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Travailler chez Zara

Travailler chez Zara

Zara accusé de travail forcé au Brésil L'inspection du travail de l'Etat de Sao Paulo enquête sur les fournisseurs de la marque espagnole, accusés d'employer des ouvriers migrants dans des conditions proches de celles de l'esclavage. Inditex, l'un des plus importants détaillants de vêtements au monde se retrouve au milieu d'un scandale en Amérique Latine. L'enquête des autorités brésiliennes sur deux ateliers fournisseurs de sa marque de vêtements Zara à Sao Paolo a montré 48 irrégularités. «Il s'agit de la plus importante opération depuis le lancement du programme d'éradication des conditions précaires de travail à Sao Paolo», a indiqué dans une interview à l'ONG Reporter Brasil le contrôleur Guiliana Cassiano Orlandi. Selon le comité d'enquête, les ouvriers clandestins des deux ateliers confectionnaient des blouses de la collection printemps-été de la marque Zara. Les fournisseurs montrés du doigt Le ministère du Travail du Brésil a indiqué avoir déjà infligé 52 amendes à Zara «pour diverses irrégularités».

Convention collective nationale du commerce de détail de l'habillement et des articles textiles du 25 novembre 1987, révisé par avenant du 17 juin 2004 - Texte de base - Convention collective nationale du commerce de détail de l'habillement et des article I. - Objet et durée En vigueur étendu Dernière modification: Crée par Avenant du 17 juin 2004 en vigueur le 1er jour du mois suivant l'extension BO conventions collectives 2004-37 étendu par arrêté du 8 décembre 2004 JORF 26 décembre 2004. La présente convention règle sur l'ensemble du territoire national français et des départements d'outre-mer les rapports entre les employeurs et salariés des entreprises de vente au détail d'habillement et articles textiles. Les entreprises visées sont celles qui ressortissent aux rubriques 52-4 A Commerce de détail de textiles, 52-4 C Commerce de détail d'habillement, à l'exclusion du commerce de détail de la fourrure et partie du 52-4 J concernant le commerce de détail de rideaux, de voilages et articles ménagers divers en matière textile de la nomenclature d'activités française établie par le décret du 2 octobre 1992 et qui exploitent moins de 5 fonds de commerce. Elle prendra effet à compter du 1er novembre 1987. (Inchangé)

Travailler chez H&M Offres d'emploi affichées Les avantages des salariés H&M : jusqu'à 21 à 24 jours de congés supplémentaires, jusqu'à 750 à 1400€ de primes, intéressement ou participation, tickets restaurant, complémentaire retraite, mutuelle, prévoyance, tickets cinéma, subventions vacances, chèques cadeaux, ce, ... Merci de nous aider à compléter les informations sur H&M Pourquoi cette mise à jour ? Email : Votre adresse email ne sera pas publiée mais nous permet de vous contacter si besoin Postuler et travailler chez H&M Voici une sélection d'offres d'emplois proposées par H&M. Responsable de département - Bourges (h/f) - H&M(2018-03-19T07:53:38Z)Bourges Cher CentreEn tant que Department Manager, tu passes 80% de ton temps sur leterrain au cœur de l’action. Vendeurs (h/f) - Barberey-Saint-Sulpice - H&M(2018-03-26T02:31:04Z)Barberey-Saint-Sulpice Aube Champagne-ArdenneEs-tuprêt pour une carrière rythmée et pleine d’action où le client est au cœur de l’entrepriseleader sur le marché du prêt-à-porter ?

Zara accusée de faire travailler des enfants en Argentine… A quoi servent les milliards qu’ils possèdent, alors que leur vie ne suffira pas à les dépenser?… Pourquoi ces psychopathes, ont cette envie de toujours plus, par la domination du plus petit au plus grand des humains? Le sont ils eux même humains? Soyons à la mode, achetons de la souffrance en couleur, à un prix compétitif. A l’autre bout du monde, les esclaves travaillent et souffrent en sourdine pour les coffres fort sur pattes que sont les proprios de ces « marques »… 666 ?…….. Merci à Zara de nous proposer des fringues pas pas trop mal à des prix corrects, mais on ne demandait pas tant.

Promesses de changements dans les conditions de travail au Bangladesh Six géants du textile, dont H & M et Zara, vont mettre en place un système d’inspection indépendant pour contrôler leurs fournisseurs au Bangladesh, après la catastrophe qui a fait plus de 1 100 morts chez les ouvriers du textile. Les salaires des ouvriers devraient augmenter. L’effondrement du Rana Plaza, au Bangladesh, semble en train de faire évoluer l’attitude des grandes marques qui se fournissent dans ce pays. Cédant à la pression des organisations non gouvernementales, qui mobilisent depuis plusieurs années sur le thème des « ateliers de la sueur », plusieurs enseignes de taille mondiale ont accepté la mise en place d’un système indépendant d’inspection des usines textiles. La marque suédoise H & M et l’entreprise espagnole Inditex, qui gère les magasins Zara, ont annoncé lundi soir s’être rangées derrière cette proposition. Ces deux enseignes sont parmi les plus grandes mondiales. Carrefour interpellé L’italien Benetton et les américains Wal-Mart et Gap sont également sollicités.

la production pour Zara , une course contre la montre. - ..Zara.. => Zara possède 65% de ses usines en Espagne. Ceci permet de passer de la conception à la finition dans un espace géographiquement restreint, qui lui laisse la tâche plus facile pour agir sur cette production de façon plus directe. Zara est contre la délocalisation, car même si le coût est plus bas cela lui ferait perdre du temps et de l'argent pour la gestion des livraisons qui auraient des délais de 2 à 3 mois. La technique de production de Zara lui permet de réagir très vite lors d'un imprévu climatique ou d'une tendance surprise. Selon Amancio Ortega le climat est le premier facteur qu'il faut prendre en compte. Les stocks fonctionnent à flux tendu, ils sont sans cesse ajustés et réévalués. ---> elles donnent un sentiment d'exclusivité chez les clients ---> elles forcent Zara a créer des nouveautés de façon continuelle.

Zara et l’exploitation des travailleurs au Chili Zara, l’enseigne phare du groupe Inditex, contrôlée à 60% par le multimillionnaire Amancio Ortega, troisième fortune mondiale, précarise ses effectifs de production au Chili en les soumettant à des conditions de travail indignes. Pour y faire face, les travailleurs ont décidé de s’organiser en un syndicat unique et luttent désormais pour un emploi plus digne. Carmencita Verdugo, présidente du syndicat des travailleurs de Zara Chili (Sindicato Zara Chile), a signalé lors d’un entretien avec Equal Times que les mauvaises pratiques de la multinationale de prêt-à-porter au plan de l’emploi se mondialisent et que « derrière l’image qu’elle s’emploie à colporter d’elle-même se cache la précarisation d’un nombre incalculable de personnes ». Des liens ont été découverts entre l’entreprise d’Ortega et l’exploitation d’immigrés dans des conditions s’apparentant à l’esclavage dans des pays comme le Brésil et l’Argentine. Une législation du travail héritée de la dictature Les abus d’« EsclaviZara »

Quand H&M et Zara piétinent les droits des travailleurs en Europe de l’Est | Economie Alors que de nombreux rapports pointent les désastreuses conditions de travail des ouvriers du textile dans les pays asiatiques, l’ONG européenne Clean Clothes Campaign s’est penchée sur la situation des ouvriers en Turquie, Géorgie, Bulgarie, Roumanie, Macédoine, Moldavie, Bosnie-Herzégovine, Croatie et Slovaquie. Le rapport liste une vingtaine de marques de H&M à Benetton en passant par Zara ou Dolce&Gabbana qui emploient leurs ouvriers à des salaires extrêmement bas. Le salaire minimum légal en dessous du seuil de pauvreté Pour rémunérer les ouvriers, toutes les entreprises citées se basent sur le salaire minimum des pays étudiés, le coût de main-d’œuvre de l’usine étant un facteur déterminant dans le choix du site de production. « La Bulgarie, la Macédoine et la Roumanie ont des salaires minimums légaux plus bas que ceux de la Chine » « Quand on part au travail on ne sait pas quand on rentrera à la maison » « Les jours de repos ou les congés maladie sont difficiles à obtenir.

ESCLAVAGISME – Zara pointée du doigt Des petites mains boliviennes et péruviennes travaillant dans des ateliers de couture de São Paulo plus de 12 heures par jour, des enfants de moins de 14 ans enchaînés à leurs machines à coudre, c’est ce que la police a découvert en remontant la filière de fabrication de vêtements vendus au Brésil par la célèbre marque espagnole Zara L’enquête a débuté suite à une dénonciation anonyme en mai, dans la petite ville d’Americana, à l’intérieur de l’Etat de São Paulo. 52 personnes travaillant à la confection de vêtements dans des conditions dégradantes ont alors été libérées de l’esclavage par les inspecteurs du Ministère du Travail. En remontant la filière, ils ont abouti dans deux ateliers de couture, au centre de São Paulo et dans le nord de la ville. Ces esclaves de l’ombre ont été recrutés directement dans leur pays d’origine par des hommes de main des sous-traitants de la grande marque espagnole. La pointe de l’icebergL’affaire Zara n’est peut-être que la pointe de l’iceberg.

Zara et la mode éthique | Ergopurmalt L’entreprise Zara est pointée du doigt dans un article du journal Le Matin pour les conditions de travail déplorables de ses salariés brésiliens. Alors que Zara fait fleurir les articles dénonçant son esclavagisme, du 1 au 4 septembre aura lieu à Paris le salon de la mode éthique nommé Ethical Fashion Show. Les exposants s’engagent, en matière de conditions de travail, à respecter les conventions de l’Organisation Internationale du Travail. Les conventions sont nombreuses (semaine de travail de 48h, mise en place d’une assurance chômage, congés maternité de 6 semaines…) et sont à n’en pas douter un progrès dans de nombreux pays. Le soucis reste évidemment d’être en capacité de contrôler les fabricants et je n’ai rien trouvé sur ce sujet. Sur le site d’Inditex (propriétaire de Zara), une page est consacrée aux engagements « éthiques » de la compagnie dont le respect des conventions de l’organisation mondiale du travail, les mêmes que pour les entreprises éthiques du salon ! J'aime :

Les conditions de travail dans le secteur du textile en Europe de l'Est ne sont pas meilleures qu'en Asie / Actualités 27 juin 2014 Les conditions de travail dans le secteur du textile en Europe de l'Est ne sont pas meilleures qu'en Asie Début juin, l'association Actions Consommateurs Travailleurs (achACT), qui réunit notamment des ONG et des syndicats, a dénoncé dans un rapport les conditions de travail et de rémunération dans l'industrie textile de quatre pays appartenant à l'Union européenne, et de six autres à ses frontières, semblables à celles observées en Asie. Les chercheurs ont constaté que le salaire minimum légal net de cette industrie en Bulgarie, Ukraine et Macédoine représentait 14 % du salaire de subsistance. La plupart des ouvriers dans le secteur n'ont d'autre choix pour joindre les deux bouts que de prendre un deuxième travail et d'effectuer un nombre excessif d'heures supplémentaires. Des femmes travaillant pour des sous-traitants de Hugo Boss en Croatie et en Turquie ont révélé avoir été sexuellement harcelées, intimidées et insultées. En savoir plus :

Un fournisseur de la marque Zara accusé d'esclavage au Brésil Afin d'être publiée, votre note : - Doit se conformer à la législation en vigueur. En particulier et de manière non exhaustive sont proscrits : l'incitation à la haine raciale et à la discrimination, l'appel à la violence ; la diffamation, l'injure, l'insulte et la calomnie ; l'incitation au suicide, à l'anorexie, l'incitation à commettre des faits contraires à la loi ; les collages de textes soumis au droit d'auteur ou au copyright ; les sous-entendus racistes, homophobes, sexistes ainsi que les blagues stigmatisantes. - De plus, votre message doit respecter les règles de bienséance : être respectueux des internautes comme des journalistes de 20Minutes, ne pas être hors-sujet et ne pas tomber dans la vulgarité. - D'autre part, les messages publicitaires, postés en plusieurs exemplaires, rédigés en majuscules, contenant des liens vers des sites autres que 20Minutes ou trop longs seront supprimés.

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