Risques psychosociaux et stress au travail Risques psychosociaux et stress: qu'entend-on par là? Les risques psychosociaux sont le résultat d'une mauvaise conception, organisation ou gestion du travail et d'un contexte socioprofessionnel défavorable. Ils peuvent avoir des conséquences psychologiques, physiques et sociales négatives, telles que le stress occasionné par le travail, le surmenage ou la dépression. Parmi les conditions de travail susceptibles de déboucher sur des risques psychosociaux, citons par exemple: une surcharge de travail, des exigences contradictoires et un manque de clarté sur la fonction à remplir, la non-participation des travailleurs aux décisions les concernant et leur absence d'influence sur le mode d'exécution de leur activité professionnelle, des changements organisationnels mal gérés et l'insécurité de l'emploi, l'inefficacité de la communication et le manque de soutien de la direction ou des collègues, le harcèlement psychologique et sexuel et la violence exercée par des tiers.
Le non-verbal au service de la fonction commerciale Faites attention à vos pensées, car elles deviennent des mots. Faites attention à vos mots, car ils deviennent des actions. Faites attention à vos actions, car elles deviennent des habitudes. Faites attention à vos habitudes, car elles deviennent votre caractère. Faites attention à votre caractère, car il devient votre destin. Au-delà du verbal, on parle également qu’on le veuille ou non avec nos mains, avec notre regard, avec notre corps et avec nos silences ; c’est la forme que prend notre message. 80 % de notre communication interpersonnelle relève du non verbal, d’où l’importance d’adopter la bonne attitude dans un cadre purement commercial. Le commercial doit rester convaincant en toute circonstance Les missions du commercial impliquent souvent beaucoup d’interactions et d’échanges interpersonnels.
Nouveau suicide chez Renault malgré le plan d'urgence Renault subit un nouveau suicide d'un de ses employés. Un ingénieur du Technocentre a mis fin à ses jours mercredi. Ce centre d'ingénierie avait déjà connu, fin 2006-début 2007, les suicides de trois salariés. En octobre 2006, un ingénieur s'était jeté du cinquième étage d'un immeuble, deux autres avaient mis fin à leurs jours dans les mois suivants. Néanmoins, la société Technologia, cabinet d'expertise agréé par le ministère du travail qui a été récemment envoyé auprès de France Telecom, a réalisé une enquête sur les conditions de travail dans l'entreprise. Renault a donc mis en place un plan d'urgence en 2007 qui, notamment, limite les horaires et forme les managers à la détection de risques psychosociaux.
Au travail, avoir du pouvoir fait baisser le stress Ne pas se fier à l'image fantasmée du patron qui, noyé sous le travail et les responsabilités, verrait son niveau de stress grimper à des niveaux record: à en croire une étude américaine de l'université de Californie, publiée par l'Académie nationale des sciences des Etats-Unis, les salariés dont le niveau de "leadership" est le plus élevé témoigneraient au contraire d'une faible exposition au stress. "Les leaders ont des niveaux plus bas de cortisol, 'l'hormone du stress', et font preuve de moins d'anxiété", ont constaté les chercheurs, après avoir observé la résistance au stress des officiers ou hauts-fonctionnaires.
Motivation des salariés : le Job Crafting, donner du sens au travail Crédits photo : Shutterstock.com / Ivelin Radkov Le Job Crafting consiste à laisser le salarié libre de choisir sa propre manière d'organiser son travail. Encore une expression anglo-saxonne et jargonneuse. Mais qu'on ne s'arrête pas à la vitrine, car le Job Crafting recèle un concept riche de sens. Justement, c'est l'art de redonner du sens au travail. Créativité et efficacité accrues Crédits photo : DR Yann Coirault, responsable de l'offre bien-être au travail, et pilote de l'innovation chez CSP Formation. Concrètement, qu'est-ce que le Job Crafting ? Le Job Crafting en 3 axes et profils de salariés La tâche et le « Task Crafter », l'artisan de son périmètre de poste « La motivation et le bien-être au travail reposent notamment sur la variété et la diversité des tâches. La perception du travail et le « Job Perception Crafter », qui intègre son travail dans un projet global « Le Job Crafting consiste à laisser le collaborateur libre de réinventer son job.
Industrie automobile : des conditions de travail difficiles Par La rédaction d'Allodocteurs.fr rédigé le 2 mai 2014, mis à jour le 2 mai 2014 On a tous en tête les images du film "Les Temps Modernes" dans lequel Charlie Chaplin parodie les gestes répétitifs du travail à la chaîne. Cette satire sociale de l'industrialisation renvoie à un thème aujourd'hui entré dans les mœurs : la pénibilité au travail. L'industrie automobile est un domaine qui a connu une forte évolution des conditions de travail. Industrie automobile : des conditions de travail difficiles Industrie automobile : des conditions de travail difficiles Derrière les carrosseries rutilantes que l'on expose comme des œuvres d'art, on oublie souvent la sueur et la souffrance des corps qui les ont façonnées. Qu'entend-on par pénibilité ? On estime que la pénibilité apparaît quand les sollicitations physiques et psychiques entraînent un effort d'adaptation qui laisse des traces durables chez un individu, par exemple de la fatigue, des souffrances physiques ou morales. Mots clés
Orange fait reculer l'absentéisme de ses salariés L'opérateur a ainsi récupéré 31.600 journées de travail en un an, soit l'équivalent de 4,3 millions d'euros. Ni l'abandon de la marque historique France Télécom au profit d'Orange, ni la concurrence à tous crins dans le secteur des télécoms n'auront eu raison du moral des salariés d'Orange. 90 % des personnes travaillant chez l'opérateur pensent que la qualité de vie au travail est identique ou meilleure à celle d'autres entreprises (contre 87 % il y a un an), selon le dernier baromètre social publié par le groupe. Les salariés attribuent la note de 6,9 sur 10 à leur entreprise, contre 6,4 sur 10 en moyenne pour l'ensemble des Français. «Une note d'autant plus méritoire que le moral des Français est au plus bas dans le contexte de crise», note Bruno Mettling, directeur général adjoint, en charge des ressources humaines. Indicateur révélateur, l'absentéisme des salariés ne cesse de reculer. Le groupe enregistre ainsi un taux de 4,32 %, soit le plus bas historique.
Carlos Ghosn n'est pas prêt pour la retraite Carlos Ghosn a encore fort à faire… avant sa retraite. "Sur les trois prochaines années, j’ai une feuille de route très importante, qui va justifier tous les efforts faits au cours de ces années et toutes les percées réussies par les deux constructeurs", a affirmé lundi 19 janvier le PDG de la firme française et de son allié Nissan, âgé de 60 ans. "J’ai été réélu pour un mandat qui court jusqu’en 2018 chez Renault", affirme-t-il dans le cadre de l’ "European American Press Club" à Paris. "Il faut réussir l’objectif d’atteindre 50 milliards d’euros de chiffre d’affaires, contre 41 milliards en 2014, et d’une marge en permanence au-dessus de 5%", assure le double patron. Rude gageure. L'objectif des 5% de marge opérationnelle, Renault l'a déjà raté à ce nombreuses reprises! "On a des objectifs parallèles chez Nissan", poursuivait lundi Carlos Ghosn. Des candidats à sa succession existent Double PDG depuis 2009 Il deviendra le PDG de l'entreprise française le 6 mai 2009.
Etude de cas: fusion Renault-Nissan Résumé de l'étude de cas Le groupe renault, est un constructeur automobile français, lié au constructeur nippon nissan depuis 1999. Ce groupe possède des usines et filiales à travers le monde entier. Il est fondé par les frères Louis, Marcel et Fernand renault en 1899 et se démarque rapidement par ses innovations. [...] [...] - Renault doit innover sur le plan des délais que se soit en termes de livraison ou en termes de développement de nouveaux modèles. - La motorisation haut de gamme peine également à se distinguer des concurrents tels que Mercedes, BMW, etc. [...] 16 Qualité de la relation entre les partenaires ? [...] [...]
Sondage : 70% des salariés constatent une dégradation de leurs conditions de travail A l'occasion de la semaine pour la qualité de vie au travail qui se déroule à partir du lundi 10 et dure jusqu'au 14 juin, une étude réalisée par TNS Sofrès pour l'Agence nationale pour l'amélioration des conditions de travail (Anact) montre que seuls 6% des salariés interrogés jugent que leur qualité de vie au travail s'est améliorée. Pour 26% d'entre eux, elle est restée globalement stable. Moins de temps et de moyens Les salariés trouvent l'explication de cette dégradation dans la diminution (ou le manque) de moyens, de temps, d'effectifs et de reconnaissance financière alors que les exigences restent les mêmes, voire progressent, selon les auteurs de l'étude. Questionnés sur les mots qui caractérisent le mieux la notion de qualité de vie au travail, les salariés ont plébiscité le mot "respect" à 64%. Des effets sur la santé et la productivité