background preloader

La Conférence sur l'évaluation écarte la question des notes

La Conférence sur l'évaluation écarte la question des notes
"La question du système de notation est un faux problème". Etienne Klein, président du "jury" constitué pour la Conférence nationale sur l'évaluation, a annoncé que l'idée de supprimer les notes ne ferait pas partie des recommandations du jury. La seconde journée de la Conférence, le 12 décembre, a alterne réalisations d'établissements et interventions d'experts. Une seule question a été sérieusement traitée : celle de la docimologie. Le recommandation du jury pourrait s'arrêter là. La seconde journée de la Conférence nationale sur l'évaluation, le 12 décembre, a vu défiler des représentants d'établissements scolaires de l'école jusqu'au lycée : un collège de Loos-en-Gohelle, une école de Toulouse, l'école Molière d'Arras, le collège de Sancerre, des lycées professionnels de l'académie de Strasbourg. Des projets d'établissements Ainsi à l'école de Toulouse, les évaluations sont préparées avec des exercices d'auto-évaluation de durée variable selon les élèves. Un bilan final fort mince ? Related:  Evaluationsludh2oEVALUATION

Classes sans notes : Bilan mitigé Quel bilan dresser des classes sans notes ? C'est ce qu'a tenté l'académie de Poitiers à travers une enquête officielle auprès des enseignants et des collégiens. L'enquête montre que l'impact de cette révolution pédagogique est moins important que prévu. Du coté des enseignants, " en termes d’apprentissage, 57% pensent que les effets sont négligeables", écrit l'académie. "74% pensent qu’en termes de comportements cette nouvelle modalité d’évaluation a eu des effets positifs : les élèves se montrent plus calmes, moins angoissés, font preuve de plus de civisme et ont une meilleure estime d’eux mêmes. Du coté des élèves, "si la majorité des élèves ne discerne pas de changement (sur l'atmosphère de classe) avec ou sans notes, ceux qui le perçoivent notent une amélioration de tout cela. L'enquête L'enquête du Café dans la même académie

La conduite de réunion L’animateur effectue une tâche complexe en favorisant la progression du groupe vers ses buts. Il doit savoir gérer l’ensemble des processus qui s’établissent dans les différentes étapes de la vie d’un groupe. (important : voir les présupposés liés à la communication dans les groupes) Les styles de conduite de groupe l’animation autoritaire qui décide des buts, des moyens et de la répartition des tâches entre les membres du groupe sans tenir compte de ce qu’ils pourraient penser. Deux fonctions pourraient caractériser l’animateur d’un groupe : fonction de production (accompagnement de la tâche)fonction de régulation (processus du groupe). Il doit réussir la difficile tâche de favoriser la cohésion du groupe, tout en sachant que trop de cohésion inhibe la créativité et l’innovation, et entraîne une certaine uniformisation des idées et propositions. L’animateur augmentera la force de proposition et d’expression du groupe par : L’animateur augmente la force de cohésion d’un groupe par : Qui ?

Les notes, à quoi ça sert ? | euronews, learning world Informer chaque élève de ses progrès est une bonne chose. Dans de nombreux pays, cela passe par l’attribution de notes. Mais s’agit-il de la meilleure méthode ? D’autres approches sont-elles préférables ? Nous faisons le point en Uruguay et au Danemark avant de recueillir le point de vue de deux spécialistes de l‘éducation. Uruguay : quand les notes poussent à travailler Dans les écoles primaires de l’Uruguay, comme dans beaucoup d’autres dans le monde, il est important d’avoir de bons résultats : cela suscite parfois du stress chez les enfants et leurs parents et les professeurs peuvent même ressentir une certaine pression quand il s’agit de noter. Au Danemark, les notes sont interdites pour les moins de 13 ans Aucune note avant l‘âge de 13 ans, c’est le principe qui prévaut au Danemark depuis plusieurs décennies. Noter ou ne pas noter, telle est la question !

Use Twitter #Hashtags to Amplify Your Learning! Today, I don't spend much learning time following people or particular lists on Twitter, but I do spend time following, reflecting and interacting with relevant learning hashtag conversations (streams) taking place around the world. If you are confused about what Twitter hashtags are, you have come to the right place to understand the power and possibilities that these learning conversations can do to amplify your learning! "The # symbol, called a hashtag, is used to mark keywords or topics in a Tweet. For example, #edchat is a well-known and influential hashtag used by many to discuss educational or learning related issues on Twitter. Also, please keep in mind that Twitter hashtags can occur anywhere in the tweet, and that they are not case sensitive, as shown in the example below (#cck11 or #CCK11 = No difference): WHERE DO I FIND JUICY HASHTAGS? If you are looking for (#hashtag) trends, then tools like What the Trend? HOW DO I FOLLOW (SAVE) A HASHTAG?

Evaluation : Spécificités françaises et débat politique Quel degré de surprise dans les décisions ministérielles sur l'évaluation à l'école et au collège rendues publiques le 30 septembre ? Le Café pédagogique en a révélé les grandes lignes le 28 septembre. Mais sans doute convient-il de revenir sur les spécificités de l'évaluation en France. Pour cela, le rapport remis par le Cnesco en décembre 2014, apporte des éclairages intéressants. Ces pistes seront-elles suivies par la ministre ? Noter de 1 à 4 ? L'étude montre la grande variété des modes d'évaluation dans les pays développés. Un mouvement mondial de repli de la liberté pédagogique Mais N Mons a surtout situé le débat sur l'évaluation dans l'évolution globale des systèmes éducatifs. La France peu préparée est au milieu du gué N Mons montre aussi que la France est particulièrement peu préparée à cette évolution. D'où l'idée que la France "est au milieu du gué". Un débat intensément politique François Jarraud Evaluation : Ce que prépare le ministère Evaluation : le DOSSIER L'étude du CNESCO

Canopé Créteil - L'évaluation d'école et ses enjeux Partager cette page Un séminaire sur le thème de l'évaluation des écoles s'est tenu le 23 septembre 2011 au CDDP de Champigny-sur-Marne. Il était destiné à l'ensemble des personnels d'encadrement du Val-de-Marne et, à ce titre, faisait partie intégrante de l'action départementale de formation. William Marois, recteur de l'académie de Créteil, et Pierre Moya, inspecteur d'académie directeur des services départementaux de l'Éducation nationale du Val-de-Marne, ont rappelé en introduction les objectifs de l'évaluation d'école : l'amélioration des résultats des élèves ; une plus grande efficacité de l'équipe pédagogique ; un meilleur pilotage de la formation des professeurs des écoles ; une responsabilité accrue de l'équipe pédagogique ; une meilleure vie à l'école. L'intervention de Philippe Claus en vidéo Tournage et montage par lʼéquipe audiovisuelle du CRDP de Créteil, sous la direction de Jean-Luc Millet.

PPRE - Programme personnalisé de réussite éducative Le programme personnalisé de réussite éducative (PPRE) est un dispositif spécifique d'aide, intensive et de courte durée, à destination d'élèves en difficulté dans l'acquisition des compétences du socle commun. Il nécessite un engagement écrit entre l'élève, sa famille et l'équipe éducative.Le PPRE consiste en un plan coordonné d'actions, conçu pour répondre aux difficultés scolaires rencontrées par un élève et formalisé dans un document qui précise qui précise les objectifs, les modalités pédagogiques, les échéances et les modes d'évaluation. 1. Repérage des élèves Le repérage repose sur les éléments recueillis : à partir de la fiche de liaison cours moyen 2e année (CM2)/6e. Pour l'élève : maîtriser les compétences du socle afin de tirer profit des situations pédagogiques rencontrées en classe ;réduire l'écart entre les compétences acquises et les exigences du socle commun à la fin de chaque cycle ;améliorer l'estime de soi. Pour l'équipe pédagogique et éducative : 7.

JP Antibi : de la "constante macabre" à "l'évaluation par contrat de confiance" André Antibi poursuit ses efforts pour dénoncer les injustices persistantes des évaluations scolaires qui restent avant tout sélectives. Le correspondant du CRAP-Cahiers pédagogiques en Belgique nous propose un écho de son intervention lors d’un colloque sur la réussite scolaire à Bruxelles. Le 21 janvier 2010, nous avons eu le plaisir d’entendre André Antibi, professeur à l’université Paul Sabatier de Toulouse et auteur du livre La constante macabre (éd. Math’aurore, 2003). Comment en sortir ? Ne pas piéger les élèves, accepter la transparence et instaurer un climat de confiance, tels sont les grands principes du système évaluation par contrat de confiance (EPCC) proposé par le conférencier. De nombreuses questions dans le débat Beaucoup d’interrogations ont porté sur la compatibilité du système EPCC avec une approche par compétences inscrite dans les programmes officiels belges. Xavier DejemeppeEnseignant en lycée et formateur

La fièvre de l'évaluation L’évaluation est devenue omniprésente, qu’il s’agisse de recherche ou de soins, d’individus ou de lois. Célébrée ou critiquée, elle est érigée en priorité des politiques publiques. Une culture de l’évaluation ? Qu’ont en commun l’enfant en maternelle, le ministre, le chercheur, le médecin ou encore le policier ? Depuis une trentaine d’années, l’évaluation s’est affirmée dans le cadre d’un puissant mouvement de réforme des politiques publiques. On est même passé à une « culture de l’évaluation » répandue dans de nombreux domaines. Qu’est-ce qu’évaluer ? Pour les économistes ou les comptables, évaluer c’est d’abord estimer, sans nécessaire appréciation politique. L’opération d’évaluation consiste, financièrement, à calculer une valeur d’après des données et des critères déterminés. L’évaluation n’est pas une discipline avec ses approches et ses méthodes formatées : elle a pour visée essentielle d’être un outil d’aide à la décision. Quand est-elle apparue ? (1) www.rgpp.modernisation.gouv.fr

Related: