariat avec Monabanq auprès de 1005 personnes. Un champ d’étude très large, que les chercheurs ont divisé en cinq secteurs : la consommation collaborative, les circuits courts, le partage de savoirs, le financement participatif et la démocratie participative. Autant de domaines assez nouveaux mais qui passionnent néanmoins les sondés selon les résultats de l’enquête. 80 % d’entre eux se disent intéressés par les circuits courts, 76 % par le partage de savoirs, 75 % par la consommation collaborative, 62 % par la démocratie participative et 60 % par le crowdfunding. La démocratie participative délaissée Le partage avant l’intérêt financier

Le couchsurfing : qu’est-ce que c’est ? : Le couchsurfing : Dossier pratique de voyage Imaginez un immense réseau social de plus d’un million de personnes prêtes à s’offrir l’hospitalité les unes les autres pour une nuit ou plus. La démocratisation du transport aérien a bouleversé notre conception du voyage, le couchsurfing change encore la donne. Il permet de se loger gratuitement dans le monde entier et, surtout, offre la possibilité de rencontrer les habitants des pays visités, de partager pour quelques jours leur quotidien et de bénéficier de leurs conseils. Le couchsurfing n’a pas de frontières : le principal site d’échange d’hospitalité, couchsurfing.com, compte 7 millions de membres dans 247 pays ! Un peu d’histoire L’échange d’hospitalité n’a pas attendu Internet pour voir le jour. L’un des premiers sites, Hospitality Club, a été inventé par un jeune Allemand en 2000. À son retour, il eut l’idée de lancer le projet CouchSurfing. Changer le monde grâce au couchsurfing crédits photos: www.dreamstime.com

Des voyageurs du monde entier s'invitent chez Valérie - 14/10/2014 Voyager à petit prix en dormant chez l’habitant, tel est le principe du couchsurfing, prisé par de nombreux adeptes. Et c’est aussi possible à Châtellerault ! Couchsurfing pourrait se traduire par « passer d'un canapé à l'autre ». Plus précisément, le couchsurfing désigne ce nouveau mode d'hébergement qui a séduit de nombreux globe-trotters. Le principe est simple : par le biais d'un unique site Internet, on peut trouver un canapé, ou mieux, un lit où dormir, gratuitement, chez l'habitant, dans presque n'importe quelle ville du monde entier. Aussi pour un repas, une soirée, des activités… « C'est surtout un état d'esprit, précise Valérie Picq, l'une des quelques Châtelleraudais inscrits sur le site, qui offre les lits de ses enfants la semaine, quand ils sont en internat.

Les 4 types de consommateurs collaboratifs La consommation collaborative gagne régulièrement du terrain et commence à sérieusement intéresser les cabinets d’études et les hommes de marketing. Un de ces cabinet a examiné nos comportements et en a déduit qu’il existe 4 types de personnes qui pratiquent la consommation collaborative. Les 4 types de consommation collaborative Le cabinet Iligo, spécialisé dans l’étude du comportement du consommateur, a mené une étude consacrée à la consommation collaborative et s’est amusé à créer une typologie des consommateurs collaboratifs. 4 types de profils de consommateurs collaboratifs sont identifiés et baptisés de noms très à la consonance très « globish ». Ces quatre profils sont identifiés selon 2 axes : 1 – un axe de contexte d’utilisation (individuel ou collectif). 2 – un axe de finalité de la pratique (usage des biens ou possession des biens) * Les « Co-Owners » sont plutôt des femmes ayant entre 25 et 34 ans. * Les « Co-Users » : ce sont surtout des hommes ayant de 18 à 24 ans.

Economie collaborative Ecrit par B.Bathelot, mis à jour le 29 avril 2016. Glossaires : Economie digitale | Environnement digital L’économie collaborative regroupe tous les acteurs de la consommation collaborative et désigne donc les différents acteurs permettant aux consommateurs d’échanger ou partager des biens et services. La notion d’économie collaborative sous entend à la base la présence d’une volonté d’échange et de collaboration. Dans la pratique, on assiste souvent à une marchandisation des différents secteurs de l’économie collaborative. L’économie collaborative s’est considérablement développée avec l’apparition d’intermédiaires et de plateformes spécialisés présents sur Internet. Pour plus de détails et d’illustrations sur l’économie collaborative et ses limites, voir économie du partage et consommation collaborative.

Les 7 clés de l’économie collaborative Le philosophe français Bernard Stiegler l’appelle l’économie contributive. Le prospectiviste américain Jeremy Rifkin l’a successivement désignée comme étant l’âge de l’accès, la troisième révolution industrielle et plus récemment la société du coût marginal zéro. L’essayiste et consultante australienne Rachel Botsman défend depuis cinq ans le terme de consommation collaborative et depuis peu celui, plus global, d’économie collaborative, rejoignant en cela le chercheur belge Michel Bauwens, qui parle aussi parfois d’une économie de partage de la connaissance. Tous ces concepts fleurissent d’autant plus facilement que les habitants des pays occidentaux se sentent en situation de crise, en particulier depuis 2008 et l’explosion des désormais fameuses subprimes… L'économie collaborative se manifeste en effet d'abord comme une nouvelle «nouvelle économie», se développant via des communautés connectées. 1. La dimension participative est majeure au sein de cette nouvelle économie. 2. 3. 4. 5.

Trois jeunes créent une plateforme de troc, leur « remède anti-crise » Le contexte préoccupant – économique, écologique, politique – dans lequel nous vivons actuellement nous invite à repenser notre façon de consommer et d’entrer en relation avec les autres. Moins d’achats inutiles, de gaspillage, de déchets, de pollution, plus d’entraide, de solidarité, d’alternatives…les solutions abondent aujourd’hui. Le troc a toujours existé mais, dans le contexte actuel, il revient sur le devant de la scène comme un acte militant qui véhicule des valeurs fortes. C’est dans ce cadre que des projets tel que MyTroc a vu le jour. C’est dans cet esprit que MyTroc a été mis sur pied par trois jeunes amis vivant en France. Ce qui les a surtout conduit à concrétiser ce projet, c’est le fait qu’il puisse s’adresser à tout le monde ! Sur Mytroc, l’échange de bon procédé se fait à partir de noisettes… Pas des vraies, on vous rassure (quoi que, ça se troc aussi) !

Un livre pour une société collaborative Société collaborative, la fin des hiérarchies, paraît aux éditions Rue de l’Echiquier ce 21 mai. Dans ce livre écrit à 18 mains (Flore Berlingen, Marc-Arthur Gauthey, Arthur De Grave, Diana Filippova, Asmaa Guedira, Antonin Léonard, Edwin Mootoosamy, Benjamin Tincq et Maëva Tordo), nous proposons notre vision de la société collaborative. Alors, pourquoi un livre ? Néo-marxistes ou ultra-libéraux, gauchistes ou proto-droitisants, anarchistes ou étatistes, bisounours ou opportunistes : lorsqu’il s’agit de définir l’ancrage intellectuel de OuiShare, nous sommes habitués aux épithètes les plus grotesques. Alors que les débats sur les effets positifs ou pervers de l’économie collaborative sont plus passionnés que jamais, nous avons ressenti le besoin de clarifier notre vision du travail, de l’éducation, des organisations, de l’action sociale et environnementale et de la production. Notre vision de la société collaborative est, au contraire, inclusive.

Les jeux associatifs/ collaboratifs/ coopératifs – Intelligences Multiples De nombreux jeux sont identifiés dans le monde du jeux comme coopératifs. Pourtant, ce terme est souvent mal utilisé. Les nuances entre jeux associatifs, collaboratifs et coopératifs sont réelles. Jeux associatifs Le jeu associatif est un moment passé ensemble, sans objectif individuel ou commun. Voici quelques jeux : parachute collaboratif – crayon collaboratif – cube collaboratif. Certains jeux peuvent se jouer de manières associatives : Timeline – Concept – Imagine - Blackstories Jeux collaboratifs Les jeux collaboratifs sont des jeux où tous les joueurs ont une mission à remplir. Très présent dans les classes des enseignements maternelles et primaires, les jeux collaboratifs disparaissent par après. Voici quelques exemples de jeux de société pour l’enseignement : la glace et le ciel, Hannabi, Mystérium, Magic Maze, The Game, Aya, Unlock, Fantômes piégés, le petit verger Jeux coopératifs Dans un jeu coopératif, les joueurs trouvent un bénéfice réciproque à aider et à se faire aider.

Economie collaborative: une croissance 10 fois plus rapide que le PIB de l’Europe d’ici 2025 D'ici 2025, 570 milliards d'euros de transactions devraient être gérées par des plateformes collaboratives européennes (20 fois plus qu'à l'heure actuelle). L'économie collaborative a généré 3,6 milliards d'euros de revenus en Europe en 2015, ce chiffre devrait atteindre les 83 milliards d'euros dans 10 ans. Le transport a généré 1,7 milliard d'euros de revenus en 2015, soit plus de la moitié des revenus du secteur. Avec près de 3,6 milliards d'euros de revenus générés en Europe en 2015, soit près du double comparé à 2014, les plateformes de l'économie collaborative n'en finissent pas de croître. A la demande de la Commission Européenne, le cabinet de conseil a dressé un bilan de la taille et de l'impact de l'économie collaborative dans l'Union Européenne, en se concentrant sur cinq grands secteurs: la finance, l'hébergement, le transport, les services à la personne et les services aux entreprises. Les volumes de transaction multipliés par 20 Le transport, secteur le plus lucratif

Quelles sont les clés du succès d’Uber, Blablacar et Airbnb ? Blablacar met en relation des conducteurs non professionnels et des voyageurs pour des trajets de moyenne à longue distance. Uber met en relation des conducteurs (professionnels ou non) avec des voyageurs, majoritairement sur des trajets de courte distance. La fréquentation du premier atteint les 10 millions de voyageurs en quelques années. Le second réalise déjà 150 000 courses par jour dans 45 pays. La croissance de ces services est exponentielle. Comment expliquer ce succès ? Ce type de modèles s'est fortement répandu avec les nouvelles technologies. Mais le modèle économique ne suffit pas. La présentation ci-dessus détaille les principales clés du succès de ces entreprises en 4 points principaux : 1/ Changer la manière de produire le service 2/ Changer la manière de consommer le service 3/ Valider et contrôler le service 4/ Capacité à passer à l’échelle Ces critères sont cumulatifs.

Quatre jeunes Bretons inventent le cobaturage par Sophie Joussellin Quatre jeunes Bretons de Ploemeur, âgés de 25 ans et habitués aux aller-retour entre le continent et les îles bretonnes, sont à l'origine de cette initiative. Depuis qu'ils sont tout jeunes, ils connaissent les contraintes des horaires des bateaux. Même principe que le covoiturage Le principe est simple : permettre à des passagers potentiels de partager les bateaux des plaisanciers pour une traversée. Le service est réservé dans un premier temps à la Bretagne, par exemple pour se rendre de Lorient à Groix, de Quiberon à Belle-Île, ou de Concarneau aux Glénants. Le site recueille les propositions des plaisanciers et les demandes des voyageurs. Lorient-Groix pour 10 euros AR Comme dans le covoiturage, une participation aux frais est prévue : un aller-retour Lorient - Groix pourrait coûter 10 euros au lieu de 30. Le site est aujourd'hui en construction.

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