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Comment les champignons hallucinogènes hyperconnectent le cerveau- 3 novembre 2014

Comment les champignons hallucinogènes hyperconnectent le cerveau- 3 novembre 2014
NEURONES. Les champignons hallucinogènes provoqueraient une sorte "d’expansion de l’esprit" par hyperconnection des réseaux neuronaux entre eux selon des chercheurs britanniques de la University College London. Un phénomène semblable à celui qui est observé lorsqu’une personne rêve selon eux. La carte des connexions entre les réseaux neuronaux (image de une) que les scientifiques ont publié mercredi 29 octobre dans le Journal of the Royal Society représente les "méta-réseaux" (des réseaux de réseaux neuronaux) d'une personne à jeun (à gauche) et d'une personne ayant reçu de la psilocybine, le principe actif des champignons hallucinogènes. Elle a été obtenue en observant grâce à l'imagerie par résonance magnétique (IRM) le cerveau de 15 volontaires auxquels de la psilocybine a été injectée par intraveineuse. IMPORTANT. "Expansion de l'esprit" Related:  Représentation visuelle

Le sanglier Dimensions et morphologie: Le poids du mâle peut être 150 à 160 kg et les femelles 100 kg environ. Le poids d' un sanglier de plaine où les cultures de maïs abondent est significativement plus important que celui de son congénère établi en montagne. Sa longueur, de la tête et du corps varie de 1,10 à 1,80 m et sa hauteur au garrot de 60 cm à 1,15 m. Sa queue moyennement longue (25 à 30 cm) se termine par un long pinceau de soies. Le sanglier possède un corps trapu et une tête volumineuse. Sa tête est prolongée d' un groin très allongé appellé butoir, et de deux grandes oreilles mobiles. Haut de page Habitat: Il vit essentiellement dans les bois et forêts. On le rencontre surtout dans les grandes forêts de feuillus en taillis sous futaie, parsemés de coupes récentes qui lui donnent un couvert dense. Il fréquente aussi volontiers les roselières épaisses d' une queue d' étang où il se sent en sécurité. Mode de vie: La harde est la cellule de base dans la structure sociale chez les sangliers.

Cerveau : les effets du LSD observés pour la 1ère fois - 12 avril 2016 CERVEAU. C'est la première fois que des scientifiques observent le cerveau sous l'effet de LSD (diéthylamide de l'acide lysergique), une des plus puissantes drogues hallucinogènes connues à ce jour. L'équipe internationale conduite par les Drs David Nutt et Robin Carhart-Harris, du département de neuropsychopharmacologie de l'Imperial College London ont pu étudier les effets du LSD sur la connectivité du cerveau en faisant passer aux volontaires recrutés trois examens d'imagerie : une IRM fonctionnelle pour étudier en détail l’activité neurale lors d'événements sensorimoteurs, perceptifs, émotifs ou cognitifs ; une magnétoencéphalographie (MEG) qui mesure les champs magnétiques induits par l'activité électrique des neurones du cerveau ; et un scanner cérébral. Un cerveau hyperconnecté Leurs résultats publiés dans les PNAS révèlent notamment ce qu'il se passe dans le cerveau lorsque des personnes expérimentent des hallucinations visuelles complexes provoquées par le LSD.

Le cerveau des fraudeurs fiscaux Pourquoi payons-nous nos impôts ? Certains personnages s’en dispensant au plus haut de l’État, pourquoi n’en ferions-nous pas autant ? Tout simplement, parce qu’il semblerait que nous soyons – quasiment tous – câblés pour être honnêtes. Une équipe de chercheurs américains vient de découvrir que les comportements honnêtes sont en partie contrôlés par une zone cérébrale située à l’avant de la tempe, et nommée cortex préfrontal ventromédian. Des lésions pas très claires L’équipe de l’Université de Virginie a examiné une trentaine de personnes chez qui cette partie du cerveau était lésée à cause de chocs ou de ruptures de vaisseaux sanguins. Voilà donc une partie bien précise du cerveau sans laquelle nous ne pouvons être honnêtes ! Cerveaux sans foi ni loi Pourquoi certains personnages puissants s’en affranchissent-ils ?

Noosphère Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Ne doit pas être confondu avec NooSFere. La noosphère, selon la pensée de Vladimir Vernadsky[1] et Pierre Teilhard de Chardin, désigne la « sphère de la pensée humaine[2] ». Le mot est dérivé des mots grecs νοῦς (noüs, « l'esprit ») et σφαῖρα (sphaira, « sphère»), par analogie lexicale avec « atmosphère » et « biosphère[3] ». Ce néologisme a été introduit en 1922[4] par Teilhard de Chardin dans sa « cosmogénèse»[5]. Une autre possibilité est la première utilisation du terme par Édouard Le Roy qui était, avec Teilhard, auditeur des conférences de Vladimir Vernadsky à la Sorbonne. Dans la théorie originelle de Vernadsky, la noosphère est la troisième d'une succession de phases de développement de la Terre, après la géosphère (matière inanimée) et la biosphère (la vie biologique). Le concept[modifier | modifier le code] Notions préliminaires[modifier | modifier le code] Développement[modifier | modifier le code] ↑ Georgy S. Portail de la philosophie

Ce petit crustacé possède une vision 4 fois supérieure à la votre Nos océans sont peuplés de nombreux animaux tous plus originaux les uns que les autres. La squille multicolore fait d’ailleurs partie de ces espèces totalement improbables aux capacités étonnantes. En effet, elle est dotée d’une vision unique dans le règne animal car elle voit quatre fois plus de couleurs qu’un humain ! DGS vous explique en détail les capacités visuelles surprenantes de ce petit crustacé. La squille multicolore est un petit crustacé de la famille des Odontodactylidae. Dans une étude publiée dans le magazine Science, Hanne Thoen de l’université du Queensland explique que la squille possède une vision jamais observée auparavant dans le monde animal. La squille, peut observer des couleurs d’un spectre qui s’étend de 300 à 720 nanomètres ! Les chercheurs ont entraîné des squilles à différencier des aliments en fonction de leurs couleurs. Cet animal est vraiment génial !

Cette révolution qui va changer l'hôpital | Pascal Roché Alors que l'avenir du système de santé français se trouve au cœur des débats politiques et économiques, une véritable révolution est à l'œuvre au sein de nos établissements hospitaliers avec le développement de la chirurgie ambulatoire. Des praticiens aux directeurs d'établissements, en passant par les pouvoirs publics, les acteurs de la santé sont d'ores et déjà convaincus que l'ambulatoire sera le mode d'hospitalisation de demain. Si la chirurgie ambulatoire suscite autant d'intérêt, c'est parce qu'elle se fonde sur un parti-pris radicalement innovant, en rupture avec des années de pratiques hospitalières: repenser l'hospitalisation, et même l'ensemble de la chaîne de soins, autour du patient plutôt qu'autour de la maladie. Concrètement, l'ambulatoire permet au patient opéré de ne pas passer plus de douze heures à l'hôpital et de rentrer chez lui le soir même. A l'étranger, de nombreux pays ont déjà accompli leur « révolution ambulatoire ».

Oliver Sacks Signature Oliver Wolf Sacks né le 9 juillet 1933 à Willesden à Londres et mort le 30 août 2015[1] à Greenwich Village, est un médecin, neurologue et écrivain britannique. Professeur à l'université Columbia et médecin consultant dans de nombreux hôpitaux new-yorkais, il a écrit plusieurs ouvrages sur différents cas cliniques qu'il a rencontrés au cours de sa carrière. Il atteint une notoriété mondiale grâce à ses œuvres de vulgarisation décrivant les troubles du comportement observés dans les lésions cérébrales. Par ses récits composés d'une suite d'anecdotes qu'il rapporte et analyse, il rend ainsi accessibles ses conclusions auprès d'un grand public non spécialisé. Jeunesse et éducation[modifier | modifier le code] Oliver Sacks, né au nord de Londres, est le plus jeune enfant de Samuel Sacks, médecin, et de Muriel Elsie Landau, l'une des premières femmes exerçant le métier de chirurgien en Angleterre[2]. Vie professionnelle[modifier | modifier le code] Mort[modifier | modifier le code]

Donner sans retour, un geste paradoxal L'auteur Sébastien Bohler est journaliste à Cerveau & Psycho. Du même auteur Hyperaltruiste : adj. - vers 2014 (?) Terme inconnu pouvant signifier &laquo personne se livrant à des actes d'un altruisme total, anonyme, sans compensation et coûteux pour elle-même. » Exemples : donner un organe alors qu'on est en pleine santé, à une personne qu'on ne verra jamais. En lisant cette définition, on s'imagine que les hyperaltruistes doivent être plutôt rares. Pionnier en matière de cas cliniques inexplicables, le Dr House avait traité un tel cas en 2011... Pour la traduction: « Il a tout, et il s'en sépare au profit des autres. Impossible pour tout bon médecin En médecin sceptique, le Dr House refuse à croire en l'altruisme extrême de ce patient qui donne toute sa fortune, ses reins, et veut même donner ses autres organes alors qu'il pourrait être guéri. Eh bien, pour une fois Dr House aurait eu tort. La générosité dans l'amygdale

Phototransduction in Rods and Cones by Yingbin Fu Yingbin Fu 1. Introduction. Vertebrates rely on retinal rods and cones for the conventional, image-forming vision while non-image-forming vision is mediated by intrinsically photosensitive retinal ganglion cells (ipRGCs) (see Part II Chapter 7). Rods are specialized for low-light vision. They are extremely sensitive and can signal the absorption of single photons. Fig. 1. Great progress has been made in understanding rod phototransduction since the introduction of the suction-electrode recording technique in the late 1970s (Baylor et al., 1979a). Table 1. I shall first give a brief description of the structure and the development of mouse photoreceptors, followed by a summary of recent studies on rod phototransduction with emphasis on information gleaned from mouse models. 2. Rods constitute ~97% of mouse retinal photoreceptors, with cones accounting for the remainder (Carter-Dawson and LaVail, 1979). Table 2 Physical dimensions of the outer segment of mouse rods and cones. 3. Figure 4.

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