Défense des droits de l'enfant
Agir pour la protection des enfants Le Défenseur des droits fait connaître les droits de l’enfant et les défend. Chaque enfant a des droits fondamentaux en matière de soins, d’éducation, de justice, de protection sociale… Ces droits sont reconnus par la loi, en particulier par la Convention internationale des Droits de l’Enfant[1]. Vous pouvez vous adresser au Défenseur des droits si vous estimez que les droits d’un enfant ne sont pas respectés ou qu’une situation met en cause l'intérêt de l'enfant. Qui peut saisir le Défenseur des droits ? un enfant ou un mineur de moins de 18 ansles membres de la famille de l’enfant ou ses représentants légaux les services médicaux ou sociauxune association dont les statuts défendent les droits de l’enfant[2]un parlementaire français et un élu français du Parlement européenune institution étrangère qui a les mêmes fonctions que le Défenseur Le Défenseur des droits peut également se saisir d'office lorsqu'il estime que son intervention est nécessaire.
Agir contre le racisme - Agir contre le racisme, l'antisémitisme et la xénophobie
Une politique inscrite dans le cadre du plan national 2018-2020 Le plan national de lutte contre le racisme et l'antisémitisme (2018-2020), piloté par la DILCRAH (Délégation interministérielle à la lutte contre le racisme, l'antisémitisme et la haine anti-LGBT), fixe le cadre dans lequel l'École prévient les manifestations du racisme et de l'antisémitisme en milieu scolaire et y répond. Faisant suite au plan 2015-2017, qui accordait déjà une importance particulière à l'éducation et à la formation, le plan 2018-2020 poursuit l'objectif d'améliorer la réponse de l'institution scolaire et l'accompagnement des équipes éducatives confrontées à des difficultés. A cette fin, une "équipe nationale de réaction", pilotée par le ministère de l'éducation nationale et de la jeunesse et la DILCRAH, apporte un soutien opérationnel aux équipes académiques "Valeurs de la République" placées sous l'autorité du recteur. Memento Lutte contre le racisme et l'antisémitisme - Des pistes pour agir à l'École
Éducation à la défense - Enseigner la culture de défense et de sécurité
Mettre en œuvre l'Éducation à la Défense Le parcours de citoyenneté L'enseignement de la défense est un des éléments du parcours de citoyenneté prévu par la loi de 1997. Le parcours de citoyenneté comprend : Le recensement citoyen à seize ansL'enseignement de la défense à l'écoleLa journée défense et citoyenneté (JDC) Le recensement citoyen en ligne La défense dans les programmes scolaires Les programmes pour les cycles 2, 3 et 4 renforcent la prise en compte des prolématiques de Défense et de sécurité nationale. De nombreuses ressources nationales et académiques facilitent cet enseignement Des acteurs spécialisés se mobilisent pour promouvoir la culture et l'esprit de défense Enseignement de défense et sécurité nationale et engagement des jeunes L'enseignement de défense et l'action des "trinômes académiques" contribuent à la cohésion sociale, à la résilience nationale. La réserve militaire est ouverte à tous les jeunes âgés de 17 ans et plus. Le protocole interministériel du 20 mai 2016
Nul n'est censé ignorer la loi - Francetv Éducation
« Œil pour œil, dent pour dent », « Nul n'est censé ignorer la loi » : ces adages illustrent l'évolution de la justice : depuis 1789 et la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen, la justice a été organisée selon quelques principes fondamentaux. Elément clé de la démocratie, cette institution est complexe : en effet, il existe de nombreux tribunaux pour tous les types de différends. Il convient donc de présenter dans ses grandes lignes l'organisation de la justice en France. Comment est organisé le système judiciaire ? © Conception, édition et réalisation Angie Interactive www.angie.fr © Photos © RMN : Bulloz / Gérard Blot / René-Gabriel Ojéda / André Martin / CNAC/MNAM / François Vizzavona /Maryse El Garby / Michèle Bellot / Daniel Arnaudet / Hervé Lewandowski / Jean Schormans © Christophe Moustier
Citoyenneté - Les valeurs de la République
L'École transmet les valeurs de la République : liberté, égalité, fraternité ; laïcité ; refus de toutes les discriminations. Les élèves étudient les grands textes qui les fondent. Il appartient à l'ensemble des adultes qui interviennent auprès des élèves dans l'exercice de leurs fonctions de faire partager ces valeurs. « Outre la transmission des connaissances, la Nation fixe comme mission première à l'école de faire partager aux élèves les valeurs de la République. Le droit à l'éducation est garanti à chacun afin de lui permettre [...] d'exercer sa citoyenneté. » (loi d'orientation et de programme pour l'avenir de l'École du 23 avril 2005 - art.2). Valeurs républicaines et enseignements Les valeurs de la République sous-tendent l'ensemble des disciplines, chacune leur donnant sens dans le champ du savoir qui est le sien. Valeurs républicaines et vie scolaire L'École est un lieu de vie collective où s'apprennent les valeurs de la République. Valeurs républicaines et actions éducatives
DOSSIER. Parcours citoyen et EMC- Paideia, le site des CPE de l’académie de Poitiers
Enseignement emblématique de l’école républicaine du début du XXème siècle, l’éducation morale va s’estomper peu à peu au fil de ce siècle et finalement disparaître totalement des programmes officiels au lendemain de 1968. Elle réapparaît en 2008, sous les termes d’« instruction civique et morale », dans les programmes d’enseignement pour l’école primaire (CP, CE1) précisée et rebaptisé « instruction morale à l’école primaire », en 2011 . Mais ce fut bien sûr le projet ministériel d’instituer dès la rentrée 2013 des cours de « morale laïque » du primaire au lycée qui a retenu l’attention. Cette double résurgence, portée par deux options politiques différentes, témoignent d’une tendance sociale lourde. Sans doute faut-il voir dans l’appréhension d’une montée des incivilités l’une des causes de cet appel à la ré-introduction de la morale dans l’éducation qui, si elle se fait ici pressante et explicite, se cache depuis près de 30 ans derrière l’éducation à la citoyenneté C. Entrevues
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Vers l’égalité des sexes - Francetv Éducation
Le sexisme Dans la loi, les filles et les garçons sont égaux… mais dans la vie de tous les jours, ce n’est pas encore tout à fait le cas. Le sexisme est une attitude qui tend à faire une différence entre l’homme et la femme. Et cela commence dès que l’on est tout-petit. « Dans les catalogues de jouets, les fabricants proposent toujours des produits bien identifiés. C’est avec une certaine curiosité que l’on regarde une femme qui se lance dans un métier comme routier, maçon, menuisier, pilote d’avion… « La première pilote militaire date de 1985. Le féminisme Des femmes ont cherché à briser toutes ces inégalités. Au cours de la Révolution française des groupes de femmes, appelées « les tricoteuses » (parce qu’elles tricotaient lors des assemblées), ont réclamé des lois pour le droit à l’instruction des filles et à exercer un métier. En 1791, Olympe de Gouges rédige une « Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne ». L’objectif : obtenir le droit de vote des femmes. La parité
Médias français : qui possède quoi, par Jérémie Fabre (Le Monde diplomatique, juillet 2016)
Dernière mise à jour : décembre 2021 (v. 17) Cette affiche prend le parti de la lisibilité plutôt que de l’exhaustivité. Y figurent des médias d’information qui « font l’opinion » et qui dépendent d’intérêts industriels ou financiers, de groupes de presse ou de l’État : • les titres de presse écrite papier à diffusion nationale de type généraliste, économique et politique ; • les titres de la presse quotidienne régionale ; • la télévision nationale (et quelques chaînes de télévision locales) ; • les canaux de radio à portée nationale ; • certains sites d’information en ligne. Les titres indépendants (comme Le Canard enchaîné) ainsi que la presse sportive (comme L’Équipe) et la presse dite alternative ne sont pas représentés (1). Conception : Jérémie FabreDocumentation : Marie Beyer, Jérémie Fabre et Suzy GaidozAdaptation : Guillaume Barou, avec Boris Séméniako et Cécile Marin