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Prêt-à-porter: les femmes dépensent-elles toujours plus que les hommes ? - 17 septembre 2014

Prêt-à-porter: les femmes dépensent-elles toujours plus que les hommes ? - 17 septembre 2014
En matière de garde-robe, les règles de grammaire sont à prendre avec des pincettes car l'adage "le masculin l'emporte" n'y fait pas loi. Chaque année, la consommation de prêt-à-porter féminin en France dépasse celle du prêt-à-porter masculin de plus de 20% comme le montre le graphique ci-dessus, issu d'une étude de l'Institut Français de la Mode (IFM) à paraître en octobre. Un chiffre révélateur d'une tendance de fond. "Sur 100 euros dépensés dans des vêtements, un peu moins de 60 euros sont consommés par la femme, 30 euros par l’homme, et le reste par l'enfant", résume Lionel Guérin, directeur de la Fédération Française des Industries du Vêtement Masculin. Les hommes ignorent la "fast fashion" L'explication? Autre facteur qui rentre probablement en compte: la réticence masculine à faire du shopping. L'écart se creuse Mais les femmes pourraient ne pas conserver éternellement l'avantage. Inversion de tendance au premier semestre

Le marché français du prêt-à-porter féminin se stabilise par Pascale Denis PARIS (Reuters) - Après six années consécutives de baisse, le marché français du prêt-à-porter féminin s'est stabilisé en 2014 et pourrait très légèrement progresser en 2015 à la faveur d'un contexte économique plus favorable, estime la Fédération française du prêt-à-porter féminin. Les ventes de mode féminine ont totalisé 10,8 milliards d'euros l'an dernier, signant une hausse symbolique de 0,1% et faisant mieux que l'ensemble du marché de l'habillement (homme, enfants compris) qui a reculé de 0,9% en valeur, selon les chiffres de l'Institut français de la mode (IFM). L'année 2014 aura été sauvée pour la mode féminine par un bon premier semestre (+1,3%), tandis que la tendance a été négative en deuxième partie d'année pour cause de météo très clémente et peu favorable aux achats de grosses pièces comme les manteaux. La Commission européenne a annoncé le 5 février prévoir une croissance du PIB de 1% en France cette année. (Edité par Dominique Rodriguez)

Boulanger, le challenger de l'électrodomestique - Electrodomestique L'électrodomestique serait-il une histoire de fratrie ? Car, c'est connu, trois frères (Natan, Marcel et Bernard) furent à l'origine de Darty dans les années 50, à Montreuil (95). Ce sont aussi des frères qui ont ouvert le premier magasin Boulanger, à Lille (59), en 1954 : une petite boutique de quartier qui vendait des postes de radio. Gustave était chargé de les fabriquer, tandis que Bernard s'occupait de la partie commerciale. À la suite du décès prématuré du premier, le second abandonne la partie artisanale et se concentre sur la commercialisation de produits de marque. Avenir prometteur On commence alors à parler du « petit Boulanger », et ce surnom arrive aux oreilles d'un certain Gérard Mulliez, qui voit là un moyen de s'attaquer au prometteur marché de l'électrodomestique. L'homme du défi Les Mulliez cherchent alors l'homme providentiel. Coup de poker Si l'écart se réduit avec Darty, le leader reste loin avec ses 14% de part de marché.

Armand Thiery a l'ambition de doubler de taille Cette enseigne familiale affiche un chiffre d'affaires de 500 millions d'euros, en hausse malgré la crise. Forte de son positionnement moyen de gamme classique, elle ouvre 30 à 50 magasins en moyenne par an en France. Jacqueline Riu et Armand Thiery ont créé la surprise en se «mariant», avant l'été. Mais c'est un mariage prudent. Les deux enseignes restent logées dans deux sociétés indépendantes mais qui ont les mêmes actionnaires: la famille Deveaux, ­active, depuis 200 ans, dans la ­fabrication de textile en France. ­Rodolphe Deveaux, PDG d'Armand Thiery, se laisse trois ans pour redresser Jacqueline Riu. En attendant, Armand Thiery, avec ses 500 millions d'euros de chiffre d'affaires, et Jacqueline Riu, avec, elle, plus de 100 millions d'euros, forment d'ores et déjà un «couple de poids» dans la mode en France. «Jacqueline Riu est complémentaire, explique Rodolphe Deveaux. Trois zones dans lesquelles ­Armand Thiery garde un potentiel d'expansion.

Commerce de détail d’électroménager et électronique Archives Les principales difficultés du métier • La saturation du marché La vente de produits électroménagers est essentiellement un marché de renouvellement. Une période de forte augmentation des ventes est toujours suivie d’une période de diminution. • L’intensité de la concurrence La concurrence des GSA, notamment pour le petit électroménager, mais aussi l’essor du e-commerce, constituent un risque important pour les spécialistes du secteur qui rivalisent difficilement en termes de positionnement prix. • La dépendance du secteur immobilier L’activité des professionnels du secteur est fortement dépendante du marché immobilier. • La gestion des stocks La valeur du stock se déprécie rapidement. (1) Source : Insee, Taux de Survie à 5 ans pour la génération 2010.

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