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L'aventure des neurosciences : des territoires de la recherche_aux défis de l'éducation

L'aventure des neurosciences : des territoires de la recherche_aux défis de l'éducation
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L'Education «positive» n'est pas aussi positive qu'on croit Temps de lecture: 8 min L'éducation «positive» –qui consisterait à repenser les relations parent-enfant dans une perspective gagnant-gagnant– est partout: elle inonde la presse parentale, des blogs entiers et des milliers de pages de forums lui sont consacrée, les livres qui y font référence se vendent par poussettes entières –J'ai tout essayé, de la psychothérapeute Isabelle Filliozat s'est vendu par exemple à plus de 62.000 exemplaires–les conférenciers qui s'y réfèrent déplacent des foules. Encore confidentielle il y a 10 ans, elle est devenue aujourd'hui à ce point incontournable que le Conseil de l'Europe la considère comme l'approche éducative la plus à même de respecter les Droits de l'Enfant et a entrepris de diffuser une plaquette pour la populariser... Du statut d'alternative éducative, elle semble s'être érigée au rang de norme voire, comme le titrait récemment Libération, de «dogme». Un concept flou Influences idéologiques L'éducation positive est-elle dogmatique?

L'Agence nationale des Usages des TICE - La classe inversée : que peut-elle apporter aux enseignants ? par Isabelle Nizet * et Florian Meyer * La classe inversée exerce un attrait indéniable sur les enseignants qui souhaitent diversifier leurs approches pédagogiques et tenter de nouvelles expériences avec leurs élèves. Il semble cependant nécessaire de bien comprendre en quoi cette approche offre des bénéfices réels, alors que peu de recherches scientifiques ont démontré son efficacité à l’aide de données probantes, comme le soulignent Steve Bissonnette, professeur à la TÉLUQ, et Clermont Gauthier, professeur à l’Université Laval au Québec. Une définition souple La classe inversée est souvent perçue comme la simple inversion d’activités typiques d’un enseignement traditionnel : au lieu d’écouter l’enseignant en classe et de faire ses devoirs seul à la maison, l’élève réalise des apprentissages de manière autonome à l’aide de matériel numérique à la maison et fait des exercices en classe avec l’enseignant. Aux origines de la classe inversée Au carrefour de plusieurs tendances Pour conclure

L'effet Caméléon On doit cette expérience, datant de 2003, à Van Baaren, Holland, Steenaert et Van Knippenberg. L'étude se passe dans un restaurant. Deux serveuses ont participé à cette recherche. Le système hollandais est comparatif au système français en ce sens que le service est inclus et les pourboires ne sont donc pas systématiques. Pour comparer l'efficacité de la méthode (condition d'imitation et condition contrôle), Les chercheurs ont mesuré le nombre de personnes ayant laissé un pourboire et le montant moyen de celui-ci. Les comportements de plusieurs centaines de clients venus dîner à 2 ou 3 personnes ont été observé. Les résultats sont reportés sur le tableau ci-dessous: L'effet Caméléon semble donc efficace.

Kuschelweiche Plüschmütze "Wikinger", Einheitsgröße für Erwachsene: Amazon.de: Bekleidung L'espace, vidéo L'espace, vidéo Art et Culture Littérature - Archives vidéos Art et Culture Littérature J’ai renversé la classe inversée Cette année, j’ai vécu une expérience renversante de formation. Plus fort encore que la classe inversée, j’ai renversé totalement mon enseignement à distance consacré à l’initiation à la psychologie cognitive pour les auditeurs du CNAM de Bretagne. Le slogan du cours était « un élève, cinquante professeurs ». Compte rendu à trois voix… NB. Cet article prend la suite des deux premiers : Au début était le sociocognitif… Mon journal de bord. A leur inscription, les auditeurs inscrits à l’UE trouvaient un message d’accueil un peu déroutant : « Je vous propose une démarche pédagogique progressive et collaborative. Ce message était complété par les objectifs du cours et le descriptif des phases que les professeurs et l’élève allaient traverser ensemble pendant plusieurs semaines. Les objectifs généraux étaient formulés, par le Cnam, de la manière suivante. Un gros travail attendait toutefois les auditeurs. Une fois les quarante auditeurs connectés, le travail collaboratif a pu démarrer.

Jeu sérieux Un jeu sérieux (de l’anglais serious game : serious, « sérieux » et game, « jeu ») est une activité qui combine une intention « sérieuse » — de type pédagogique, informative, communicationnelle, marketing, idéologique ou d’entraînement — avec des ressorts ludiques. De manière synthétique, un jeu sérieux englobe tous les jeux de société, jeux de rôle et jeux vidéo qui s'écartent du seul divertissement. La vocation d’un jeu sérieux est donc de rendre attrayante la dimension sérieuse par une forme, une interactivité, des règles et éventuellement des objectifs ludiques[1]. Il existe de multiples jeux sérieux, selon les disciplines. Histoire du jeu sérieux[modifier | modifier le code] Dès le XVe siècle, avec le mouvement humaniste en Italie, on recense l'oxymore « Serio Ludere ». Pour trouver le concept moderne du jeu sérieux, il faut attendre les années 1970, avec l'œuvre du chercheur américain Clark Abt intitulé Serious Games. Évolution de l'offre[modifier | modifier le code]

Jean Ray à propos de ses "Oeuvres complètes", vidéo Jean Ray à propos de ses "Oeuvres complètes", vidéo - Archives vidéos IPHONE DES ANNÉES 80 iPhone jusqu'au bout des mains ... Dans les années 80, un prototype signé Apple annonçait la venue d'un téléphone avec écran tactile ... Une conception imaginée en 1983 par Steve Jobs lui-même et Hartmut Esslinger. Le développement de cette machine prévoyait de pouvoir envoyer des chèques numériques. Cette superbe réalisation de rétro-prospective un brin taquine nous présente donc l'iTel. iTel c'est un téléphone portable d'assez belle taille doté d'un navigateur web (sic) basé sur une motorisation de rendu issue de Lisa, d'un système d'exploitation basé sur Mac OS 4.2 et d'un iTape.

L'école inversée, un concept parti «d'en bas» bientôt au top Internet a donné une nouvelle jeunesse et un nouvel élan à l'inversion du temps des devoirs (en classe) et des leçons (à apprendre à la maison). L’innovation est une «vieille» tradition scolaire. Certaines pédagogies sont éternellement «nouvelles», Mais certaines nouveautés vraiment plus nouvelles mérite qu'on s'y arrête. C’est le cas de la classe inversée, flipped classroom dans son idiome d’origine. Ce ne sont pas les élèves qui font cours au prof et ça ne consiste pas non plus à faire classe dans le couloir ou assis sur les tables. La classe inversée, c’est le temps des devoirs et celui de leçon qui sont intervertis. Au cœur de la méthode, le caractère actif qu’elle donne à l’heure de cours et l’efficacité attendue d’un suivi de la compréhension et des difficultés des élèves pas à pas. Dans un cours magistral traditionnel, un élève qui n’a pas compris aura peut-être peur, ou la flemme de poser une question… On a tous vécu ça. Alors que donne la classe inversée? Louise Tourret

Introduction à la psychologie sociale : l'effet de gel et l'escalade d'engagement Sur­veiller des affaires, man­ger des abats, affec­ter un fonds excep­tion­nel de déve­lop­pe­ment à une filiale, dépen­ser 100 dol­lars pour skier dans le Michi­gan, jouer à la rou­lette, ces acti­vi­tés d’apparence très divers, ont en réa­lité un point en com­mun : elles font appel à un pro­ces­sus d’engagement et d’escalade d’engagement. Les déci­sions, que nous consi­dé­rons, sou­vent à tort, comme de simples choix ponc­tuels entrainent dans les faits de nom­breuses consé­quences sur nos choix futurs et sur notre com­por­te­ment. Com­bien d’étudiant frus­tré dès la pre­mière année d’étude pour­suivent une for­ma­tion parce qu’ils l’ont débu­tée ? Com­bien de sala­rié reste dans des emplois qui ne leur convienne pas pour ne pas s’avouer qu’ils ont fait un mau­vais choix ? Le bai­gneur (Moriarty, 1975) Moriarty teste l’effet de l’engagement sur une plage new yor­kaise. Effet de gel Kurt Lewin (1947) Esca­lade d’engagement Staw (1976) Dépense gachée* Arkes et Blu­mer (1985) Piège abs­cons

Institut Tavistock Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'Institut Tavistock (Tavistock Institute) a été fondé en 1947 par Frédérick Emery, Eric Trist, Henry Dicks, Leonard Browne, Ronald Hargreaves, John Rawlings Rees, Mary Luff et Wilfred Bion. Tommy Wilson en fut le premier Président. Le nom originel était Tavistock Institute of Human Relations. Son objet était principalement l’étude du comportement de groupe et du comportement organisationnel. Description[modifier | modifier le code] L'Institut Tavistock a développé et appliqué la théorie et les pratiques développées par Wilfred Bion après sa mort en 1979. Plusieurs branches utilisent le nom de Tavistock, amenant une confusion sur la fonction des uns et des autres. Il a été présenté par l'auteur John Coleman comme faisant partie d'un élément structurel devant conduire à un Nouvel Ordre Mondial[1]. Articles connexes[modifier | modifier le code] Bibliographie[modifier | modifier le code] Anne Alvarez et Susan Reid (sous la direction de), trad.

La classe inversée : "Paroles d'... enseignants" La classe inversée ne vient pas seulement bousculer les habitudes d’apprentissages des élèves. Elle interroge de nombreux acteurs éducatifs ce que nous avions présenté dans l’article précédent «La classe inversée …paroles de parents». Si le paradigme d’apprentissage est au centre de la démarche, le rôle de l’enseignant opère une véritable mutation. Et le professeur est souvent bien seul devant la tâche à accomplir : parents, élèves, administration, institution,… l’observent, le jaugent voire jugent son positionnement pédagogique. Il faut alors une motivation forte pour aller au bout de la démarche de classe inversée, voire seulement de l’expérimenter. Certains enseignants sont déjà convaincus du bien fondé de cette approche pédagogique, d’autres sont plus sceptiques mais s’emparent de l’occasion pour changer leur habitudes d’enseignement, d’autres encore cèdent à l’effet de mode, et d’autres enfin y porteront un regard des plus acerbes. 1. 2. Les raisons sont multiples. 3. 4. 5.

Ingénierie sociale (sécurité de l'information) L'ingénierie sociale (social engineering en anglais) est, dans le contexte de la sécurité de l'information, une pratique de manipulation psychologique à des fins d'escroquerie. Les termes plus appropriés à utiliser sont le piratage psychologique ou la fraude psychologique. Dans le contexte de la sécurité de l'information, la désignation ingénierie sociale est déconseillée par l'Office québécois de la langue française, 2021 puisqu'elle n'accentue pas le concept de tromperie[1]. Concept[modifier | modifier le code] Dans son ouvrage L'Art de la supercherie, paru en 2002, le hacker Kevin Mitnick a théorisé et popularisé cette pratique de manipulation qui utilise principalement les « failles humaines » d'un système d'information comme « effet de levier », pour briser ses barrières de sécurité. De nos jours, un effort de formation et de prévention est fourni aux utilisateurs des systèmes informatisés sécurisés. Culture de la sécurité de l'information[modifier | modifier le code]

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