Ardi Photographies Cherbourg. Chauffage à l'eau de mer: les pompes à chaleur installées - Cherbourg-Octeville - L’association de gestion de l’ensemble immobilier de la place Divette (constitué à 75 % de logements HLM gérés par Presqu’Ile Habitat) a décidé de produire l’eau chaude sanitaire et de chauffage à partir de l’eau de mer. Celle-ci sera pompée dans le bassin du Commerce tout proche. Hier, la chaufferie de la place Divette a reçu les deux pompes à chaleur qui assureront cette production. Ces compresseurs particuliers ont été fabriqués dans l’usine York de Carquefou, à côté de Nantes. Parallèlement, la prise d’eau a été installée dans le bassin du Commerce. La mise en service est prévue en juin prochain. 1 308 logements sont concernés. L’opération est entièrement autofinancée.
Fondation Henri Cartier-Bresson - Paris Artotheque de Caen - artotheque KnowWare éditions La Normandie au cinéma Films situés dans Le Calvados (voir aussi : Caen au cinéma) Dans Les 400 coups (François Truffaut, 1959), les séquences au centre d'observation des mineurs ont été tournées au Moulin d'Andé, une propriété près de Saint-Pierre-du-Vauvray. La séquence finale sur la plage a été tournée à Villers-sur-Mer. La plage de Villers-sur-Mer dans Les 400 coups (François Truffaut, 1959) Jean-Louis Duroc et Anne Gauthier, Un homme et une femme (Claude Lelouch, 1966), trente ans tous les deux, passionnés par un métier qui dévore leur temps, se rencontrent par hasard à Deauville, où ils viennent de rendre visite à leurs enfants respectifs en pension... Dans La horse (Pierre Granier-Deferre, 1970), Jean Gabin joue le rôle d’un riche fermier du bocage normand, victime d’un trafic de drogue impliquant son petit-fils. Gabin tiré du bocage normand pour le tribunal de Caen dans La horse (Pierre Granier-Deferre, 1970) Le bocage normand dans Bovines (Emmanuel Gras, 2011) Films situés dans La Manche
Hydrolienne : DCNS compte créer 1.000 emplois à Cherbourg à l'horizon 2018 Pour le PDG de DCNS, Patrick Boissier, la partie pour prendre le contrôle du fabricant irlandais d'hydroliennes OpenHydro, n'était pas gagnée d'avance. Il a dû surmonter les réserves de Thales et de l'Agence des participations de l'Etat (APE), ses deux actionnaires très mitigés pour cette opération, au contraire de la direction générale de l'armement (DGA), selon nos informations. Un comble ! L'APE estimait la prise de risque élevée devant un marché encore balbutiant tandis que Thales aurait souhaité que DCNS soit accompagné d'un partenaire pour la prise de contrôle d'OpenHydro afin de partager les risques. Le groupe naval a néanmoins reçu vendredi le feu vert de son conseil d'administration, pour prendre le contrôle début 2013, vraisemblablement en février, de la start-up irlandaise.
Le Château d'Eau - Toulouse Le Bec en l'Air éditions