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Pseudo-science

Pseudo-science
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le terme de pseudo-science se situe en opposition avec celui de Science. Les disciplines et connaissances au caractère scientifique reconnu sont du domaine de la science. Alors que toutes les autres disciplines et connaissances se réclamant d'un caractère scientifique sans en relever (non reconnues), sont de la catégorie "pseudo-science" Certains auteurs utilisent le terme de para-science (« auprès de, à côté de la science » ), perçu comme moins péjoratif, et exprimant l'idée de proximité ou de contiguïté avec la science. Les disciplines ou connaissances dites para-scientifiques sont, au mieux, trop peu étayées pour être considérées comme parties intégrantes de la science. Enfin, la pseudo-science n'est pas la nescience (du latin nescire « ne pas savoir » et ne scientia, « non science » qui désigne « ce qui est en dehors de toute science ». Sémantique[modifier | modifier le code] « Pseudo-science » est un terme qui véhicule : Traduction :

Paradigme Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Universum, C. Flammarion, gravure sur bois, Paris 1888 Étymologie[modifier | modifier le code] Sur les autres projets Wikimedia : paradigme, sur le Wiktionnaire Utilisations générales du mot paradigme[modifier | modifier le code] Le mot paradigme s'emploie fréquemment dans le sens de Weltanschauung (vision du monde). L'autre fonction du paradigme est utile pour un observateur tiers (observant celui qui utilise ce paradigme). Le paradigme comme représentation commune[modifier | modifier le code] Le paradigme au sens collectif est un système de représentations largement accepté dans un domaine particulier. Paradigme épistémologique et sociologique[modifier | modifier le code] Au XXe siècle, le mot paradigme était employé comme terme épistémologique pour désigner un modèle de pensée dans des disciplines scientifiques. D'autres termes comme concept ou système de pensée sont très proches de celui de paradigme. En entreprise[modifier | modifier le code]

Noosphère Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Ne doit pas être confondu avec NooSFere. La noosphère, selon la pensée de Vladimir Vernadsky[1] et Pierre Teilhard de Chardin, désigne la « sphère de la pensée humaine[2] ». Le mot est dérivé des mots grecs νοῦς (noüs, « l'esprit ») et σφαῖρα (sphaira, « sphère»), par analogie lexicale avec « atmosphère » et « biosphère[3] ». Une autre possibilité est la première utilisation du terme par Édouard Le Roy qui était, avec Teilhard, auditeur des conférences de Vladimir Vernadsky à la Sorbonne. Dans la théorie originelle de Vernadsky, la noosphère est la troisième d'une succession de phases de développement de la Terre, après la géosphère (matière inanimée) et la biosphère (la vie biologique). Le concept[modifier | modifier le code] Notions préliminaires[modifier | modifier le code] Développement[modifier | modifier le code] Le mot, développé par Pierre Teilhard de Chardin dans Le Phénomène humain[7], a été inventé par Vladimir Vernadski[8].

Rasoir d'Hanlon Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le rasoir d'Hanlon s'énonce : « Ne jamais attribuer à la malveillance ce que la stupidité suffit à expliquer. » De par sa forme et son contenu, le rasoir d'Hanlon est souvent présenté comme corollaire à la loi de Finagle et est associé à la loi de Murphy. Histoire[modifier | modifier le code] L'origine exacte de cette loi est controversée. Il semblerait que William James ait écrit un tel aphorisme. La référence à Hanlon viendrait d'un ouvrage traitant des lois de Murphy, d'un certain Robert J. Notes et références[modifier | modifier le code] Voir aussi[modifier | modifier le code] Articles connexes[modifier | modifier le code] Rasoir d'Ockham Liens externes[modifier | modifier le code]

Que sait-on vraiment de la réalité !? Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Que sait-on vraiment de la réalité !? (What the Bleep Do We Know!?) est un docu-fiction sorti en novembre 2007. Synopsis[modifier | modifier le code] Filmé à Portland, dans l'Oregon, Que sait-on vraiment de la réalité !? Les idées traitées sont les suivantes : l'univers se construit non pas par la matière, mais par la pensée (ou les idées) ;ce qui fut longtemps considéré comme « un espace vide » est loin d'être vide (cf. Controverse[modifier | modifier le code] Selon Physics Today, sous couvert d'arguments scientifiques, Que sait-on vraiment de la réalité !? John Gorenfeld rapporte que les trois coréalisateurs du film sont des membres actifs de l'École de Sagesse de Ramtha (Ramtha's School of Enlightenment), un culte fondé autour des révélations que Judy Zebra Knight prétend recevoir d'une entité lémurienne nommée Ramtha[2]. Fiche technique[modifier | modifier le code] Production et scénario[modifier | modifier le code]

Scepticisme scientifique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le scepticisme scientifique, nommé aussi scepticisme rationnel ou scepticisme contemporain, est une pratique et une position épistémologique qui remet en doute la véracité de certaines allégations par manque de preuves empiriques ou de reproductibilité. Cette démarche cherche à promouvoir la science, la pensée critique et à soumettre à la méthode expérimentale (lorsque cela est possible) les affirmations d'existence de phénomènes paranormaux (notamment ceux étudiés par l'ufologie, la parapsychologie et la cryptozoologie) ou surnaturels (réincarnation, résurrection). Les sceptiques critiquent aussi vivement les théories du complot, les médecines non conventionnelles et, de manière plus générale, ce que la majeure partie de la communauté scientifique considère comme des pseudo-sciences. Historique[modifier | modifier le code] En 1991, Michael Shermer cofonde la Skeptics Society et le Skeptic magazine. Description[modifier | modifier le code]

Zététique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour la définition de la zététique comme partie des mathématiques, voir Algèbre nouvelle. La zététique est définie comme « l'art du doute » par Henri Broch[1]. La zététique se réclame aussi du scepticisme scientifique, et plus généralement de la démarche de doute cartésien qu'elle décrit comme nécessaire en science comme en philosophie. Origine du mot[modifier | modifier le code] « Zététique » vient de l’adjectif grec ζητητικός, zētētikós « qui aime chercher », « qui recherche », lequel est issu du verbe ζητῶ, « chercher ». Elle a pour objectif de contribuer à la formation, chez chaque individu, d'une capacité d'appropriation critique du savoir humain. La zététique recommande de penser avec ordre et méthode, en tenant à distance dogmes, préjugés et idées reçues. Principes[modifier | modifier le code] L'astrologie, la parapsychologie, les médecines non conventionnelles, les pseudo-sciences et autres phénomènes paranormaux ont pignon sur rue.

Rasoir d'Ockham Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le rasoir d'Ockham ou rasoir d'Occam est un principe de raisonnement philosophique entrant dans les concepts de rationalisme et de nominalisme. Son nom vient du philosophe franciscain Guillaume d'Ockham (XIVe siècle), bien qu'il fût connu avant lui. On le trouve également appelé principe de simplicité, principe d'économie ou principe de parcimonie (en latin lex parsimoniae). Il peut se formuler comme suit : Pluralitas non est ponenda sine necessitate« Les multiples ne doivent pas être utilisés sans nécessité. » L'énoncé Entia non sunt multiplicanda praeter necessitatem, littéralement « Les entités ne doivent pas être multipliées par delà ce qui est nécessaire », est une variante souvent attribuée à Guillaume d'Ockham sans cependant qu'il y en ait trace dans ses écrits. Une formulation plus moderne est que « les hypothèses suffisantes les plus simples sont les plus vraisemblables ». Historique[modifier | modifier le code]

Robert Charroux Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Charroux. Robert Charroux Biographie[modifier | modifier le code] Il refuse la routine et prend part à diverses activités : secondé par son épouse Yvette[9], qui fut une collaboratrice de première importance pour lui[10], il fonde en 1956 le Club International des Chercheurs de Trésors, dont il assure la présidence pendant plus de dix ans. Il se présente dans les années soixante et soixante-dix comme champion d'athlétisme (400 m), plongeur sous-marin dès 1930, chercheur de trésors, globe-trotter, journaliste, archéologue, producteur à la RTF du Club de l'Insolite. En 1973, au Pérou, un hasard providentiel lui permet d'éprouver le moment rare ressenti lors d'une découverte archéologique en voyant pour la première fois les Pierres d'Ica[22]. Il meurt de fatigue en 1978, au retour de sa dernière mission de recherche, missions qu'il finançait lui-même avec passion[24]. Son œuvre[modifier | modifier le code]

Hacker vaillant rien d'impossible Christopher Soghoian, un expert en ordinateurs, a le sens du scandale. Ses actions coups de poing aux Etats-Unis visent à lutter contre la surveillance généralisée de la population par la police et l'Etat. LE MONDE CULTURE ET IDEES | • Mis à jour le | Par Yves Eudes Pour ne pas laisser de traces avec sa carte bancaire, Christopher Soghoian règle presque tous ses achats en liquide. Pour éviter que sa vie privée soit étalée sur Internet, il n'a pas de compte Facebook. L'Américain Christopher Soghoian, 30 ans, militant infatigable de la protection de la vie privée sur les réseaux électroniques, mène une vie hors norme, parfois à la lisière de la légalité. Né à San Francisco de père américain et de mère franco-britannique, il passe son enfance à Londres, puis rentre aux Etats-Unis à l'adolescence et se plonge dans Internet. Sa première action d'éclat date de 2006, alors qu'il est étudiant. Le combat contre la surveillance de masse a aussi besoin de francs-tireurs comme Soghoian.

Culte du cargo Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Une croix de cérémonie de John Frum sur l'île de Tanna, Nouvelles Hébrides (maintenant Vanuatu), 1967. Naissance dans les îles d'Océanie[modifier | modifier le code] Débarquement de provisions et de matériel sur l'île de Guadalcanal, 7 août 1942. Peter Lawrence a écrit, en 1974, dans son livre intitulé Le Culte du cargo (p. 297-298, éditions Fayard) : « Les indigènes ne pouvaient pas imaginer le système économique qui se cachait derrière la routine bureaucratique et les étalages des magasins, rien ne laissait croire que les Blancs fabriquaient eux-mêmes leurs marchandises. Le mouvement, le mythe, religion ou terme culte du cargo s’est forgé à travers les théories anthropologiques et études sur les civilisations du Pacifique. En Océanie, le culte du cargo est maintenant un mouvement, à la fois de transformations sociales et de résistance, face aux pratiques et aux valeurs des pays industrialisés[4]. Éléments du culte[modifier | modifier le code]

Histoire des sciences Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'histoire des sciences est l’étude de l'évolution de la connaissance scientifique. L'histoire des sciences n'est pas la chronique d'une série de découvertes scientifiques. C'est l'histoire de l'évolution d'une pensée, mais aussi d'institutions qui offrent à cette pensée les moyens de se déployer, et de traditions qui viennent l'enrichir. L'histoire des sciences n'est pas l'histoire des techniques. Les unes et les autres sont bien sûr liées, mais ne peuvent être identifiées les unes avec les autres. Préhistoire[modifier | modifier le code] Historiquement, la technique précède la science. Le développement de l'agriculture et de l'élevage ne sont pas non plus sans rapport avec l'émergence de certaines protosciences, le calcul et l'astronomie en particulier[réf. nécessaire]. Antiquité[modifier | modifier le code] L'homme pense à son environnement depuis la nuit des temps, comme en témoignent les fresques préhistoriques. Aristote

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