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Les Français sont fans de consommation collaborative, parfois sans le savoir

Les Français sont fans de consommation collaborative, parfois sans le savoir
Le marché mondial de l'économie de partage pourrait atteindre près de 270 milliards d'euros d'ici à 2025, contre 12 milliards aujourd'hui, selon PwC. En France, près de la moitié des consommateurs y ont eu recours cette année. Aujourd'hui, tout ou presque peut se louer, s'échanger ou se partager via Internet. Voitures, maisons, canapés, frigos, machines à laver, journaux ... Poussés par la crise, les consommateurs s'adonnent de plus en plus au «CtoC» (c'est-à-dire «consumer to consumer», un terme qui désigne les transactions entre particuliers) comme alternative au commerce traditionnel. Résultat, le marché mondial de la consommation collaborative va exploser. En dix ans, le concept d'économie de partage, autre nom pour ces pratiques des consommateurs privilégiant l'usage de biens à la propriété, est passé d'un «système D» entre amis ou en famille à un véritable marché suscitant les convoitises de startups comme des grandes entreprises internationales.

Ces objets de la maison que l'on peut s'échanger ou se louer sur Internet INFOGRAPHIE - L'économie du partage séduit de plus en plus d'adeptes poussés, entre autres, par la baisse de leur pouvoir d'achat. Des pratiques qui auraient pesé dans le monde plus de 266 milliards d'euros en 2013. Aujourd'hui, tout ou presque peut se louer, s'échanger ou se partager via Internet. Voitures, maisons, canapés, frigos, machines à laver, journaux ... Poussés par la crise et la baisse de leur pouvoir d'achat, les Français se ruent sur les sites de partage en quête de bons plans. Selon une récente étude Accenture, ces nouvelles pratiques ont représenté un chiffre d'affaires mondial de plus de 266 milliards d'euros en 2013. Toujours est-il que les professionnels doivent faire attention aux inquiétudes - nombreuses - des usagers, qui pourraient freiner leur essor.

"Banque: les épargnants sont en quête de sens" Le Comptoir de l'Innovation rend public ce mercredi une étude menée par OpinionWay sur le financement de l'économie sociale et solidaire. Pourriez-vous nous expliquer le contexte et les objectifs de cette étude? Le Comptoir de l'Innovation, entreprise créée en 2010, s'est fixé pour mission de financer, accompagner et promouvoir les entreprises sociales en France et dans le monde. Nous avons donc à coeur de promouvoir la finance solidaire auprès des acteurs professionnels comme des particuliers. L'étude "Banque et solidarité", dont une première édition avait été publiée en 2012, a pour objectif d'évaluer le développement et l'évolution du secteur en France, en mesurant la connaissance et l'intérêt des épargnants. Pourquoi a-t-on besoin de financer les entreprises sociales? L'étude en 3 chiffres 56% des Français interrogés n'ont jamais entendu parler de l'épargne solidaire 66% des Français aimeraient investir leur épargne dans des entreprises sociales

ShaRevolution : les résultats attendus d’une étude sur la consommation collaborative Vous n’êtes pas sans savoir que votre voisine s’approvisionne principalement en passant par des systèmes locaux collaboratifs, que votre cousin ne dort plus à l’hôtel mais chez l’habitant ou encore que votre meilleur ami se déplace en covoiturage, au lieu d’être seul dans sa voiture. La consommation collaborative bouleverse les habitudes de consommation des français, et l’émergence des plateformes collaborative en est la preuve. Cet engouement suscite beaucoup de questions, tant par les consommateurs, que par les entreprises et par les institutions : ces modèles économiques sont-ils durables ? Comment évolueront ces pratiques dans les années à venir ? Depuis un an, La FING et OuiShare s’attèlent à étudier les pratiques des français dans la consommation collaborative, et diffusent aujourd’hui les résultats de cette étude tant attendue. Qui se cache derrière ShaRevolution ? ShaRevolution : une cartographie des modèles désormais disponible Qu’est-ce que ShaRevolution concrètement ?

La consommation collaborative : nouveau mode d’expression populaire ?, Le Cercle On ne présente plus la consommation collaborative, qui remet au goût du jour l’échange, le troc et le commerce entre particuliers. Ce phénomène, qui connaît une croissance annuelle de 25 %, impacte désormais la plupart des modèles économiques traditionnels. Blablacar transporte chaque mois plus d’un million de personnes, devenant ainsi l’un des principaux concurrents de la SNCF. Airbnb propose plus de 30 000 logements de particuliers à Paris, au grand désarroi de l’industrie hôtelière. Au-delà de la concurrence déloyale mise en avant par les "industriels", se pose également la question de l’évolution profonde de nos manières de consommer. L’explosion de la consommation collaborative : rien d’autre qu'une conséquence de la crise ? L’entreprise peine également à s’adapter. Un nouveau moyen d’expression populaire Dire que l’économie collaborative se soit développée à cause de la crise est une évidence qui ne souffre aucune contestation.

Consommation "collaborative": une enquête pour mieux cerner le profil de ses adeptes- 4 mars 2015 Paris (AFP) - Plutôt jeunes, cadres supérieurs, urbains et connectés: tel est le profil type des consommateurs ayant opté pour des pratiques collaboratives, selon les résultats d'une enquête menée conjointement par le think tank OuiShare et la Fondation internet nouvelle génération (Fing). Menée en ligne pendant trois mois auprès de 2.150 usagers de la consommation dite "collaborative", l'enquête "Je partage ! Et vous ?" s'intéresse aux caractéristiques de ces consommateurs d'un nouveau type tentés par un modèle où l'usage de l'objet prime sur la propriété et où la mutualisation des ressources devient souvent la règle. Elle sonde également les motivations qui poussent ces usagers à se tourner vers des plateformes telles que "Le bon coin", "BlaBlaCar", "Airbnb" ou encore "La Ruche qui dit Oui !", plutôt que vers des modèles traditionnels. "Les tranches d'âge (de ces usagers) sont des tranches d'âge intermédiaire. - 'Retrouver du sens' -

La consommation collaborative - APCE, agence pour la création d'entreprises, création d'entreprise, créer sa société,l'auto-entrepreneur, autoentrepreneur, auto-entrepreneur, auto entrepreneur, lautoentrepreneur, reprendre une entreprise, aides à la créat La consommation collaborative - 18/03/2014 C'est quoi ? La consommation collaborative continue de gagner du terrain en France (et dans bien d'autres pays). Désormais, on peut presque tout partager grâce à Internet De nombreuses solutions de partage existent aujourd'hui : on peut héberger un touriste (grâce à AirBnB ou Sejourning), louer une perceuse ou des ustensiles de cuisine dont on se sert peu (sur E-loue, Zilok ou Ma petite cuisine), utiliser la voiture (avec Blablacar) ou la machine à laver de son voisin (La machine du voisin), prendre un vélo en libre-service. Derrière ces sites internet, on trouve essentiellement des startups qui se rémunèrent grâce à la publicité, un système de commission auprès des particuliers ou auprès de professionnels... Aujourd'hui, l'économie du partage est même entrée dans une ère 2.0 puisque l'on voit émerger des business directement liés à son développement. Une menace pour les entreprises traditionnelles ? Quelques chiffres :

Emprunter la voiture du voisin, partager son bureau: la consommation collaborative L'explosion du numérique et des réseaux sociaux permet la rencontre sans intermédiaire de l'offre et de la demande entre particuliers qui ne se connaissent pas. Ce système de "peer to peer" (échange entre pairs) entraîne l'émergence à une vitesse inédite de nouveaux modes de consommation, regroupés sous le vocable générique de "consommation collaborative". En 2013, celle-ci représenterait un chiffre d'affaires de 350 milliards de dollars (266,4 milliards d'euros), selon Accenture. Les sites de location de perceuses ou de tondeuses à gazon entre particuliers ne sont pas nés d'hier, bien sûr. Bouillonnante dans le secteur de la mobilité, l'économie du partage s'épanouit aussi dans le logement et de façon plus générale, dans tout ce qui permet de limiter les mètres carrés inutilisés. L'innovation organisationnelle compte autant que la technologie Emprunter la voiture du voisin, avec Zilok. Voyager en compagnie d'inconnus avec Carpooling et Blablacar. La chasse aux mères carrés inutilisés

Alexandre Jardin “Une révolution solidaire est en marche” Valérie Urman Il n’a pas perdu son gros rire sonore, ni sa faconde d’écrivain populaire, ni ce goût joyeux de ciseler des formules frappantes. Mais depuis des mois, Alexandre Jardin en martèle une : « Je veux que le pays se prenne en main. Un pays dépressif, c’est un pays qui espère tout dans l’action des autres. » Le romancier met son énergie vibrionnante au service d’une France enlisée qu’il sillonne en tous sens pour fédérer des légions d’entrepreneurs et d’associations, ces « zèbres » capables de trouver hors cadre des solutions efficaces, de pallier les échecs publics, de contourner la crise des systèmes classiques et l’impuissance du politique. Quelles raisons voyez-vous, en France, de retrouver l’espoir ? J’ai passé de longues heures avec les Bonnets rouges, et j’ai découvert des bâtisseurs, au chevet d’une société en déroute. A vous entendre, il ne manquerait pas grand-chose pour que l’exaspération et la déprime basculent en une dynamique positive ?

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