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Journées du Bonheur au Travail

Journées du Bonheur au Travail
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Travailler sans hiérarchie ? | Psychologies.com © Jupiter Ils sont quelques pionniers à expérimenter la fin du système pyramidal. Pour lutter contre la souffrance en entreprise, des patrons ont fait le pari de laisser plus d’autonomie à leurs équipes et de « libérer » leur créativité. Et ça marche ! Sophie Péters La plupart n’ont pas de « parking réservé à la direction » ni de bureaux plus spacieux pour les cadres. « Ici, on les écoute au lieu de leur dire quoi faire. Pas de performance sans bonheur Le leader désigné par le groupe est un ouvrier expérimenté. Ni titre ni organigramme En 2006, Carlos Verkaeren, P-DG des biscuiteries Poult, arrête pendant deux jours l’usine de Montauban et réunit les huit cents salariés pour travailler sur leur vision de l’entreprise. Chez Poult, ni titres ni organigramme, mais des communautés d’expertise et un comité de pilotage pour étudier les rémunérations et les recrutements.

Microsoft Word - Fabrique Spinoza - Le Flow au travail.doc - Fabrique-Spinoza-Le-Flow-au-travail.pdf Témoignages de collaborateurs de Sogilis, une entreprise libérée | Le blog de l'entreprise collaborative Je n’ai rien contre les Poult, ChronoFlex, et Favi. Au contraire leurs témoignages et exposition médiatique permettent de montrer la voie aux entreprises désireuses de se libérer et d’adopter un management plus approprié au contexte de travail actuel. Mais à force de parler toujours des mêmes, on pourrait se demander si elles ne sont pas l’exception qui confirme la règle… et bien non, la France compte de nombreuses entreprises en pleine croissance et qui ont fait le choix du collaboratif ! D’ailleurs, cet article parlera de l’une d’entre elles, moins visible mais tout autant libérée : Sogilis, qui développe des logiciels sur-mesure, utiles et durables. Et comme la parole aussi est libérée, c’est à 2 collaborateurs que j’ai demandé de me raconter ce que ça changeait concrètement de travailler dans une entreprise libérée versus une entreprise classique. Brève description de l’organisation de Sogilis La devise de Sogilis est simple et assez proche de celle de Gore : J'aime :

Définition des 12 déterminants du bien-être au travail - Fabrique Spinoza Faisant le constat de la diversité des outils et des trames d’analyse du bien-être au travail, la Fabrique Spinoza a souhaité effectuer une revue de littérature, ainsi qu’une revue des outils de mesure pour élaborer un cadre d’analyse global, visant l’exhaustivité et ne se réclamant pas d’un courant de pensée particulier (ni psychologie positive, ni sociologie des organisations, etc.) sur le sujet du bien-être au travail. Celui-ci comprend 12 dimensions qui sont présentées dans le schéma ci-dessous, puis explicitées dans la note de synthèse qui suit. Lire la note de synthèse définissant les 12 dimensions du bien-être au travail. Retrouver le rapport Le bien-être au travail, finalité et vecteur de performance socio-économique Retrouver le Guide sur les outils de mesure du bien-être au travail Retrouver le Wiki-BET, notre Wiki du Bien-Être au Travail, recueil de pratiques de BET

Poult, la biscuiterie 3.0 La biscuiterie 3.0 ? Une entreprise qui produit des biscuits connectés ? Tous les employés sont connectés aux réseaux sociaux et portent des Google Glass ? En fait non… encore que, pourquoi pas! Mais ça n’est pas là le sujet de cet article.Poult est une entreprise différente, qui effectivement produit des biscuits … de manière différente. Cette entreprise industrielle a mis l’innovation, et notamment l’innovation managériale, au cœur de sa stratégie. Mais revenons un instant en arrière. Nous avons donc rencontré une partie de l’équipe Innovation de Poult en juillet 2014. Mais ça veut dire quoi, l’innovation ou l’innovation managériale pour une biscuiterie ? L’entreprise a fait évoluer son organisation pour donner plus de responsabilités et d’autonomie à ses salariés. L’attribution des ressources dans l’entreprise est également collaborative : 95% des investissements sont validés par un collectif de 15 personnes représentatives de toutes les communautés de l’entreprise.

AISECO, ENTREPRISE AUTO-MANAGEE PAR SES SALARIES | Le Chemin de la Confiance AISECO étonne à plus d’un titre. Créée en 2007 par Laurent Guérin, la société conseille et accompagne les entreprises dans la diversification de leurs activités. Pour ce faire, la PME de L’Herbergement, en Vendée, a développé un moteur de recherche spécifique dont les algorithmes ont séduit le géant californien Google qui a signé un contrat pour les utiliser dans ses produits pour les entreprises (Google Search Appliance) et pour ses recherches Big Data (Big Query). Plus surprenant encore, le dirigeant d’AISECO qui déclare « détester le management », mais aime faire sauter les tabous, a confié le management de l’entreprise à ses salariés. Bienvenue chez AISECO, entreprise inclassable et auto-managée. AISECO emploie 36 salariés : chercheurs, concepteurs-designers et chefs de projet industriels. « J’ai abandonné le management de l’entreprise à mes salariés » « Je ne me suis jamais senti l’âme d’un manager. « J’ai commis l’erreur de réfléchir à la place de mes collaborateurs. J'aime :

Organisation : la faillite du système py... Et si on laissait les employés choisir leurs managers L'enthousiaste Henry Stewart (@happyhenry, blog) semble avoir toujours un large sourire accroché au visage. Il est le PDG de Happy, une entreprise de formation en informatique londonienne qui dispense des cours à quelque 20 000 personnes chaque année. Cette PME est souvent citée comme l'une des meilleures entreprises britanniques en ce qui concerne le bien-être au travail (elle a plusieurs fois remporté le concours Best Place to work). Est-ce que s'appeler Happy suffit à rendre son personnel et ses clients heureux ? Est-ce à dire que pour être heureux au travail la méthode Coué suffirait ? Le bonheur au travail ? "Si les gens travaillent mieux quand ils se sentent bien, alors quel devrait être l'objectif principal du management ?" Image : Henry Stewart bondissant sur la scène de Lift en demandant son avis au public. "Qu'est-ce qui devrait changer dans les organisations si elles se préoccupaient avant tout du bonheur au travail ? La recette du bonheur : défi, confiance et autonomie

LE PLAISIR AU TRAVAIL : de la gestion du savoir-faire au management de l’aimer-faire Après l’amélioration des conditions de travail, la prévention des risques psychosociaux et le développement du bonheur au travail, voici venu le temps du plaisir au travail. Mais peut-on manager le plaisir ? Qui est responsable et comment s’y prend-on ? Si je vous dis plaisir, à quoi pensez-vous ? Dans notre pays, la plupart des personnes associent le mot plaisir à une bonne bouffe, aux rapports charnels, aux loisirs mais très rarement au travail. Tout le monde s’accorde à dire qu’un salarié qui éprouve du plaisir dans son travail, sera non seulement plus épanoui mais aussi plus performant. En quoi bonheur et plaisir au travail sont-ils différents ? Bonheur et plaisir n’ont (vraiment) rien à voir Si la notion de plaisir au travail est de plus en plus évoquée, elle reste assez floue et se confond souvent avec celle de satisfaction, de motivation et plus particulièrement de bonheur (ou de bien-être). Bien que tous deux soient des ressentis agréables, ils sont vraiment très différents. A. B.

"Salariés libérés, performance assurée?" échanges avec Isaac Getz et Mehdi Berrada “Salarié-e-s libéré-e-s, performance assurée ? A la rencontre d’entreprises à contre courant qui font une confiance totale à leurs collaborateurs et leurs collaboratrices » : c’était le sujet qui interpellait les près de 200 participants à la soirée «Vivre l’économie autrement» du Centre du Hautmont près de Lille début décembre. Dans un monde qui ne sait plus très bien où il va, devant les incertitudes qui raccourcissent nos horizons, quand le pragmatisme semble être devenu synonyme de « baisse la tête, avance et tais-toi » ce sujet peut apparaître un rien provocant. Parler d’entreprises libérées, de bonheur pour être performant, d’autonomie, de liberté, de responsabilité ou de pouvoir confié à ceux qui font, c’est effectivement parler de pratiques managériales à contre-courant. Trois intervenants qui ont étudié, accompagné ou mis en place ce type d’organisation nous ont partagé leurs visions et expériences. Quel est l’engagement des salariés aujourd’hui ? 1. Poult, un biscuitier innovant

Cinq conseils pour en finir avec le management à l'ancienne Management Le 16/09/2014 La transformation du travail à l’ère de la mondialisation numérique s’accélère. Des forces majeures sous-tendent cette mutation du travail, comme les rapides avancées que connaît le domaine des technologies de la communication, la mondialisation, les changements démographiques en matière de main-d’œuvre et le besoin urgent de lutter contre le changement climatique. Le fossé se creuse pourtant entre les dirigeants qui se tournent vers la flexibilité offerte par le travail du futur et les entreprises qui peinent à se défaire des pratiques de travail rigides de l’ère industrielle, caractérisées par un temps et un lieu de travail fixes et un style de management fondé sur le contrôle (ou, tout du moins, l’illusion du contrôle). Pour réussir la transition vers un modèle de travail du XXIe siècle, il faut avant tout reconnaître la nécessité de modifier la culture organisationnelle, les styles d’encadrement et les attitudes en matière de management. 1. 2. 3. 4. 5.

Dites « plus de hiérarchie » et tout le monde s’en fait une idée fausse | Blog IGI Note : Cet article de blog a été traduit par iGi Partners et est mis à votre disposition gratuitement, afin que, si vous ne parlez pas anglais ou tout simplement préférez lire le français, vous puissiez tout de même profiter du contenu de qualité qu’offre cet article, rédigé par Frédéric Laloux (www.reinventingorganizations.com), auteur du livre Reinventing Organizations. Zappos.com a récemment généré une petite excitation lorsqu’il a annoncé qu’il allait se débarrasser de la bonne vieille approche hiérarchique de gestion d’entreprise, celle que tout le monde connait, pour adopter quelque chose appelée « Holacracy ». Même si vous n’avez pas entendu parler de ce changement, voici la raison de son importance. Qu’est-ce que l’Holacracy ? Les organisations d’aujourd’hui ont un système d’exploitation construit autour d’une pyramide hiérarchique qui désappointe de plus en plus de gens. Tout cela vous semble confus ? Dites “plus de hiérarchie” et tout le monde s’en fait une idée fausse. 1. 2.

Le vrai « mal français » : un système de management autocratique et non performant Par Nicolas Nilsen Vendredi encore – à propos de l’affaire SFR-Numericable – Arnaud Montebourg a donné l’image la plus détestable de ce qui tue la France : un mode de gestion étatique non seulement autocratique et autoritaire, mais également menaçant (si on n’agit pas comme le gouvernement l’a décidé, c’est le chantage au contrôle fiscal). Le Français croit malheureusement qu’il va suffire d’une élection politique pour que tous les problèmes soient magiquement réglés. Mais le mal est beaucoup plus profond et de nature plus « anthropologique »… La France est bloquée à cause d’un mode de décision « top-down », et d’un système de management autoritaire qui n’est pas seulement démotivant mais totalement inefficace dans le monde moderne où les décisions doivent être de plus en plus décentralisées. Je vous laisse découvrir les autres graphiques – et lire les légendes et explications – ici. Un effort « anthropologique » pour comprendre notre société bloquée —Sur le web. Vous aimez cet article ?

Mouvement pour l’Organisation et le Management du 21ème siècle

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