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Première Guerre mondiale: des photos inédites de la vie dans les tranchées

Première Guerre mondiale: des photos inédites de la vie dans les tranchées
HISTOIRE - Ce sont des clichés encore jamais vus de la Première Guerre mondiale. Ils sont l'œuvre du caporal nord-irlandais George Hackney, qui a capturé clandestinement la vie dans les tranchées en France lors de la bataille de la Somme en 1916. S'il avait été vu avec un appareil photo sans autorisation, ce soldat aurait fait face à une cour martiale... D'abord diffusés par la BBC dans un documentaire intitulé The Man Who Shot the Great War (L'homme qui photographia la Grande Guerre), ces photos sont décrites comme une "collection unique" par son réalisateur Brian Henry Martin, offrant "une fenêtre sur ce qu'il était de vivre et mourir sur le front occidental". "Qui est cet homme? s'interroge-t-il. » Découvrez ces photos inédites de la Grande Guerre ci-dessous: George Hackney/Ulster Museum Related:  civils et militaires durant la Grande Guerre

Chronologie et carte - Mémorial de Verdun Front occidental : échec de la guerre de mouvement 1914 : l’année des illusions Le 1er août 1914, l'Allemagne et la France se mobilisent. Le 3 août, l'Allemagne déclare la guerre à la France. Illusion d'une guerre courte dans les deux camps Des deux côtés, on envisage une guerre offensive mais avec des stratégies opposées. Après des premiers succès, les armées allemandes percent au nord de la France et se dirigent vers Paris. Cette première grande victoire française est liée en grande partie à l'action de la IIIème Armée française qui a réussi à bloquer, aux alentours de Verdun, l'avancée de l'armée impériale du Kronprinz. La guerre s'enlise Les deux armées s'enterrent alors dans des tranchées fortifiées, protégées de sacs de sable, de réseaux de barbelés et reliées entre elles par des boyaux, le long d'un front continu depuis la Mer du Nord jusqu'à la Suisse. 1915 : guerre des mines et échec des grandes offensives 1916 : Les grands conflits de la Meuse et de la Somme Revenir

La mobilisation des femmes dans l'économie et au service de l'effort de guerre Guerre totale, la Première Guerre mondiale a fortement impliqué les populations civiles, mobilisées au service de l'effort de guerre. A l'arrière, les femmes furent une figure essentielle de "l'autre front" : la mobilisation et l'absence de millions d'hommes ont fait découvrir aux femmes des responsabilités nouvelles (chefs de famille) ainsi que des métiers nouveaux (conductrices de tramways, munitionnettes, agricultrices, ambulancières près du front, auxiliaires de l'armée). Cette mobilisation des femmes à la faveur de la Première Guerre mondiale a donné le sentiment de leur entrée massive sur le marché du travail à cette occasion. En réalité, le taux d'activité féminin était déjà important au début du siècle (en 1906 le travail féminin représentait 37 % de la population active) et les femmes jouèrent un rôle essentiel lors des première et seconde révolutions industrielles. Cette expérience de la guerre a-t-elle permis une certaine émancipation des femmes?

Les ravages de la guerre 14-18 Contexte historique La guerre de 1914-1918 marque tragiquement l’entrée du monde dans le XXe siècle. Ce fut une guerre mondiale et totale : à des degrés divers, tous les continents y furent impliqués, même si l’essentiel des opérations militaires se déroulèrent en Europe. Prévu et préparé depuis longtemps, le conflit était inéluctable pour l’Allemagne qui avait vainement tenté d’isoler diplomatiquement la France depuis la guerre de 1870. Malgré le nombre important de puissances engagées dans le conflit dès les premiers mois de la guerre – Allemagne, Autriche-Hongrie, Italie, Empire ottoman, Bulgarie, Serbie, Russie, France, Grande-Bretagne, Roumanie –, l’affrontement fut essentiellement franco-allemand au départ. Alors que les troupes françaises se portent vers le nord et l’est du pays, les Allemands s’engouffrent dans la vallée de l’Oise. Analyse des images Interprétation La situation de Soissons pendant la Grande Guerre offre une similitude frappante avec celle de Reims.

sans titre Cette année, le film « Au revoir là-haut » sera le fil conducteur de l’EPI sur la Première Guerre mondiale à travers les arts. Le roman de Pierre Lemaître (prix Goncourt en 2013) avait déjà adapté en BD. Résumé : En novembre 1919, deux rescapés des tranchées, l’un dessinateur de génie, l’autre modeste comptable, décident de monter une arnaque aux monuments aux morts. La France des années folles est ainsi mise en perspective à travers les aventures de ces personnages. 1. Compétence : Je me repère dans le temps et dans l’espace Consigne : Réponds aux questions p 19 et complète la frise chronologique 2. Compétence : Je raisonne pour résoudre un problème En 1920, l’Allemand Otto Dix peint une drôle de partie de cartes. Consignes 1. 2. Aller + loin : Découvre l’univers de la guerre de tranchées grâce au jeu sérieux « À l’assaut » 3. Compétence : Je rédige une réponse organisée sur un sujet donné Les civils dans la guerre totale [Évaluation] : La chanson de Craonne Le génocide arménien 4.

Mot-clé grande guerre Général Gallieni, 1915 Moment de grâce, 1916 Dreyfus, officier de la légion d’honneur, 1919 Grand’Place d’Arras, 1919 L’adjudant Jean-Pierre Lenoble, 1921 Mise au tombeau du Soldat inconnu, 1921 Bombardement rue de la Lune, 1918 Lunchtime, 1916 Morts pour la France, 1917 Auguste Thin et le Soldat inconnu, 1920 Soldats aveugles, 1916 Poilu sept fois blessé, 1916 Marcel, mobilisé de 1914 Départ des volontaires belges, 1914 Henri, mobilisé de 1914 Soirée à la cave, 1918 14, rue de Rivoli, 1918 Comme des bêtes fourbues, 1916 Bombardement rue de Tolbiac, 1918 Le chemin, la vérité et la vie, 1916 Hôtel de ville de Montdidier, 1919 Obsèques de victimes parisiennes, 1918 Station de métro refuge, 1918 Permission en famille, 1915 « précédents - page 1 de 2 Fil des articles “grande guerre”

sans titre Cette année, le film « Au revoir là-haut » sera le fil conducteur de l’EPI sur la Première Guerre mondiale à travers les arts. Le roman de Pierre Lemaître (prix Goncourt en 2013) avait déjà adapté en BD. Résumé : En novembre 1919, deux rescapés des tranchées, l’un dessinateur de génie, l’autre modeste comptable, décident de monter une arnaque aux monuments aux morts. La France des années folles est ainsi mise en perspective à travers les aventures de ces personnages. 1. Compétence : Je me repère dans le temps et dans l’espace Consigne : Réponds aux questions p 19 et complète la frise chronologique Qui s’est battu ? 2. Compétence : Je raisonne pour résoudre un problème En 1920, l’Allemand Otto Dix peint une drôle de partie de cartes. Consignes 1. 2. Aller + loin : Découvre l’univers de la guerre de tranchées grâce au jeu sérieux « À l’assaut » 3. Compétence : Je rédige une réponse organisée sur un sujet donné Les civils dans la guerre totale [Évaluation] : La chanson de Craonne 4.

Fiches pédagogiques de l'ONAC La tranchée symbolise la guerre dite de « position » et l’un des lieux d’affrontement durant ces quatre années de guerre. Description générale Les tranchées forment un système avec plusieurs lignes grossièrement parallèles et des boyaux étroits pour les communications. Entre les tranchées ennemies, c’est le « no man’s land ». Profonde de deux mètres, la tranchée dispose de banquettes surélevées pour les observateurs ou les tireurs. Vus d’avion, les tranchées et les boyaux constituent un système de circulation qui est ensuite répertorié sur des cartes. Les clichés photographiques montrent le quotidien de ces hommes soumis aux intempéries : pluie, neige, soleil, gel, etc. Les soldats ne sont généralement pas présents plus de six à huit jours en première ligne, ils rejoignent ensuite la zone de l’arrière-front. Des témoins racontent : (Louis Barthas, Les carnets de guerre de Louis Barthas, tonnelier, Paris, La découverte, 1997, p. 116, juin 1915) (Carnet de Raoul Pinat, in Paroles de Poilus.

Le parcours du combattant de la guerre 1914-1918 Retracer le parcours du combattant (2) La mobilisation des classes 1911-1919 Le 1er août 1914, le gouvernement français décrète la mobilisation générale. Que s'est-il passé pour les 880 000 hommes alors au service militaire ? Et quand les classes suivantes furent-elles mobilisées ? Les classes 1911, 1912 et 1913 : Ces classes sont alors sous les drapeaux. La mobilisation trouve donc ces hommes à la caserne. En raison de la loi des trois ans de 1913, trois classes sont au service en août 1914. La classe 1911 depuis octobre 1912, les classes 1912 et 1913 depuis respectivement octobre et novembre 1913. "Art. 41 : la présente loi n'est pas applicable aux classes de 1910, 1911 et 1912, qui demeurent régies par la loi du 21 mars 1905". La classe 1911 devait donc être libérée en septembre ou octobre 1914, la classe 1912 en 1915. La majorité de ces hommes se retrouvèrent donc rapidement au front. Les classes 1914, 1915, 1916, 1917, 1918 et 1919 : Parfois la mention est tamponnée. Témoignages :

Centenaire de la Première Guerre mondiale: combien de «poilus» de votre département parmi les victimes? [CARTE INTERACTIVE] Temps de lecture: 8 min Sur la plaque, deux soldats, un fantassin et un fusilier-marin, regardent vers un horizon espéré radieux: l'oeuvre date de 1935, dix-sept ans après la «Der des Ders», dont les deux bornes, «août 1914-novembre 1918», encadrent leurs visages. En dessous, on peut lire: «Les anciens combattants bretons à leurs 240.000 morts» Ce chiffre qui orne la grande galerie de la cour d'honneur des Invalides, on le trouve aussi dans la basilique de Saint-Anne d'Auray (Morbihan), sous la plume d'un député ou dans des ouvrages grand public. Extrait du guide touristique Le Petit Futé consacré à la Bretagne. 240.000 Bretons tués sur un total de plus de 1,3 million de soldats morts pour la France durant la Première Guerre mondiale? Comme était fausse l'assertion, début 2013, d'un Jérôme Cahuzac, alors encore ministre du Budget, assurant sur Europe 1 que la Corse était «le département qui a payé en pourcentage le plus lourd tribut à la guerre de 14-18». Où habitaient les morts?

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