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13 décembre 2007 Traité de Lisbonne

13 décembre 2007 Traité de Lisbonne
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le traité de Lisbonne Ce traité a été préparé au second semestre 2007 par une conférence intergouvernementale (CIG) constituée pour pallier la non-ratification du traité établissant une constitution pour l'Europe de 2004[1]. À la différence du traité constitutionnel de 2004, qui remplaçait les deux grands traités par un texte nouveau, le traité de Lisbonne conserve les traités existants tout en les modifiant en profondeur : Le traité de Lisbonne est entré en vigueur le [2], soit le premier jour du mois qui suit l’achèvement du processus de ratification dans les vingt-sept États signataires de l'époque, avec dépôt des instruments de ratification à Rome. Généralités[modifier | modifier le code] Le mandat donné à la « CIG 2007 » résulte du « projet de mandat pour la CIG », un document de quinze pages[4], annexé aux conclusions du Conseil européen de Bruxelles du . Les chefs d’État et de gouvernement réunis à Lisbonne le .

25 mars 1957 "Euratom" Traité instituant la Communauté européenne de l'énergie atomique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Traité instituant la Communauté européenne de l'énergie atomique (dit traité Euratom) est le traité fondateur de la communauté éponyme. Il a été signé en 1957 à Rome, en même temps que le Traité sur le fonctionnement de l'Union européenne. Contexte[modifier | modifier le code] Le traité suit la mise en place de la Communauté européenne du charbon et de l'acier, qui est entrée en vigueur en 1952 et qui constitue la première réalisation d'importance dans l'intégration de l'Europe. Cet échec provoqua dès 1955 des tentatives de relance du processus d'intégration européenne avec la Conférence de Messine. C'est ainsi qu'en 1957, les traités de Rome furent signés à Rome. Objectifs[modifier | modifier le code] La création de l'Euratom fait suite à la nécessité de l'indépendance énergétique des États fondateurs qui ne pouvaient seuls investir dans l'énergie nucléaire. Structure du traité[modifier | modifier le code]

Traité sur l'Union européenne Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le traité sur l'Union européenne depuis 2009[modifier | modifier le code] Structure du traité[modifier | modifier le code] Préambule[modifier | modifier le code] Le préambule rappelle les origines et les objectifs de l’Union. Le préambule rappelle aussi les débuts économiques de l’Union en rappelant que l’Union a aussi pour objectif de renforcer l’économie de ses membres et d’en assurer la convergence, et de promouvoir le progrès économique. Cependant le préambule prend aussi en compte les données sociales et environnementales de l'économie Le préambule énonce aussi que l'Union vise à mettre en œuvre une politique étrangère et de sécurité commune notamment avec l’établissement progressif d’une politique de défense commune devant à terme mener à la mise en place d'une défense commune. Titre premier : dispositions communes[modifier | modifier le code] Titre II : principes démocratiques[modifier | modifier le code]

1957 : CCR : Centre commun de recherche Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir CCR. Le Centre commun de recherche (CCR, Joint Research Centre en anglais) est le laboratoire de recherche scientifique et technique de l'Union européenne. Cette direction générale de la Commission européenne a été créée dans le but d'apporter les conseils scientifiques et le savoir-faire technique nécessaires pour soutenir les orientations politiques choisies par l'Union. Mission[modifier | modifier le code] La mission du Centre commun de recherche est de fournir un soutien scientifique et technique à la conception, à l'élaboration, à la mise en œuvre et au suivi des politiques communautaires en répondant aux demandes de celles-ci. Les sept instituts du Centre commun de recherche sont : Historique[modifier | modifier le code] Voir aussi[modifier | modifier le code] Article connexe[modifier | modifier le code] Recherche européenne Lien externe[modifier | modifier le code] Site du CCR

Union européenne Institutions En raison de sa « contribution à la promotion de la paix, la réconciliation, la démocratie et les droits de l'Homme en Europe »[9], l'Union européenne a reçu, le 12 octobre 2012, le prix Nobel de la paix. Histoire[modifier | modifier le code] Prémices de l'idée européenne (1945-1951)[modifier | modifier le code] Dans le même temps, le principe d'une « Europe unie » est posé, en particulier sous l'impulsion de la France et de l'Allemagne de l'Ouest, même si le discours du Britannique Winston Churchill à Zurich le 19 septembre 1946[13] a été déterminant ainsi que le rôle des pays du Benelux et de l'Italie. L'Europe recherchait alors un modèle d'intégration qui la mettrait à jamais à l'abri d'une nouvelle guerre. « L'Europe ne se fera pas d'un coup, ni dans une construction d'ensemble. — Robert Schuman, déclaration du 9 mai 1950[15]. Échec de la CED et de l'UEO (1952-1954)[modifier | modifier le code] Établissement de la CEE (1957-1986)[modifier | modifier le code] Autres ressources

Libéralisme économique Les partisans du libéralisme économique se rangent en deux grandes familles. Pour les libéraux classiques (John Locke, Anne Robert Jacques Turgot, Adam Smith ou Étienne Bonnot de Condillac), le libéralisme économique est l'application au domaine économique des principes fondateurs du libéralisme : liberté, responsabilité, propriété. Ils contestent à la fois la légitimité et l’efficacité de l’action étendue de l’État, et, selon les doctrines, demandent la limitation plus ou moins grande voire totale de ses actions dans le champ de l'économie. Ils considèrent notamment que la puissance publique n'a ni la légitimité, ni l'information nécessaire pour prétendre savoir mieux que les consommateurs ce qu'ils peuvent ou doivent consommer ou pour prétendre savoir mieux que les producteurs ce qu'ils peuvent ou doivent produire. Histoire de la liberté économique[modifier | modifier le code] Révolution française[modifier | modifier le code] Royaume-Uni[modifier | modifier le code]

Banque centrale européenne Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le taux de refinancement de la BCE, son principal taux directeur, est fixé à 0,050 % à compter du 10 septembre 2014 en baisse de 0,10 point ; ses deux autres taux directeurs, le taux de rémunération des dépôts est négatif, à - 0,20 % et le taux du prêt marginal est fixé à 0,3 %. La BCE avait annoncé le 18 décembre 2008, à compter du 21 janvier 2009, un rétablissement de son corridor constitué par les taux des facilités permanentes à 200 points de base (2 %) autour du taux d'intérêt des opérations principales de refinancement, contre 100 points de base auparavant. Depuis octobre 2008 et à l'instar de la plupart des banques centrales de la planète, la BCE est entrée dans un cycle de relâchement monétaire, qui se traduit principalement par une baisse de ses taux directeurs, et ce pour faire face à la récession[3]. Depuis le 4 novembre 2014, la BCE assume un rôle central dans la supervision et le contrôle des principales banques européennes.

Financement de la recherche pharmaceutique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le financement de la recherche pharmaceutique recouvre l'ensemble des soutiens financiers directs et indirects apportés aux chercheurs travaillant au développement de médicaments. Le participation de l'industrie pharmaceutique à ces apports pose parfois des questions d'ordre éthique, la recherche du profit qui motive ses acteurs, les laboratoires pharmaceutiques, étant potentiellement conflictuelle avec les objectifs de santé publique qui s'y attachent. Types de soutiens[modifier | modifier le code] Comme l'indiquent plusieurs chercheurs, les laboratoires financent de nombreux projets universitaires[1]. Soutiens logistiques[modifier | modifier le code] D'après le Professeur Frédéric Rouillon, chef de service de psychiatrie exerçant à l'hôpital Saint-Anne à Paris, les experts universitaires bénéficient notamment d'un soutien logistique qui leur permet de développer leurs activités académiques. Recherches soutenues[modifier | modifier le code]

Industrie pharmaceutique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'industrie pharmaceutique est le secteur économique qui regroupe les activités de recherche, de fabrication et de commercialisation des médicaments pour la médecine humaine ou vétérinaire[1]. C'est l'une des industries les plus importantes économiquement, au monde. Cette activité est exercée par les laboratoires pharmaceutiques et les sociétés de biotechnologie. Historique[modifier | modifier le code] La pharmacie la plus ancienne recensée dans l’histoire date de 754 [2]. Au XIXe siècle, nombre de pharmacies européennes et nord-américaines sont devenues des compagnies pharmaceutiques à part entière, et, de fait, la plupart des compagnies pharmaceutiques actuelles ont été fondées à cette époque. Aux XXe siècle, les découvertes centrales des années 1920 et des années 1930 dans le domaine de la médecine, telles que la pénicilline et l’insuline, commencent alors à être produites en quantité industrielle et distribuées au détail.

Conflits d’intérêts, marasme éthique, influence pharmaceutique... Menaces sur la médecine (Roy Poses et Health Care Renewal) Par ses activités, prises de positions et analyses, le Dr Roy Poses est l’une des principales figures de la résistance aux influences et manipulations de l’industrie pharmaceutique. Depuis 1994, il est professeur associé de médecine à l’Université de Brown (Etats-Unis), l’une des plus réputées du pays. Depuis 1999, il est aussi professeur associé de médecine interne à la Virginia Commonwealth University. Il a fondé et préside la Foundation for Integrity and Responsibility in Medicine (FIRM). Roy Poses est le fondateur et principal auteur du meilleur blog / site sur le complexe médico-industriel : Health Care Renewal. Le blog Health Care Renewal s’est imposé comme LA meilleure référence internationale sur ces sujets, sans aucun équivalent français comparable. Par les nombreux liens, les lecteurs peuvent approfondir les dimensions évoquées. Le texte The Lancet Emphasizes the Threats to the Academic Medical Mission a été posté le 14 décembre 2010 par le Dr Roy Poses. Par le Dr Roy Poses 1.

Jacques Delors : l’homme des firmes Les « lobbies », on croirait qu’ils se cachent sous les tapis. Pour mesurer leur influence, il suffit pourtant d’écouter Jacques Delors, l’ancien président (socialiste) de la Commission. Très fier d’avoir bâti l’Europe main dans la main avec les patrons… « Les dirigeants de l’ERT ont été à l’avant garde du soutien de mon idée. » C’est Jacques Delors qui l’explique tranquillement. Pour bâtir l’Europe, voilà avec qui le président de la Commission s’est allié : avec l’ERT, la European Round Table, qui rassemble 45 « capitaines d’industrie », les PDG de Total, Nestlé, Renault, Siemens, etc. En janvier 1985, le président de l’ERT (et de Philips), Wisse Dekker, avait publié « Europe 1990 : un agenda pour l’action », un document où il proposait de faire tomber les barrières commerciales et les frontières fiscales. Avancer à 140 à l’heure... C’est qu’à l’automne 1991, l’Europe se trouve, à nouveau, à un moment clé de son histoire : le continent est débarrassé du communisme. Un ver dans la gauche

Une cartographie de la misère La logique impériale libérale. Deux siècles après la Révolution française, en guise de singulier bicentenaire, le Mur de Berlin s'effondre, sapé de part et d'autre par l'Ouest et l'Est. Le Pape y compte pour rien, les dirigeants occidentaux non plus, encore moins les intellectuels européens, car l'impulsion ne vint pas de l'extérieur, mais de l'intérieur. Il n'y eut pas explosion du système soviétique, mais implosion d'une machine viciée par ses mécanismes internes. Cette date compte à égalité avec celles qui marquent la chute des pouvoirs policiers, militaires et fascistes du XXe siècle. L'adversaire libéral gagne sans même avoir mené le combat. Le libéralisme semble l'horizon indépassable de notre époque. Outre-Atlantique, d'aucuns en viennent même à déclarer la fin de l'Histoire ! Et puis, et puis... L'Europe a choisi son camp depuis bien longtemps. Or il existe encore et toujours une gauche qui n'a pas trahi et reste fidèle aux idéaux d'avant l'exercice du pouvoir. Dessin :

BREVE : Les sommets européens infiltrés par les banques Lors des sommets européens comme ceux de juillet et octobre 2011, où il s’agit ni plus ni moins depuis trois ans de « sauver l’euro » ou de « sauver la Grèce », les débats essentiels ne sont pas publics mais informels. On peut même parler de tractations de couloir entre banquiers et élus nationaux, pour le plus grand bonheur des banques, évidemment. Ces deux derniers sommets de juillet et octobre 2011 ont porté sur la restructuration de la dette grecque : on a demandé aux banques de réduire les profits qu’elles attendaient de leurs prêts toxiques (puisque la Grèce sera insolvable, on le sait depuis le départ). D’après le Corporate Europe Observatory, un groupe de recherches sur le lobbying en Europe, l’Europe a choisi comme principal interlocuteur dans ces débats un lobby financier qui s’appelle l’Institute of international Finance[1]. Le COE a demandé des précisions, et le Conseil de l’Europe a répondu que l’IIF n’avait vu que des officiels grecs.

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