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L’anti-HAL: pourquoi le robot d’«Interstellar» représente l’avenir de l’intelligence artificielle

L’anti-HAL: pourquoi le robot d’«Interstellar» représente l’avenir de l’intelligence artificielle
Temps de lecture: 5 min Le scénario d'Interstellar gravite surtout autour de l’exploration spatiale, des trous noirs et du voyage dans le temps, et c’est sans surprise que beaucoup de choses ont déjà été écrites sur le traitement de la science dans le film –un livre est même déjà sorti sur le sujet. Ce dont on a moins parlé, c’est de la représentation de l’intelligence artificielle et de la robotique, sans doute parce que les robots du film fonctionnent tellement bien qu’ils ne perdent jamais la tête et ne tirent pas toute la couverture à eux. Au lieu de tomber dans les clichés de la science-fiction, la représentation de l’I.A dans Interstellar met en lumière plusieurs caractéristiques que les robots du futur devraient (et ne devraient pas) comporter. TARS, le principal robot du film, ne ressemble en rien à un humain. TARS, au contraire, n’a pas vraiment de jambes, de bras ou d’autres attributs propres à un être vivant. Pour autant, TARS est loin d’être un grille-pain. Related:  science et progrèsveilleiaupv

A l'avenir, tout le monde au Japon aura un androïde - 19 juillet 2014 Terminator, Z6PO, Blade Runner : l'imaginaire hollywoodien regorge de robots plus ou moins amicaux qui ont donné vie au mythe de l'androïde susceptible un jour de supplanter son créateur. On en est encore loin, mais au Japon on y croit. En matière de robotique industrielle, aucun doute : le pays du Soleil-Levant fait la course en tête, mais certains savants songent en plus à des "créatures" qui, tels de parfaits "maîtres d'hôtel" ou "dames de compagnie", se mettraient au service d'une population vieillissante. Quelque 300 sociétés viennent d'ailleurs de se regrouper pour former un consortium afin de développer d'ici à 2020 une centaine de robots ultra-sophistiqués pensés comme des amis ou assistants. Quant au Premier ministre Shinzo Abe, il veut carrément organiser en 2020 des Olympiades des robots, en parallèle aux JO humains à Tokyo. Le combat homme-robot n'est pas loin "Les ordinateurs ont déjà surpassé les capacités humaines. Androïde de ménage "L'androïde n'est pas notre ennemi"

L’Intelligence Artificielle au cinéma Publié le 2 janvier 2016 Par Thierry Berthier. Le thème de l’intelligence artificielle (IA) est de plus en plus présent dans les salles de cinéma à mesure que les progrès scientifiques de la discipline deviennent visibles du grand public. Depuis trois décennies, Hollywood s’est emparé du sujet de l’IA et le décline désormais sous tous les angles qu’offre la science fiction. Une loi et un point de Godwin pour le traitement de l’IA au cinéma… D’après Wikipédia, » la « loi » de Godwin s’appuie sur l’hypothèse selon laquelle une discussion qui dure peut amener à remplacer des arguments par des analogies extrêmes. Il est désormais assez facile de définir le point de Godwin dans un film traitant de l’IA. Les productions cinématographiques traitant de l’IA se répartissent en trois catégories. Il existe ensuite une deuxième catégorie de film pour lesquels le point de Godwin n’est pas apparent au début mais s’installe petit à petit, dans une progression logique. Les raisons en sont multiples.

Ava, le robot qui nous calculait trop « Ex Machina », thriller high-tech sur l’intelligence artificielle, vient de remporter l'Oscar des meilleurs effets visuels. Nous l’avions vu en avant-première avec un expert du domaine, l’informaticien Jean-Gabriel Ganascia. Une machine intelligente échappe-t-elle forcement à son créateur ? Dans Ex_Machina, Alex Garland, scénariste du magnifique Never Let Me Go 1, remet le couvert sur ce thème rebattu de la science-fiction. Au cœur de ce huis-clos étouffant, Caleb, jeune programmeur prodige chez BlueBook, moteur de recherche et géant d’Internet, est invité à passer une semaine chez son patron, Nathan, hipster barbu au crane rasé, retiré dans une villa bunker au fin fond de l’Alaska. Le film ne se limite pas à une mise en scène du test de Turing À première vue, Ex_Machina ressemble à une mise en scène stylisée d’un test bien connu en intelligence artificielle : le test de Turing. « Que la SF comme Ex_Machina s’empare de ce thème, d’abord né en philosophie 3, est légitime.

IA : "il n'y a pas une once d'intelligence dans ce que font les machines" On en parle partout, tout le temps. Mais au fait, l'intelligence artificielle, c'est quoi ? Crédit : Getty / exdez L’intelligence artificielle est sur toutes les lèvres. Peux-tu commencer par te présenter ? Je m’appelle Églantine Schmitt, je suis product manager et UX designer indépendante et j’ai travaillé longtemps chez un éditeur de logiciel spécialisé dans une branche de l’intelligence artificielle qu’on appelle le traitement automatique des langues. Au-delà des mythes actuels sur le sujet, où en est-on exactement de l’IA actuellement ? Quand on parle d’IA, il peut s’agir de références à plusieurs choses. Au-delà du deep learning, qui est une sous-branche du machine learning, qui est lui-même une façon d’analyser des données, d’autres thématiques sont revenues sur le devant de la scène : tout ce qui est agents conversationnels et interfaces vocales, mais aussi l’automatisation de processus, la robotique, la reconnaissance faciale… qui ne reposent pas forcément sur du deep learning.

Real Humans revu par les chercheurs (1) Qu'est ce qui est réel dans la série Real Humans ? Quand nos robots seront-ils aussi doués ? CNRS le journal fait le point dans une série d'articles. Aujourd'hui : le langage. Surdoués, les hubots (human robots) de la série télévisée Real Humans ? Mais depuis ces classiques, notre technologie galopante a fait du chemin. Il est en effet devenu banal de communiquer avec son ordinateur ou son smartphone grâce aux assistants personnels intelligents, comme le fameux Siri d’Apple et d’autres applications parlantes. Dans Real Humans, les hubots s’expriment pratiquement comme vous et moi. Cela semble plutôt bien marcher… Qu’est-ce que les hubots ont de plus ? Les ambiguïtés de langage ne posent pas de problème à un humain doté de sens commun. Dans quel domaine de la linguistique nos systèmes sont-ils encore trop peu performants ? Mais il existe des bases de données qui peuvent offrir aux robots cette indispensable connaissance du monde, non ? Existe-t-il des approches plus fiables ?

Dossier sur l'Intelligence Artificielle: L'IA, faut-il en avoir peur? Real Humans revu par les chercheurs (2) L’homme sait L’ordinateur ne sait rien Comment est-il possible que d’un ensemble de messages physico-chimiques, aussi aveugles que les zéros et 1 en informatique, émerge une conscience ? Nous sommes conscients de nous-même, c’est le moi, et conscients d’être conscients. Nous savons que nous savons ce que nous savons. Un ordinateur sait puisqu’il a stocké en mémoire des millions d’informations.

Des machines intelligentes ? En 1950, Alan Turing proposa un test d’intelligence pour les machines. Il pensait que les progrès de l’informatique permettraient de le satisfaire en cinquante ans. Même si les avancées de l’intelligence artificielle ont été remarquables, aujourd’hui, aucune machine n’a encore réussi le test. Définir l’intelligence est difficile et il n’est pas certain qu’on puisse y arriver un jour d’une façon satisfaisante. C’est cette remarque qui poussa le mathématicien britannique Alan Turing, il y a soixante ans, à proposer le « jeu de l’imitation » qui fixait un objectif précis à la science naissante des ordinateurs qu’on n’appelait pas encore « informatique ». Le jeu de l’imitation consiste à mettre au point une machine impossible à distinguer d’un être humain. Une technicienne ajuste les cheveux sur la tête du robot humanoïde « Joey Chaos ».Joey Chaos est un robot humanoïde. Le test de Turing Intelligence ou imitation ? Comment démasquer une machine ? Le test de la mouette

L'Intelligence Artificielle fait peur… et si l'ordinateur prenait le pouvoir ? Sommes nous en train de créer l'espèce supérieure qui prendra notre place ? A observer les progrès vertigineux que nous réalisons en matière d'Intelligence Artificielle (IA), nous sommes de plus en plus nombreux à le penser. A l'exemple de Steve Wozniak. Après le mathématicien Stephen Hawking, le théoricien Raymond Kurzweil, le fondateur de Microsoft Bill Gates, et l'entrepreneur Elon Musk (Tesla, SpaceX…), c'est au tour de Steve Wozniak, le co-fondateur d'Apple, de se déclarer inquiet face à l'évolution de l'Intelligence Artificielle ! Les ordinateurs de l'IA Pour devenir efficace, l'IA doit reposer sur des ordinateurs toujours plus puissants. Concrètement, chaque nouvelle génération de processeur permet de supporter des algorithmes de plus en plus performants, et surtout capables de nous remplacer dans la prise de décision. Woz monte au créneau Ce n'est pas que du cinéma Le cinéma est souvent le reflet de nos préoccupations. Qu'Assimov nous protège !

L'Intelligence Artificielle au cinéma : 2001 l’Odyssée de l’espace, Terminator, Matrix... | LeMagduCine L’Intelligence Artificielle fait désormais partie intégrante de notre vie, sans que l’on sache définir ce qu’elle comprend. Alors même que la notion d’intelligence semble antinomique avec celle de robot, l’Intelligence Artificielle (IA) est un ensemble de méthodes développées par l’Homme permettant aux ordinateurs de simuler l’intelligence humaine. Les machines s’appuient sur de grands ensembles de données pour prédire, anticiper et réagir à des événements futurs. Si aujourd’hui celles-ci semblent être capables d' »avancer seules » c’est en réalité l’homme qui les programme pour qu’elles apprennent à affiner leurs prédictions en mettant en corrélation des images, des sons ou des données (machine learning). Entre fascination et crainte, l’être humain se complaît à se faire peur en s’imaginant dominé par les machines dans un futur proche, tout en admettant devenir de plus en plus dépendant des algorithmes qui rythment désormais notre quotidien, nos achats et nos modes de consommation.

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