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Si la France avait 100 habitants...

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Portrait-robot du milliardaire contemporain Une étude d’Oxfam publiée à l’approche du Forum économique mondial de Davos montre qu’en 2016, les 1% les plus riches posséderont en patrimoine cumulé plus que les 99% restant de la population mondiale. Mais il est relativement aisé pour un Occidental ayant un emploi de faire partie ou de s’approcher de ce 1%, qui représente tout de même peu ou prou 73 millions de personnes, à en croire ce site créé par le cabinet de design Poke. Au sommet du club des 1% se trouve le cercle encore plus fermé des 2 325 milliardaires qui concentrent près de 4% de la richesse mondiale. Une autre étude (téléchargeable ici), émanant du cabinet Wealth-X et de la banque UBS, s’est penchée sur ces ultrariches. En 2014, ils disposaient en moyenne d’un patrimoine net moyen de 3,1 milliards de dollars, contre 3 milliards l’année précédente. C’est un homme Sans grande surprise, l’étude met en évidence un déséquilibre massif entre hommes et femmes. Il n’est pas tout jeune Il vit plutôt en Europe ou à New York

La concentration des richesses dans le monde en graphiques La moitié des richesses produites dans le monde se trouve entre les mains de 1 % de la population du globe, selon une étude publiée lundi 19 janvier. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Les Décodeurs Deux jours avant l'ouverture du Forum économique mondial, qui se tient traditionnellement dans la station suisse de Davos, l'ONG Oxfam a publié un rapport accablant sur la concentration des richesses dans le monde. Basé notamment sur des données fournies par un rapport de la banque Crédit suisse, il révèle que 1 % des habitants de la planète possède 48 % du patrimoine, contre « seulement » 44 % en 2009. Le seuil des 50 % devrait être dépassé en 2016. Lire la synthèse : Les 1 % les plus riches posséderont bientôt la moitié de la richesse mondiale Les 52 % du patrimoine restant ne sont pas non plus également répartis : les quatre cinquièmes des habitants les plus pauvres de la planète survivent avec seulement 5,5 % de la richesse produite dans le monde.

VIDEO. Les algorithmes qui nous entourent sont-ils racistes et sexistes ? En 2017, une informaticienne nommée Joy Buolamwini s'est rendu compte qu'un logiciel censé reconnaître son visage n'y parvenait pas. La raison ? L'algorithme du logiciel ne détectait pas sa peau noire. Cette discrimination est le résultat d'un "biais algorithmique". "Les premiers algorithmes de reconnaissance faciale ne reconnaissaient pas les peaux noires pour la simple raison que les gens qui ont pensé et développé cet algorithme et l'ont implémenté étaient principalement blancs", explique l'auteure et informaticienne Aurélie Jean. Un algorithme apprend à partir d'une base de données comme un ensemble d'images. Conçus à 88 % par des hommes, les algorithmes reproduisent aussi le sexisme de notre société. Aujourd'hui, seulement 15 % des ingénieurs en informatique sont des femmes.

Graphiquement vôtre : En France, un enfant sur 30 est conçu par PMA Le premier « bébé-éprouvette » au monde, Louise Brown, fête ses 42 ans le 25 juillet 2020. La naissance de cette Anglaise signe une véritable révolution dans l’assistance médicale à la procréation (AMP ou procréation médicalement assistée, PMA). Cette technique permet en effet la fécondation d’un ovule par un spermatozoïde hors du corps de la femme, dans « l’éprouvette » du biologiste, in vitro selon le terme technique. Jusqu’à cette première fécondation in vitro (FIV), les techniques d’AMP se cantonnaient à des inséminations « artificielles » (IA) qui consistent à déposer les spermatozoïdes du conjoint (IAC) ou d’un donneur (IAD) au niveau du col de l’utérus ou dans la cavité utérine pour qu’ils aillent féconder naturellement un ovocyte dans le corps de la femme. Premier « bébé éprouvette » français, Amandine est conçue en 1981 et naît le 24 février 1982.

« Les Héritiers » : ce que Bourdieu et Passeron nous ont appris de l’inégalité des chances Vingt ans après la disparition de Pierre Bourdieu, voici l’occasion de se pencher à nouveau sur l’un de ses ouvrages les plus commentés, co-écrit avec Jean-Claude Passeron, Les Héritiers, les étudiants et la culture, paru aux Éditions de Minuit en 1964. Bien au-delà du cercle restreint des sociologues, ses analyses firent émerger des débats passionnés sur l’école et restent, près de soixante ans plus tard, d’une grande actualité. Car l’inégalité sociale dans le cadre scolaire demeure un fait patent, aujourd’hui comme hier. La thèse de Bourdieu et Passeron est simple et remet en question les théories à la mode à cette époque : les inégalités devant l’école ne se réduisent pas à l’insuffisance de ressources économiques mais elles sont aussi redevables à des raisons d’ordre social. Il faut ainsi comprendre que le capital culturel sert directement la réussite et les tâches scolaires. Implicites culturels Read more: Inégalités scolaires : des risques du confinement sur les plus vulnérables

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