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VA TE CALMER DANS TA CHAMBRE

VA TE CALMER DANS TA CHAMBRE
Face à un comportement où vous vous sentez impuissant, les réactions de stress sont activées (sécrétion d'adrénaline, et réaction d'attaque, de fuite ou d'inhibition). Excédé, vous pouvez avoir des réactions automatiques et envoyer votre enfant se calmer dans sa chambre. Voyons un peu ce qui se passe. DU COTE DES PARENTSUne situation ou un comportement ne vous convient pas, nous avons donc vu que vos réactions au stress s'activent. Qu'est ce qui vous insupporte, vous dérange? "Vivre avec un tout-petit, à un âge où "être raisonnable" n'existe pas encore, peut être éprouvant et demande une patience renouvelée quotidiennement. DU COTE DE VOTRE ENFANTVotre enfant n'est pas difficile, c'est son comportement qui est difficile. Le manque d'informationParfois nous ne prenons pas le temps de donner de l'information à nos enfants, ils peuvent se trouver face à des situations délicates. JE FAIS QUOI? Il est important de rester en lien avec votre enfant. Related:  violence educative

Introduction à l'âgisme : le cas des enfants | L'Écho des Sorcières Introduction à l’oppression âgiste : première partie, les enfants Cet article est à destination des personnes non-sensibilisées à l’âgisme. Il s’agit avant tout de résumer la réalité des injustices systémiques dont sont victimes les enfants, cet article ne se veut donc ni un texte d’essai, ni une réflexion profonde sur le sujet. Voici les points principaux que l’on peut soulever. - Les violences physiques Les enfants sont les seuls individus qu’il est légal de frapper. - La silenciation des sentiments (peur, douleur, souffrance…) Lorsqu’un enfant a peur, au choix, de choses comme aller à l’école, aller dormir, aller chez certaines personnes, voir certaines personnes, la solution des adultes est bien souvent de balayer tout ça d’un revers de la main et de dire quelque chose comme « mais allons, ne t’en fais pas, ça va aller, il n’y a aucun danger ». - La différenciation des adultes Il s’agit simplement de considérer l’ensemble des millions d’enfants comme un bloc uniforme. - La ridiculisation

Si ça se vend, c’est que c’est bien ! | Contemporary Baby Parfois, on a comme l’impression que tout le monde se ligue contre nous. Votre voisine, votre tante, vos amies, la boulangère s’y mettent… « et alors, tu l’as mise dans le youpala déjà ? » « tu l’as passée face à la route ? Et vous voilà à tenter de leur expliquer que non, vous ne comptez pas mettre votre bébé dans un trotteur mais pratiquer la motricité libre, que le dos à la route en Suède c’est jusqu’à 4 ans au moins et bien plus sûr, que si vous portez encore en écharpe (mais là avec votre mal de dos vous avez exceptionnellement pris la poussette), et que la position face au monde n’est pas adaptée avec un moyen de portage… Et tout le monde vous regarde avec des yeux ébahis, un peu effarés, et ayant la vague impression qu’en refusant leurs conseils vous critiquez leurs choix éducatifs à eux qu’ils vont donc s’empresser de défendre. Ben non. Je n’ai pas d’astuce ou de réponse toute faite. J'aime : J'aime chargement…

Je m’énerve trop vite, je crie sur mes enfants … « Je m’énerve trop vite sur mes enfants. Au moindre problème je leur crie dessus, parfois j’ai envie de les taper et quelques fois la fessée ou la claque part. Je sais que ce n’est pas la solution mais je ne sais pas comment faire autrement. » Cette demande est fréquente parmi les parents que j’accompagne. C’est la lecture d’un article écrit par un autre coach qui m’a donné envie de rédiger ce billet (article que vous trouverez ici). Et puis des tas d’autres lectures, conférences, … où j’entends sans cesse ce même discours : Les parents ne doivent pas crier sur leurs enfants, faute de quoi ils les traumatisent. Et ce discours m’énerve au plus haut point ! J’en avais d’ailleurs déjà parlé avec les articles « Quand y en a marre, y en a marre ! Pour éduquer ses enfants faut-il être parfait ? C’est même le fondement d’une partie de ma pratique professionnelle avec l’animation d’ateliers « Parler pour que les enfants écoutent, écouter pour qu’ils parlent ». Je suis juste très très énervée !!!

Les enfants, premiers de corvée LE MONDE | • Mis à jour le | Par Guillemette Faure Confier les tâches ménagères aux petits serait bénéfique pour leur réussite future. Pourtant, les parents les en dispensent souvent. « Ah non, il ne faut pas les appeler comme ça ! Tailleur de crayons, rangeur d’étagères, responsable de la porte ou encore compteur de ceux qui mangent à la cantine. Meilleures relations avec leurs proches Des chercheurs se sont déjà intéressés aux bénéfices des « corvées », comme il ne faut donc surtout pas les appeler si vous souhaitez obtenir la participation des enfants. Cette conclusion n’étonne pas l’anthropologue Carolina Izquierdo, auteure d’une étude (2009) comparant la façon dont les enfants sont chargés des tâches domestiques dans trois cultures : les familles de la classe moyenne en Californie, les Matsigenka – un peuple installé dans la partie amazonienne du Pérou –, et des habitants des îles Samoa. Sortir la poubelle, mettre la table Ah, ces Américains… pourrait-on se dire.

OVEO 3 bonnes raisons de ne plus envoyer les enfants au coin Le coin (time-out en anglais) est sans doute la méthode disciplinaire la plus utilisée par les parents et est souvent recommandée de la bouche même des pédiatres et des experts en développement de l’enfant. Mais le coin est-il bon pour nos enfants ? Est-il efficace ? La réponse est négative si l’on s’en réfère aux dernières recherches en neurosciences. Des études sur la neuroplasticité (la capacité du cerveau à s’adapter) ont démontré que des expériences répétées changent la structure physique du cerveau. Discipline est plutôt synonyme d’enseignement que de punition. 1. Dans la plupart des cas, la première conséquence de la mise au coin est l’isolement. L’isolement est souvent vécu comme un rejet, particulièrement chez les plus jeunes. Par ailleurs, le coin communique l’idée aux enfants qu’ils ne sont dignes d’intérêt que quand ils sont tranquilles et sages, que les parents n’acceptent d’être là AVEC eux et POUR eux que dans ces conditions. 2. 3. Sur le même thème 3 avril 2015

Fessée : 10 raisons de l'interdire, ainsi que toutes les autres punitions corporelles Fini la fessée ? Laurence Rossignol, secrétaire d'État à la famille, aimerait "une prise de conscience collective". (SIPA). Alors que nous allons fêter le 20 novembre 2014, le 25e anniversaire de l’adoption par les Nations-unies de la Convention internationale des droits de l’enfant, comment la France – pays des droits de l’homme – peut-elle encore transgresser les droits fondamentaux des enfants, en n’interdisant toujours pas au sein de la famille le recours à des méthodes éducatives violentes physiquement et psychologiquement, basées sur les châtiments corporels, la peur, l’humiliation et la privation ? Des recommandations répétées Comment tolère-t-on que les enfants, qui sont des personnes vulnérables, fragiles et dépendantes, soient les seuls en France dont on n’ait pas à respecter totalement l’intégrité physique et psychique, et qu’on puisse taper, gifler, pincer, fesser, humilier sous couvert d’éducation et de droit de correction ? Un "droit de correction" qui n'a pas de sens 1. 3.

Les douces violences pratiquées à la maison et en crèche. Les douces violences du quotidien, ce ne sont pas les fessées, les coups, la maltraitance ou tout châtiment corporel. Ce sont des actes brefs et fréquents, que l’adulte pense anodin, et qui mettent l’enfant dans une insécurité affective. Cela peut-être des paroles blessantes, des gestes maladroits, des jugements, des a priori. En aucun cas, le parent ou l’adulte ne souhaite nuire à l’enfant, et pourtant celui-ci se prend ces remarques de plein fouet, ce qui le déconnecte de l’adulte aimant et l’isole affectivement. C’est presque inconsciemment que l’adulte pratique ces douces violences. » Douces violences « est un oxymore. Amis lecteurs, je vais partager avec vous une liste non exhaustive de ces douces violences. Ces douces violences sont en grande partie tirée du site internet du Syndicat national professionnel d’assistants maternels et familiaux. J’ai simplement adapté certaines douces violences liées au métier d’assistant maternel au quotidien d’une famille ordinaire. Lors des repas

Violence éducative ordinaire : regardons la en face - Parents à parents Photo Yoann Lambert La violence éducative ordinaire, ce sont ces fessées, ces gifles, ces menaces, ces punitions, ces railleries et moqueries que nous avons subies quand nous étions enfant et que nous faisons subir à nos enfants tant que nous n’avons pas conscience de leur impact et tant que nous n’avons pas déconstruit nos conditionnements. Ce sont tous ces traitements infligés « pour notre bien » et qui ne semblent normaux, ordinaires, que parce qu’ils sont subis et transmis de génération en génération. Cet article a été co-écrit avec Olivier Maurel* « Ces effets peuvent paraître invraisemblables et disproportionnés, mais pour les comprendre il suffit de se rappeler que notre organisme est doté de deux systèmes d’autoprotection : le système immunitaire et le stress » Non, ces gestes et ces mots ne sont pas anodins : la preuve (scientifique) Comprendre les effets de la violence éducative ordinaire illustration de l’article : Yoann Lambert ; page de couverture du magazine : Gilles Levrier

Les mots blessants et destructeurs à éviter dans l'éducation des enfants Les méfaits des paroles blessantes, humiliantes ou des étiquettes Les parole blessantes, humiliantes, dévalorisantes ont des répercussions négatives sur les enfants, d’où qu’elles viennent (parents, enseignants, familles, autres enfants…). Les humiliations, le dénigrement, la maltraitance verbale sont des facteurs de perte d’estime de soi, aggravent l’échec scolaire et peuvent même être à l’origine d’actes agressifs, de somatisations, de troubles anxieux ou encore de dépression (source : Pour une enfance heureuse de Catherine Gueguen). Les étiquettes et les généralisations enferment les enfants et empêchent leur potentiel d’éclore. Les enfants s’assimilent à ce qu’ils entendent et finissent par ne plus s’autoriser à sortir de ces étiquettes. Les mots sont donc très puissants : un mot peut complètement détruire ou complètement valoriser, d’où l’importance de bien choisir nos mots au quotidien. Les adjectifs dévalorisants (tu es nul) et prophéties défaitistes (tu n’y arriveras jamais)

Violence éducative ordinaire | Familylab France - Le laboratoire des familles Olivier Maurel, professeur de lettres à la retraite, s’est depuis longtemps intéressé à comprendre les causes de la violence. Inspiré par les ouvrages d’Alice Miller, il a fait de nombreuses recherches sur la violence éducative, son usage à travers le monde, ses conséquences sur l’individu et la société. Il a écrit de nombreux articles et plusieurs ouvrages sur le sujet, notamment : La fessée – Questions sur la violence éducative Oui, la nature humaine est bonne ! – Ou comment la violence éducative ordinaire la pervertit depuis des millénaires La Violence éducative – Un trou noir dans les sciences humaines. Il est fondateur et président de l’Observatoire de la violence éducative ordinaire, association qui a pour objet de sensibiliser sur les méfaits de la pratique de la violence éducative ordinaire, c’est-à-dire des diverses formes de violence utilisées quotidiennement dans les familles, les écoles, les institutions et dans toute la société pour éduquer les enfants.

La douce violence La Maltraitance émotionnelle | OVEO par Catherine Gueguen, membre de l'OVEO, auteure de Pour une enfance heureuse : repenser l'éducation à la lumière des dernières découvertes sur le cerveau (Robert Laffont, 2014) La maltraitance émotionnelle a des conséquences très négatives sur le développement de l’enfant. Qu’entend-on par maltraitance émotionnelle ? La maltraitance émotionnelle est définie comme : tout comportement ou parole qui rabaisse l’enfant, le ridiculise, le critique, le punit, lui procure un sentiment d’humiliation, de honte,tout ce qui lui fait peur ou le terrorise. Maltraiter l’enfant émotionnellement, c’est aussi : ignorer l’enfant ou ne pas répondre à ses besoins d’affection, de soin, de protection,le rejeter,l’isoler, le priver de liberté, ou d’interactions sociales,négliger les soins à lui apporter et ses besoins éducatifs,le laisser assister à des violences conjugales (Hornor, 2012). Les recherches sur les conséquences de la maltraitance émotionnelle sont de plus en plus précises

Alice Miller - Abus Et Maltraitance De L'Enfant

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