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An uprising in Tunisia

An uprising in Tunisia

Trente-trois membres de la famille Ben Ali auraient été arrêtés Le Monde.fr avec AFP et Reuters | • Mis à jour le Des manifestations ont encore rassemblé, mercredi 19 janvier, des milliers de Tunisiens dans la capitale et en province, notamment à Sidi Bouzid, Regueb, Kasserine, et Thala. Ces localités, dans le centre du pays, ont été au cœur de la "Révolution du jasmin", qui en un mois d'émeutes populaires a balayé le régime autocratique du président Ben Ali. Mercredi soir, une trentaine de manifestants bravaient le couvre-feu soir en dépit des injonctions de policiers et militaires affichant une retenue jamais vue. Mais le gouvernement d'union nationale tunisien est toujours dans la tourmente. Le FDTL, qui faisait partie de l'opposition légale au régime du président déchu Zine El Abidine Ben Ali, avait déjà annoncé, mardi, qu'il suspendait sa participation au gouvernement de Mohammed Ghannouchi, déjà affaibli par le départ de trois ministres issus de la centrale syndicale UGTT. Mercredi, M.

Révolution tunisienne de 2011 Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Révolution tunisienne Foule de manifestants le 14 janvier 2011. Sit-in à la place de la Kasbah à Tunis, le 28 janvier 2011. Les mois de mars et d'avril voient la définition progressive du processus de transition, sous la houlette de la Haute instance pour la réalisation des objectifs de la révolution, sans que toutefois ce « véritable conflit de classes » moderne ne voit ses causes résolues[12]. Environ 338 personnes ont été tuées et 2174 ont été blessées durant la révolution[13]. Contexte[modifier | modifier le code] Inégalités sociales et régionales[modifier | modifier le code] L'explosion de colère a pour cadre de profondes inégalités et disparités régionales de développement qui nourrissent un sentiment d'injustice et d'humiliation qu'éprouve le sous-prolétariat des régions de l’intérieur du pays, discriminé sur les plans économique, social et politique. Corruption et népotisme[modifier | modifier le code]

La Banque centrale de Tunisie prend le contrôle de la banque Zitouna La banque Zitouna, lancée en mai par un gendre de Zine El Abidine Ben Ali, Sakhr El Materi est placée sous le contrôle de la Banque centrale tunisienne. Photo: DrFO.Jr.Tn , a précisé dans un communiqué la banque, détenue à hauteur de 51 % par Mohamed Sakhr El Materi, à l’encontre duquel une information judiciaire aurait été ouverte, d’après le site internet Businessnews . Pour rappel, l’agrément pour la première institution financière islamique du pays avait été donné en janvier 2009 alors même que la plupart des institutions internationales et des agences de notation recommandait d’opérer une concentration dans le secteur bancaire. Interrogé par à l’époque, Mohamed Damak, analyste crédit pour Standard & Poor’s, notait que la Dans son communiqué, la banque a indiqué qu'elle faisait . La banque Zitouna, dont le capital initial s'élève à $ 50 millions, réunit autour de son groupe « Princesse El Materai Holding », dont le DG est également M. Le communiqué précise que [...]

Global Voices · Dossier Tunisie Image de Khaled Nciri. Table des matières Le 17 décembre 2010, un jeune chômeur tunisien de 26 ans, Mohamed Bouazizi, s'est immolé par le feu à Sidi Bouzid. Son geste a provoqué un soulèvement populaire en Tunisie contre le président Zine El Abidine Ben Ali. Le 14 janvier 2011, après 23 ans au pouvoir, celui-ci s'est enfui avec sa famille pour se réfugier en Arabie Saoudite. Les affrontements entre manifestants et forces de l'ordre ont duré presque un mois. En dépit des promesses de Ben Ali, les troubles ont continué durant la nuit et le jour suivant. Le 14 janvier, Ben Ali s'est enfui, et le premier ministre Mohammed Ghannouchi est devenu président par intérim citant l'article 56 de la constitution tunisienne pour ce faire, ce qui a été qualifié par certains d'anticonstitutionnel. Le 23 octobre 2011 ont lieu les élections de l'Assemblée constituante, qui écrira une nouvelle constitution et a constitué un nouveau gouvernement. Dossier Tunisie Retour au sommaire Janvier 2012 Décembre 2011

Tunisie: nouvelles manifestations contre le gouvernement, libération de détenus politiques - international - toute l'actualité internationale © © AFP/FRED DUFOUR - Radio France Ces nouvelles manifestations interviennent avant même la première réunion, ce jeudi, du cabinet d'union nationale, formé lundi mais dont quatre membres appartenant à l'opposition se sont déjà dissociés. _ Dans le même temps, l'Arabie saoudite où l'ancien dictateur a trouvé refuge lui a interdit toute activité politique liée à la situation dans son pays, dont il a été chassé le 14 janvier après 23 ans de règne sans partage. Les violences ont fait plus de 100 morts depuis la mi-décembre, selon l'ONU. _ A Tunis, des unités anti-émeutes de la police ont étroitement encadré une manifestation de quelque 2.000 personnes, dont des islamistes, dans le centre ville, mais ne sont pas intervenues pour les disperser. Aucun incident ne s'est produit à Tunis.

Rapport de la commission chargée de l'application de l'art.15 du décret loi portant élection de la constituante TUNIS (TAP) - La commission chargée de l'application de l'article 15 du décret loi portant élection de l'Assemblée Nationale Constituante a publié, mardi son rapport sur l'établissement de la liste des personnes interdites de présenter leur candidature à cette Assemblée. L'article 15 du décret-loi du 10 mai 2011 interdit de présenter leur candidature à l'Assemblé constituante les personnes ayant assumé des responsabilités au sein du gouvernement du président déchu à l'exception de ceux n'ayant pas appartenu au RCD ainsi que les personnes qui ont occupé des postes de responsabilité dans les structures du RCD sous le régime du président déchu. Cette mesure concerne également les personnes qui ont appelé le président déchu Zine El Abidine Ben Ali à renouveler sa candidature à l'élection présidentielle de 2014.

En Tunisie, le règne sans partage d'Al Jazeera - Un producteur derrière la console, au siège d'Al Jazeera à Doha, Qatar, le 30 novembre 2005. REUTERS/Caren Firouz - «Quand ce président autoproclamé d’un demi-jour [Mohamed Gannouchi] s’est mis à implorer Al Jazeera pour qu’elle intervienne auprès du peuple tunisien et qu’elle rétablisse le calme, j’ai compris qu’il n’y avait plus de place pour les clowns de mon acabit...», déplore Slim Boukhdhir, un plumitif opposant historique des Trabelsi, la famille de la femme de l’ex-président Ben Ali. S'informer, oui mais où? Depuis la chute de Ben Ali, les téléspectateurs n’ont d’yeux que pour Al Jazeera. publicité «Depuis la fuite de Ben Ali, l’activité des Facebookiens a chuté dangereusement. L’empire Al Jazeera C’est le temps d’Al Jazeera. De tout cela, du bruit et de la fureur, Al Jazeera fait table rase. Un porte-drapeau de l'islamisme Certains lui reprochent son discours religieux et un parti pris islamiste. En prime, des intervenants islamistes au téléphone. Taoufik Ben Brik Devenez fan sur

Cession de 13% de la Banque de Tunisie Part1 La vente par l’Etat tunisien des biens mal acquis des ex « familles régnantes » est un dossier plus sensible et complexe qu’il n’y paraît. La récente cession de 13% de la Banque de Tunisie à un fonds d’investissement luxembourgeois, plutôt opaque et polémique selon nombre d’analystes, révèle cette complexité. Ayant piloté cette opération, le ministère des Finances est aujourd’hui sur la sellette. Plutôt que de nous adonner à des spéculations sur des spéculateurs, nous avons tenté de collecter un maximum d’informations à la source, dans la cellule spécialisée chargée de ce dossier précis qui a accepté de nous accueillir mercredi. Interview et enquête sur les modalités et les circonstances d’une privatisation controversée. Sur place, nous apprenons d’abord que le processus d’évaluation de la banque (l’un des aspects critiqués pour son caractère expéditif) fut confié à la Banque d’Affaires de Tunisie (BAT), sise à Mutuelle ville. Pourquoi cette banque et pas une autre ? Quel cadre légal ?

Ben Ali, le règne de la répression Les Tunisiens le surnommaient «Benavie». Finalement, il a duré vingt-trois ans, sans dépasser le record de Bourguiba (trente et un ans au pouvoir), qu’il avait déposé le 7 novembre 1987 à la faveur d’un «coup d’Etat médical». On le croyait indéboulonnable, impitoyable, sans états d’âme. Il s’est dégonflé comme une baudruche face à la colère de sa rue. De lui, les Tunisiens ne savaient presque rien. Son allocution de jeudi soir, prononcée en arabe dialectal, a été de ce point de vue une rareté : les Tunisiens l’ont découvert grincheux, revanchard, se plaignant d’être conspué dans la rue alors qu’il avait consacré sa vie au service du pays. Porte-flingue de Bourguiba Né en 1936 dans une famille modeste de la ville côtière de Hammam Sousse, Zine al-Abidine Ben Ali est le quatrième enfant d’une famille de onze. En 1978, confronté à des troubles sociaux, Bourguiba fait rappeler Ben Ali pour réprimer le mouvement syndical. Les émeutes du pain de fin 1983, début 1984 entraînent son rappel.

Conjoncture : La fuite de Ben Ali et le retour des hommes d'affaires La chute de Ben Ali et de sa femme Leïla Trabelsi pourrait donner un grand bol d'air à l'économie tunisienne. Corruption et spoliation étaient monnaie courante. Les clans de l'ex-président Ben Ali et de sa femme Leïla Trabelsi ont tenu d'une main de fer jusqu'au bout l'économie de la Tunisie. Leur fuite devrait donner une plus grande liberté aux chefs d'entreprise qui craignaient comme la peste «la Famille», comme ils surnommaient le pouvoir, en référence aux films évoquant la mafia. «La famille élargie du président est fréquemment présentée comme le carrefour de la corruption en Tunisie», écrit un diplomate américain dans un mémo publié par WikiLeaks et Le Monde. La voracité des Trabelsi «Ces personnes étaient présentes dans beaucoup de secteurs, ils ponctionnaient les profits des entreprises et ont réduit par conséquent la capacité de ces dernières à investir», note Jean-Raphaël Chaponnière, économiste à l'Agence française pour le développement (AFD). Impôts arbitraires

Traversées - De l’oxygène vert pour la Tunisie Abdelkader Zitouni, ingénieur et ancien syndicaliste, est coordinateur national d’un nouveau cru politique, baptisé "Tunisie verte". Nourri d’une sève citoyenne, écologique et militante, ce nouveau parti entend apporter de l’oxygène à la société tunisienne. Le pari est de taille en Tunisie où l’opposition politique est conduite très souvent à l’asphyxie. Interview de Abdelkader et Moustapha Zitouni (format wmv - 8Mo) Moteur ! Compléments : voir le portrait de Lotfi Benaïssa - fondateur de la revue Outrouhat / Tunisie voir le portrait de Adel Azzabi - association des habitants d’El Mourouj 2 / Tunisie L'onde de choc de la révolution tunisienne du Maroc au Yémen De l'Egypte au Yémen, une vague d'espoir sans lendemain ? Peu d'espoir en Egypte, par Maud L. Ici, au Caire, je n'ai pas eu l'occasion de ressentir la vague d'espoir tunisienne auprès de mes amis Egyptiens coptes. Peu semblent véritablement au courant des événements. Ça suffit ! Selon le gouvernement égyptien, l'Egyptien qui s'est immolé est "un déséquilibré qui s'est fait soigner dans un asile d'aliénés". Ici, en Europe, on est traité en tant qu'être humain. Sentiment djiboutien, par Ilyas C'est vrai qu'à Djibouti, tout le monde en parle comme dans la plupart des pays mais, ici, l'humeur est à la perplexité. Développement accéléré en Oman, par Nicolas L. J'habite à Oman depuis presque deux ans et ce pays est en plein développement. La jeunesse syrienne est admirative mais reste méfiante par Julie R. J'habite en Syrie, un pays dans lequel il reste encore très difficile voire tabou de critiquer le gouvernement tant il exerce un contrôle presque omniprésent sur ses citoyens. appel temoignage

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