background preloader

Nos civilisations se dirigent vers un effondrement irréversible des écosystèmes terrestres

Nos civilisations se dirigent vers un effondrement irréversible des écosystèmes terrestres
44 717 lectures / 130 commentaires03 juillet 2012 ; révision : 06 juillet 2012, 09 h 53 L'humanité est entrée dans l'Anthropocène : une nouvelle ère géologique où tout pourrait basculer... pour le pire.© Globaia, Planet Under Pressure, SEI, SRC, CSIRO En se basant sur des théories scientifiques, des modélisations d'écosystèmes et des preuves paléontologiques, une équipe de 18 chercheurs, incluant un professeur de la Simon Fraser University (SFU, Vancouver), prédit que les écosystèmes de la Terre vont faire face à un effondrement imminent et irréversible. Dans un article récemment publié dans Nature intitulé "Approaching a state-shift in Earth's biosphere", les auteurs examinent l'accélération de la perte de biodiversité, les fluctuations climatiques de plus en plus extrêmes, l'interconnexion grandissante des écosystèmes et le changement radical du bilan énergétique global. Point de basculement et fonte totale de la calotte polaire du Groenland Sources Notes Auteur Related:  cygne noir

Petite liste des catastrophes auxquelles vous avez pour le moment échappé Une ville de Paris ravagée vue par les artistes John Walters et Peter Baustaedter. Il fut un temps, désormais un peu lointain, où, dirigeant du service Planète du Monde, je fréquentais tous les jours les réunions de rédaction pour y "vendre" des articles sur les problèmes que l'humanité posait à la biosphère – et donc, aussi, à elle-même. Ces "papiers" parlaient beaucoup de réchauffement climatique, pollution, maladies émergentes, crises sanitaires, déforestation, etc. Au point qu'un jour, un rédacteur en chef m'accueillit, moqueur, en me demandant quelle catastrophe j'allais encore annoncer – comme si le reste du journal n'était qu'une compilation de bonnes nouvelles écrites par des Bisounours, comme si on n'y évoquait jamais de guerres, d'attentats, de crimes, de plans de licenciement, etc. Au cours des jours suivants, j'ai commencé chaque réunion en disant, sur un ton mi-geignard, mi-goguenard : "On va tous mouriiiiiir !" Pourquoi vous raconté-je cela ?

What Is Agile? (10 Key Principles of Agile) What is agile? Agile is one of the big buzzwords of the IT development industry. But exactly what is agile development? Put simply, agile development is a different way of managing IT development teams and projects. The use of the word agile in this context derives from the agile manifesto. A small group of people got together in 2001 to discuss their feelings that the traditional approach to managing software development projects was failing far too often, and there had to be a better way. Individuals and interactions over processes and tools Working software over comprehensive documentation Customer collaboration over contract negotiation Responding to change over following a plan That is, while there is value in the items on the right, we value the items on the left more.” Ever since then, the use of methods that support these values has become increasingly popular. From my use of various agile methods, I have written about 10 key principles of agile. 1. Kelly.

THE FOURTH QUADRANT: A MAP OF THE LIMITS OF STATISTICS By Nassim Nicholas Taleb Statistical and applied probabilistic knowledge is the core of knowledge; statistics is what tells you if something is true, false, or merely anecdotal; it is the "logic of science"; it is the instrument of risk-taking; it is the applied tools of epistemology; you can't be a modern intellectual and not think probabilistically—but... let's not be suckers. The problem is much more complicated than it seems to the casual, mechanistic user who picked it up in graduate school. Statistics can fool you. In fact it is fooling your government right now. It can even bankrupt the system (let's face it: use of probabilistic methods for the estimation of risks did just blow up the banking system). The current subprime crisis has been doing wonders for the reception of any ideas about probability-driven claims in science, particularly in social science, economics, and "econometrics" (quantitative economics). Are we using models of uncertainty to produce certainties? The Dangers Of Bogus Math The Map

Pourquoi ne savons-nous pas résoudre les grands problèmes Par Hubert Guillaud le 13/11/12 | 6 commentaires | 4,626 lectures | Impression Jason Pontin (@jason_pontin), rédacteur en chef de la Technology Review (@techreview) nous interroge dans son dernier édito : “Pourquoi ne savons-nous pas résoudre les grands problèmes ?”. Dans les années 60, la conquête de la Lune a été la dernière grande frontière que l’Amérique a su dépasser. Cela a nécessité une mobilisation sans précédent des financements et de la recherche publics, privés et militaires. Le programme Apollo, à son apogée au milieu des années 60, représentait 4 % du budget fédéral. La Nasa a dépensé 24 milliards de dollars (soit 180 milliards de dollars d’aujourd’hui), pour un programme qui employait 400 000 personnes et a exigé la collaboration de 20 000 entreprises, universités et organismes gouvernementaux. Image : Aldrin photographié par Armstrong lors de la mission Apollo 11, via le site de la Nasa. Qu’est-il arrivé à l’innovation ? “Que nous est-il arrivé ?” Hubert Guillaud

Dix principes pour préserver le monde des cygnes noirs, par Nassim Nicholas Taleb           Dix principes pour préserver le monde des cygnes noirs, par Nassim Nicholas Taleb Nassim Nicholas Taleb est l’auteur du « cygne noir », un ouvrage dénonçant le peu de consistance des modèles mathématiques utilisés par la finance structurée qui tablaient sur une distribution normale, gaussienne, indemnes des singularités propres au réel, et incapables de les prendre en compte. L’aspect prémonitoire de ses avertissements, ignorés à l’époque de la publication de son livre, fait de lui aujourd’hui l’un des oracles, aux côtés de Roubini, dans lesquels Wall Street cherche son salut. Par Nassim Nicholas Taleb, Financial Times, 7 avril 2009 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9. 10. Ceci accompli, nous disposerons d’une économie plus proche de notre milieu biologique : des entreprises de taille moindre, une écologie plus riche, pas d’effet de levier. En d’autres termes, un monde plus résistant aux cygnes noirs. [ 2 ]

Related: