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Entreprise 2.0 : le ROI enfin calculé et validé ?

Entreprise 2.0 : le ROI enfin calculé et validé ?
La question du ROI pour l’entreprise 2.0 c’est toujours posée depuis le début de ce concept. Récemment au sein du livre blanc sur l’entreprise @bduperrin s’est collé à la tâche, et j’ai déjà plusieurs fois abordé ce thème sur ce blog, notamment ici. Le vrai problème, le collaboratif est composé de processus « mous », ce qui ne facilite pas la tâche. Ce débat j’ ai l’ai encore eu avec @arayrole la semaine dernière à propos de prochaines études à venir chez USEO. Cisco considère que le ROI de son investissement dans des solutions collaboratives est de 900% et que le collaboratif a conduit Cisco en 2008 à économiser 691 millions $ et accroître sa productivité de 4,9%. McKinsey vient de sortir, fin décembre, une étude qui montre les gains de l’entreprise 2.0, voilà qui devrait mettre tout le monde d’accord : The rise of the networked enterprise: Web 2.0 finds its payday. Cette étude a été conduite auprès de 3249 cadres dans le monde entier, tout secteurs confondus. En guise de Conclusion

The connected company Many thanks to Thomas Vander Wal for the many conversations that inspired this post. The average life expectancy of a human being in the 21st century is about 67 years. Do you know what the average life expectancy for a company is? Surprisingly short, it turns out. In a recent talk, John Hagel pointed out that the average life expectancy of a company in the S&P 500 has dropped precipitously, from 75 years (in 1937) to 15 years in a more recent study. Why is the life expectancy of a company so low? I believe that many of these companies are collapsing under their own weight. The statistics back up this assumption. This “3/2 law” of employee productivity, along with the death rate for large companies, is pretty scary stuff. I believe we can. Historically, we have thought of companies as machines, and we have designed them like we design machines. 1. A car is a perfect example of machine design. It’s time to think about what companies really are, and to design with that in mind. 1.

13 astuces avec Google Analytics Google Analytics est une des sources les plus importantes d’informations sur vos clients et prospects. Pourtant, tout comme Word et Excel, nous n’utilisons pas plus de 30% des possibilités offertes par Google Analytics… En effet en plus des informations basiques fournies par défaut (sources des visiteurs, taux de rebond, temps passé, nombre de pages vues…), Google Analytics offre des possibilités énormes pour mieux connaitre les visiteurs de son site Web via quelques paramétrages basiques. C’est pourquoi nous avons rassemblé dans cet article 15 trucs et astuces vraiment simples mais qui vous permettront d’optimiser votre stratégie sur Internet. Astuce 1 – Comment voir quels sont les principaux liens sortants de votre site ? Vous voulez voir quels sur quels liens cliquent vos lecteurs quand ils lisent vos articles ? Il suffit d’aller dans Comportement > Détails par URL > Outgoing : Voici une vidéo qui vous explique comment faire : "21 jours pour bloguer comme un Pro​" Astuce 7 – 5 (100%) 2 votes

Mesurer le ROI d'un réseau social d'entreprise Dans sa dernière étude transmise en exclusivité au JDN, le cabinet Lecko donne des pistes pour comprendre et suivre les bénéfices des RSE, mais aussi évaluer la réussite d'une communauté de pratique. Mettre en place un réseau social d'entreprise est à la portée de (presque) n'importe quelle organisation. Mais parvenir à identifier et suivre les gains et bénéfices - tant financiers que non financiers - qui en découlent reste encore bien trop souvent un vœu pieux. Une problématique sur laquelle s'est précisément penchée le cabinet Lecko dans sa dernière étude "Réseaux sociaux d'entreprise : piloter sa transformation vers l'entreprise 2.0", transmise en exclusivité au JDN. "Les réseaux sociaux d'entreprises qui sont mis en place ont tous des niveaux de maturité différents et créent plus ou moins de valeur. "Nous préconisons de suivre l'ensemble des logs d'activités sociales d'une plate-forme RSE" (Arnaud Rayrole - Lecko)

Entreprise 2.0 : Faut-il mesurer le ROI ou la satisfaction ? La question du ROI dans l’entreprise 2.0 est récurrente. Pourtant il est souvent difficile à calculer, même si certains y arrivent très bien. Ainsi, Cisco dont j’ai déjà parlé ici, dans son guide sur l’entreprise collaborative (j’y reviendrai ultérieurement dans un prochain article) considère que la mise en place du travail collaboratif dans l’entreprise depuis 8 ans a produit un ROI de 900 %. Pour 2008, cela a conduit à économiser 691 millions de $ et conduit à accroître la productivité de 4,9%. Pourtant quand on lit le « Entreprise 2.0 : state of adoption » du dernier trimestre, 82% des organisations interrogées n’ont pas pu calculer un ROI. Cependant si ces mêmes entreprises n’ont pas pu mesurer le ROI de cette initiative 2.0, le même pourcentage (82%) se disent satisfaites d’avoir mis en place une stratégie 2.0 dans leur organisation. Voyons donc dans cette enquête du 2.0 adoption council ce qui a conduit à ce taux de satisfaction.

Qu’est-ce qu’un “intranet social” ou un “intranet 2.0″ Résumé : l’intranet 2.0 ou intranet social, tout le monde en parle tout en se demandant à quoi cela peut ressembler. Entre le mythe qui veut que demain l’intranet disparaisse au profit d’un réseau social et les titulaires habituels de la responsabilité de l’intranet qui sont mal à l’aise dès qu’on sort d’une logique purement descendante, les débats idéologiques et fonctionnels ont de beaux jours devant eux. L’intranet social n’est pas tant la prise du pouvoir du réseau social qu’une socialisation des grands piliers de l’intranet traditionnel : information, personnes, outils métiers. Ca n’est pas tant l’adjonction de nouveaux outils que la généralisation de nouveaux services, de fonctionnalités à toutes ses composantes. Et c’est, enfin et même avant tout, un outil de travail au service d’un projet d’entreprise. Voici donc quelques pensées mal dégrossies et un peu en vrac. On peut penser qu’un tel intranet peut reposer sur certains piliers qui sont : La socialisation de l’information

5 réflexes web analytics 5 réflexes web analytics Dans l’ère du marketing à la performance, les outils de tracking permettent de compiler une montagne de données, à un coût technique ridicule. Oui, mais encore faut-il savoir les utiliser au mieux. Comme je l’expliquais dans le post « Bien utiliser Google Analytics », scruter ses statistiques web sans méthodologie, c’est comme regarder une œuvre d’art à la jumelle en pleine nuit noire… Ce billet vous livre mes 5 réflexes lorsque je consulte les statistiques web d’un nouveau site client. Avez vous les mêmes? 1 – Clarifier sa stratégie: objectifs business, KPI, Drivers… Analyser la performance d’un site web qui n’a aucune utilité n’a pas de sens. Et comme la forme ne doit pas prendre le pas sur le fond, il ne faut jamais perdre de vue le « Pourquoi » vous investissez du temps, de l’argent et de l’énergie dans votre activité web. Pour tirer le meilleur de vos statistiques web, vous devez clairement identifier: 2 – Comparer ses performances dans le temps Où arrivent-ils?

Infographic: A New Social ROI Framework By Mike Lewis | September 20, 2012 Marketers across the globe are trying to answer the most important question about what they do – namely, can they quantify the value they provide to the business and show that the funds and resources invested in marketing, including social marketing, do indeed pay back? Our State of Social Media Marketing Report confirms that measuring social marketing ROI is the leading challenge for marketers, as indicated by 57% of respondents. To address the social ROI question, Awareness developed a new framework for measuring social marketing value. For more about the new social ROI framework, download the full free white paper. Mike Lewis @bostonmike Mike Lewis About me?

Médias sociaux et ROI : Les indicateurs à prendre en compte La question des ROI et des médias sociaux n’a pas fini de faire parler d’elle et je pense que c’est une démarche nécessaire qui permettra à terme, de faire comprendre à l’ensemble des dirigeants les tenants et aboutissants d’une démarche 2.0. Beaucoup d’acteurs du secteur alimentent le débat et proposent différentes solutions pour déterminer le St Graal ROI. Parmi celles qui ont retenu mon attention, il y a le Total Economic Impact (TEI) de Forrester. Il s’agit d’un framework présentant de manière généraliste, les éléments à prendre en compte dans ce fameux calcul du ROI. Total Ecomic Impact – Forrester : Le TEI proposé par Forrester prend en compte les avantages liés à la mise en place d’une démarche agile (Flexibility), les bénéfices de la stratégie 2.0 (benefits), le coût lié à sa mise en place (costs) et enfin les risques que l’organisation prend si elle ne met pas en place une démarche de monitoring ainsi qu’une véritable stratégie (risk). La mesure du risque : Popularity: 11% [?]

En aparté - XEnvoyer cet article par e-mail A la Une également – La fin des préjugés Nouveau ! Pas le temps de lire cet article ? Fermer Esprit start-up vs esprit grand groupe Agile, innovante, audacieuse, réactive… la start-up est devenue un véritable objet de fantasme pour les grandes entreprises qui, toutes, rêvent de reproduire ses spécificités dans l’espoir de gagner en créativité et en implication. Des salariés surmotivés qui enchaînent les nocturnes, une créativité débridée et une réactivité à toute épreuve, le tout dans un esprit de franche camaraderie… quelle entreprise n’en a pas rêvé ? Auteur de L’Openspace m’a tuer, Alexandre des Isnards casse le mythe. L’esprit start-up A commencer par ces ingrédients qui font l’esprit d’une start-up. Reste que, pour l’entreprise, les retombées sont indéniables : engagement sans faille des salariés, réactivité optimale, créativité sans limite et, au final, productivité décuplée. Sa recommandation aux paquebots désireux de jouer les catamarans ?

Comment le mix-marketing est passé de 4P à 10P | Blog stratégie marketing Lors des formations marketing que j’anime pour Cegos, le Mix-marketing fait souvent débat, non pas sur son utilité que personne ne conteste, mais sur le nombre d’ingrédients qui le compose. La question est de savoir si les 4P sont encore d’actualité, on parle de 5P, de 7P et plus récemmemment de 8P. Or, en faisant un tour d’horizon, on arrive à 10P. Alors qui sont-ils? Quelle est leur utilité? N’y en a-t-il pas un peu trop? mix-marketing, shutterstock Les 4P du Mix-marketing C’est Jérôme Mac Carthy qui crée le Mix-Marketing Modèle avec les 4P, en 1960. Le 5ème P Avec le développement du marketing client, la satisfation du client devient un levier de fidélisation et de réputation des marques. Les 7P ou le marketing mix étendu Dans le même temps, il semble évident que les 4 P sont insuffisants pour définir l’offre dans une société de service. Process = ce qui caractérise l’interaction avec l’utilisateur du service. Un 8ème P, comme Partnership ou Partenariat 9ème P, comme Permission Marketing

100-Year-Old Social Media Strategy Let’s bring social media strategy back 100 years: Henry Ford, founder of the Ford Motor Company, did not invent the automobile but he perfected the process of making it. Ford didn’t ask “how can we do this?” 1. 2. Related Resources from B2C» Free Webcast: How to Create Killer Email Conversion Copy 3. 4. As our history lesson draws to an end, there’s one last thing to discuss: a timeline. “Before everything else, getting ready is the secret of success.” Médias sociaux > Les médias sociaux permettent d’engager les clients ET les prospects Depuis le temps que je me documente sur les médias sociaux et leur utilisation par les marques, j’ai comme l’impression que l’on se focalise sur les clients et que l’on oublie parfois les prospects. Il existe ainsi de nombreux cas d’école sur la façon dont les marques se servent des médias sociaux pour engager le dialogue avec leurs clients ou pour compléter leur dispositif de GRC (on parle alors de Social CRM). Je me réjouis de voir ainsi les supports clients des grandes marques pulluler sur Twitter (SFR, Free, BNP…) : Je souhaiterais attirer votre attention sur la capacité des médias sociaux à convertir des prospects en client, ceci pour la simple et bonne raison que les avocats sont les meilleurs vendeurs. Le modèle d’engagement des médias sociaux permet ainsi de rajouter des étapes au cycle de vie des consommateurs : Ainsi nous avions avant : À ces 4 étapes, nous pouvons maintenant rajouter ces deux-là :

Quelques sources sur le ROI de l’entreprise 2.0 En début d’année je parlais d’un phénomène de débisounoursisation (abandon de la vision “Bisounours”) et il semblerait que cette tendance se concrétise avec de nombreux débats atour du ROI. Le retour sur investissement de quoi ? Un peu de tout en fait : des médias sociaux, des sites d’achat groupés, des applications iPhone et iPad… mais le sujet qui nous intéresse plus particulièrement est celui du ROI des initiatives d’entreprise 2.0. Comme toujours, ce calcul est loin d’être simple dans la mesure où l’investissement n’est pas forcément quantifiable et où le retour ne se mesure que de façon subjective. L’issue de ce problème insoluble semble être d’accepter que le ROI ne s’exprime pas à l’aide d’une valeur numérique fiable, mais plutôt d’indicateurs qualitatifs. Nous avons également vu récemment la société Socialcast qui a publié un article et une très belle infographie sur le sujet : How to Calculate the ROI of Enterprise 2.0.

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