Jacques Cœur
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Jacques Cœur Buste de Jacques Cœur (situé sur la façade du palais Jacques-Cœur à Bourges et commandé par l'intéressé) Compléments Biographie[modifier | modifier le code] Sa jeunesse[modifier | modifier le code] Fausse[2] maison natale de Jacques Cœur (carte postale vers 1910). Pierre Cœur, son père (° Saint-Pourçain-sur-Sioule, † à Bourges en 1435), est maître fourreur[7] et le « marchand pelletier le plus riche de son temps », suivant d’anciens auteurs[8]. Sculpture représentant Macée de Léodepart, femme de Jacques Cœur, sur la façade de l’hôtel Jacques Cœur. L’enfance de Jacques Cœur ne paraît pas avoir été studieuse, au dire d'un contemporain, qui le représente comme étant sans éducation. Jacques Cœur a 15 ans lorsque se déroule une des plus cuisantes défaites de l’armée française à la bataille d’Azincourt, une partie importante de l’aristocratie est décimée et une part essentielle de la France passe sous la coupe des Anglais. Roi de France,
Philippe IV de France
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Devenu roi à l'âge de dix-sept ans, à la mort de son père en , Philippe le Bel est considéré comme un monarque important de l'histoire de France par les historiens. Sous son règne, le royaume de France atteignit l'apogée de sa puissance médiévale. Il était, avec plus de treize millions d'habitants, l'État le plus peuplé de la Chrétienté ; il connaît une grande prospérité économique ; le pouvoir royal accomplit de nombreux progrès, si bien qu'on voit dans Philippe IV, entouré de ses « légistes », le premier souverain « moderne » d'un État puissant et centralisé. Et pourtant, d'autres constatations contredisent cette vision de Philippe le Bel. Plusieurs procès et scandales, privés ou politiques, entourent la figure de Philippe IV d'une aura douteuse. Enfin, Philippe IV reste un roi énigmatique, et les opinions à son sujet sont partagées. Biographie[modifier | modifier le code] Personnalité[modifier | modifier le code]
Alexandre Saint-Yves d'Alveydre
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Saint-Yves d'Alveydre en 1892. Joseph Alexandre Saint-Yves, né le à Paris et mort le à Pau, fut un érudit, poète et écrivain français. Biographie[modifier | modifier le code] Joseph Alexandre Saint-Yves naquît dans une famille catholique parisienne, l'aîné de trois fils dont le père Guillaume-Alexandre Saint-Yves était Médecin des Hôpitaux (Internat promotion 1833), aliéniste Médecin-Chef de la Maison de Charenton. Élève insubordonné, Saint-Yves fit dans sa jeunesse un court séjour à La Mettray, colonie pénitentiaire agricole pour jeunes détenus fondée par Frédéric Auguste de Metz, près de Tours. M. de Metz fit une forte impression sur Saint-Yves qui lui voua une grande affection durant toute sa vie, reconnaissant l'importance de l'influence chrétienne de M. de Metz sur le cheminement de sa pensée. Ses rébellions lui valurent d'être contraint par son père à s'engager dans l'armée plusieurs années avant sa majorité.
L'archéomètre, clef de toutes les religions et de toutes les sciences de l'antiquité, réforme synthétique de tous les arts contemporains... / Saint-Yves d'Alveydre
Aller au contenu
Ordre du Temple
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cet article traite des Templiers d'un point de vue strictement historique. Pour plus de détails sur les légendes et les théories aujourd'hui non validées sur l'ordre du Temple voir l'article Légendes au sujet des Templiers L'ordre du Temple était un ordre religieux et militaire issu de la chevalerie chrétienne du Moyen Âge, dont les membres étaient appelés les Templiers. Naissance de l'ordre du Temple[modifier | modifier le code] Le contexte religieux et politico-militaire[modifier | modifier le code] Au XIe et XIIe siècle, le renouveau du monachisme chrétien vit la fondation de nombreux ordres religieux avec notamment les convers qui privilégiaient le travail manuel, et la rénovation de la vie canoniale qui adopta la Règle de saint Augustin, les chanoines s'engageant à la différence des moines dans des activités hospitalières (Ordre de Saint-Jean de Jérusalem, Ordre de Saint-Lazare de Jérusalem) ou dans la vie paroissiale.
Synarchie
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le terme synarchie désigne deux réalités qui semblent différentes : D'une part, dans son sens courant, une société politique secrète, réelle ou supposée, évoquée en France dans les années 1930-1940, qui serait liée à l'émergence du mouvement technocratique ;D'autre part, dans un sens moins connu, une forme théorique de gouvernement proposée par le Français Joseph Alexandre Saint-Yves d'Alveydre (1842-1909), qui écrivit à la fin du XIXe siècle plusieurs livres exposant la théorie de la Synarchie. Il avait l'espoir de voir la Synarchie se réaliser comme une organisation européenne capable d'empêcher les guerres du XXe siècle qu’il pressentait et comme organisation intérieure de chaque nation européenne, de la France en particulier. Aucun de ces espoirs ne se réalisa, mais certains estiment que ses théories conservent une validité[1]. Étymologie[modifier | modifier le code] La Synarchie selon Saint-Yves d'Alveydre[modifier | modifier le code]
Raoul Husson
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Raoul Husson Raoul Husson, 1901-1967, est un orthophoniste et essayiste français, spécialiste de la phonation. Biographie[modifier | modifier le code] Canular Bourbaki[modifier | modifier le code] Le choix de ce nom par Husson connaît quatre explications possibles : Complot synarchiste[modifier | modifier le code] En 1946 il publie un apport à la théorie du complot synarchique sous le pseudonyme de Geoffroy de Charnay (un templier): Synarchie, panorama de 25 années d’activités occultes[3]. Publications[modifier | modifier le code] La voix chantée: commande cérébrale des cordes vocales, 1960Étude théorique et expérimentale de la sirène glottique et ..., 1965Physiologie de la phonation, Masson Et Cie - 1962Mécanismes cérébraux du langage oral et structure des langues, 1968Réflexions sur le chant: M. sous le pseudonyme de Geoffroy de Charnay Synarchie, panorama de 25 années d’activités occultes, 1946. Bibliographie[modifier | modifier le code]